Et chaque fois, mourir un peu - Livre 2 Trauma(s) : Le livre de Karine Giebel

Un très bon livre que je recommande. On retrouve Grégory alors que la vie n'en n'a pas fini avec lui. Je n'ai mis que 4 étoiles cependant car j'ai trouvé certains passages très longs et que la vie s'est trop acharnée sur lui pour que cela paraisse réel. De ce fait, j'ai préféré le Tome 1.

Un très bon livre que je recommande. On retrouve Grégory alors que la vie n'en n'a pas fini avec lui. Je n'ai mis que 4 étoiles cependant car j'ai trouvé certains passages très longs et que la vie s'est trop acharnée sur lui pour que cela paraisse réel. De ce fait, j'ai préféré le Tome 1.

Enfin, je lis la suite d'une de mes plus belles lectures de 2024. Quelle claque littéraire ! Un diptyque époustouflant, que je classe comme un Chef d'œuvre. "La vengeance engendre la vengeance et le fanatisme. La haine engendre la haine et la barbarie." Un livre qui commence sur les chapeaux de roue, vu comment s'est terminé son prédécesseur. Une lecture qui m'a pris aux tripes, où l'on n'en ressort pas indemne, qui nous envoie en pleine face la cruauté dont l'humanité est capable, pointant les stigmates et les traumatismes qui en découlent. Le lire, et chaque fois mourir un peu... On y suit la descente aux enfers de Grégory, dans ce pays nommé Pandemonium (le cœur de l'enfer), et de son ami Paul, seule personne en qui il a une confiance aveugle, qui fera tout pour l'en sortir. Deux héros, d'une complicité à toute épreuve, que je n'oublierai jamais. Aider, sauver, une véritable vocation, nés pour aider leur prochain. La guerre est devenue leur demeure, leur pays, leur vie... Des règles édictées par les nations unies non respectées, violées, et des droits de l'homme bafoués. Karine Giebel rend un hommage puissant à ces héros de l'ombre qui œuvrent dans le monde. Elle arrive même à y semer de l'humour dans l'horreur, arrivant à soulager ma peine à le lire. Je tiens à souligner son travail titanesque, tant au niveau de la documentation qu'à l'écriture, qui a dû être une épreuve douloureuse à vivre. Une de mes meilleures lectures de 2025, à coup sûr, qui a marqué au fer rouge ma vie de lecteur. Un énorme coup de cœur.

Enfin, je lis la suite d'une de mes plus belles lectures de 2024. Quelle claque littéraire ! Un diptyque époustouflant, que je classe comme un Chef d'œuvre. "La vengeance engendre la vengeance et le fanatisme. La haine engendre la haine et la barbarie." Un livre qui commence sur les chapeaux de roue, vu comment s'est terminé son prédécesseur. Une lecture qui m'a pris aux tripes, où l'on n'en ressort pas indemne, qui nous envoie en pleine face la cruauté dont l'humanité est capable, pointant les stigmates et les traumatismes qui en découlent. Le lire, et chaque fois mourir un peu... On y suit la descente aux enfers de Grégory, dans ce pays nommé Pandemonium (le cœur de l'enfer), et de son ami Paul, seule personne en qui il a une confiance aveugle, qui fera tout pour l'en sortir. Deux héros, d'une complicité à toute épreuve, que je n'oublierai jamais. Aider, sauver, une véritable vocation, nés pour aider leur prochain. La guerre est devenue leur demeure, leur pays, leur vie... Des règles édictées par les nations unies non respectées, violées, et des droits de l'homme bafoués. Karine Giebel rend un hommage puissant à ces héros de l'ombre qui œuvrent dans le monde. Elle arrive même à y semer de l'humour dans l'horreur, arrivant à soulager ma peine à le lire. Je tiens à souligner son travail titanesque, tant au niveau de la documentation qu'à l'écriture, qui a dû être une épreuve douloureuse à vivre. Une de mes meilleures lectures de 2025, à coup sûr, qui a marqué au fer rouge ma vie de lecteur. Un énorme coup de cœur.