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Défense et trahison
WIlliam Monk
Roxane Azimi (traduit par)
Date de parution : 12/05/2011
Éditeurs :
12-21
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Défense et trahison

WIlliam Monk

Roxane Azimi (traduit par)
Date de parution : 12/05/2011

Après une brillante carrière militaire au service de la couronne d'Angleterre en Inde, l'estimé général Thaddeus Carlyon rencontre la mort, non dans l'affrontement d'une bataille, mais au cours d'un élégant...

Après une brillante carrière militaire au service de la couronne d'Angleterre en Inde, l'estimé général Thaddeus Carlyon rencontre la mort, non dans l'affrontement d'une bataille, mais au cours d'un élégant dîner londonien. Accident ou homicide ? La belle Alexandra, épouse du général, confesse bientôt son meurtre, passible du gibet. William...

Après une brillante carrière militaire au service de la couronne d'Angleterre en Inde, l'estimé général Thaddeus Carlyon rencontre la mort, non dans l'affrontement d'une bataille, mais au cours d'un élégant dîner londonien. Accident ou homicide ? La belle Alexandra, épouse du général, confesse bientôt son meurtre, passible du gibet. William Monk, Hester Latterly et Oliver Rathbone travaillent d'arrache-pied pour faire tomber le mur de silence élevé par l'accusée et la famille de son mari ; ils cherchent désespérément une réponse à ce sombre et effrayant mystère, afin de sauver la vie d'une femme.

