Lisez! icon: Search engine
Half Moon Street
Date de parution : 23/08/2012
Éditeurs :
12-21
En savoir plus

Half Moon Street

Date de parution : 23/08/2012

En cet automne 1891, Londres semble bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n’a guère le temps de...

En cet automne 1891, Londres semble bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n’a guère le temps de sombrer dans le spleen, car la découverte du corps d’un homme habillé en femme dans une barque, sur la Tamise,...

En cet automne 1891, Londres semble bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n’a guère le temps de sombrer dans le spleen