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EAN : 9782264054739
Code sériel : 3100
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
12-21
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EAN : 9782264054739
Code sériel : 3100
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MatteAlain 28/03/2024
    Si les débuts semblent un peu longs, les pièces du puzzle s'assemblent petit à petit. J'ai particulièrement adoré la narration du procès. Il est admirablement construit. On a l'impression d'être assis dans la salle de justice. C'est vraiment Palpitant.
  • Rhodopsine 21/11/2023
    Défi ABC 2023-2024 Voilà ce que j'appelle un "livre de train": n'y voyez surtout aucun sous-entendu péjoratif, mais un moyen de qualifier ces romans faciles à lire, plaisants, qui ne nécessitent pas le calme feutré d'une bibliothèque, qui se lisent en douceur avec un délicieux petit goût de déjà vu, et qui finalement font oublier l'annulation/le retard/ l'arrêt en pleine voie/la rupture de caténaire (rayez la mention inutile). Sans rien dévoiler de l'intrigue fort bien ficelée, sachez que le ou la coupable n'est pas (seulement) celle qu'on croit, qu'il ne faut pas se fier aux apparences et que les robes à panier sont bien difficiles à porter.
  • VioletCrawley 03/03/2023
    Comment fait-on pour mettre six étoiles à ce fabuleux polar? Le coup de génie, c'est que le nœud de l'intrigue n'est pas de découvrir qui a tué, mais quel est le mobile du meurtre. Une femme respectable assassine son mari respectable de manière rocambolesque; le fait basculer par-dessus la rambarde d'un escalier puis lui plante dans le cœur une hallebarde de parade. Tout l'accuse, elle fait des aveux complets, mais le mobile demeure parfaitement indéchiffrable. Anne Perry monte à partir de là une magistrale tragédie familiale qui culmine dans une scène de procès d'anthologie. Si j'ai deviné le mobile (terrifiant) du crime assez tôt dans le roman, cela n'a en rien nui au suspense de la lecture car la tension psychologique repose sur le dévoilement quasi impossible de la vérité, et les réactions imprévisibles des protagonistes. Et jusqu'au bout on tremble pour le salut de cette meurtrière que les lois du XIXème siècle condamnent à une potence inévitable. A moins que... Bref, du grand art.
  • Nitocris2021 31/01/2023
    Bien que de grande qualité, ce troisième opus de la série Monk est à mon avis inférieur au précédent. La première partie tire un peu en longueur et tourne en rond. Il n'y a pas vraiment de suspense sur l'identité du coupable et on avance pas sur la recherche du mobile. Qui plus est les investigations de Monk sur son passé, en dépit de leur intérêt, cassent un peu le rythme de l'intrigue. Le mobile révélé, l'action s'accélère avec la partie judiciaire, à mon avis la plus réussie. Néanmoins comme souvent, l'auteure concentre presque tout dans le dernier chapitre et il y a des incohérences. Par exemple Rathbone dit que Damaris figure sur la liste des témoins à charge et finalement elle témoigne pour la défense sans explication.... Toutefois, le sujet est très finement traité, dressant une peinture sociologique d'une grande acuité. Par ailleurs les personnages féminins sont bien campés et touchants, notamment Edith et Damaris, et bien sûr Alexandra.
  • MaggyM 09/08/2022
    Je découvre Anne Perry par le troisième tome de la série qu’elle consacre à Monk, un de ces personnages emblématiques. Ne pas démarrer par le premier tome ne m’a pas gênée puisque l’intrigue principale tient dans le seul volume, mais il me manque bien entendu tout un bagage lié aux personnages récurrents ; manque que je comblerai dès que j’en aurai l’occasion. Nous sommes ici en 1857, à Londres, où lors d’une soirée entre amis, le général Thaddeus Carlyon a trouvé la mort, empalé sur une hallebarde de décoration. Sa veuve est rapidement désignée comme coupable. La sœur cadette de la victime, Edith Sobell, fait appel à son amie, l’infirmière Hester Latterly pour trouver une idée qui pourrait aider sa belle-sœur qu’elle ne croit pas coupable. Hester fait donc entrer dans le jeu ses deux comparses : William Monk à l’enquête et Oliver Rathbone à la plaidoirie. Assez vite, je me suis dit que ce polar historique, et sans doute donc toute la série de laquelle il fait partie, pourrait faire une très bonne série télé, dans l’ambiance Downtown Abbey. Les personnages sont typiques pour l’époque, les dialogues assez percutants et la dynamique de l’intrigue est intéressante. En effet, nous sommes sur une chronologie tout ce qu’il y a de plus classique, linéaire donc, mais les éléments ne sont dévoilés que par saupoudrage. Le lecteur reste donc en attente d’information ou de rebondissement tout au long de sa lecture tout en étant satisfait temporairement mais régulièrement par des révélations auxquelles je ne m’attendais pas toujours. J’ai bien aimé le fait que l’on passe pas mal de temps au tribunal et qu’on suive le procès témoignage par témoignage. Ceci a augmenté la tension tout au long des derniers chapitres et la fin, qui ne tire pas du tout en longueur, était pour moi juste parfaite pour une série policière. Même si je ne connaissais pas les personnages principaux, j’ai deviné certains éléments grâce à l’intrigue parallèle à l’enquête sur le meurtre du général et qui touchait plus particulièrement le personnage de Monk. Loin de me frustrer dans ma lecture, cette seconde intrigue (qui ne prend pas beaucoup de place dans l’ensemble) m’a plutôt donné l’envie de commencer la lecture à partir du premier tome. Le contexte historique est toujours important quand on lit un roman historique, surtout un roman policier. Ici, ce contexte est bien présent, surtout axé sur certains sujets phares traités dans le récit. De manière générale, au-delà des considérations liées au contexte et aux pratiques judiciaires de l’époque, ce sont surtout les informations sur les rapports entre hommes et femmes dans la bonne société anglaise qui sont abordées. Celles-ci étaient parfaitement intégrées à l’intrigue, rendant l’ensemble très réalistes. Belle découverte donc que la plume d’Anne Perry. Et vu la bibliographie de la dame, j’ai encore de nombreuses heures de plaisir littéraire en sa compagnie qui m’attendent. Je découvre Anne Perry par le troisième tome de la série qu’elle consacre à Monk, un de ces personnages emblématiques. Ne pas démarrer par le premier tome ne m’a pas gênée puisque l’intrigue principale tient dans le seul volume, mais il me manque bien entendu tout un bagage lié aux personnages récurrents ; manque que je comblerai dès que j’en aurai l’occasion. Nous sommes ici en 1857, à Londres, où lors d’une soirée entre amis, le général Thaddeus Carlyon a trouvé la mort, empalé sur une hallebarde de décoration. Sa veuve est rapidement désignée comme coupable. La sœur cadette de la victime, Edith Sobell, fait appel à son amie, l’infirmière Hester Latterly pour trouver une idée qui pourrait aider sa belle-sœur qu’elle ne croit pas coupable. Hester fait donc entrer dans le jeu ses deux comparses : William Monk à l’enquête et Oliver Rathbone à la plaidoirie. Assez vite, je me suis dit que ce polar historique, et sans doute donc toute la série de laquelle il fait partie, pourrait faire une très bonne série télé, dans l’ambiance Downtown Abbey. Les personnages sont typiques pour l’époque, les dialogues assez percutants et la dynamique de l’intrigue est intéressante. En effet, nous...
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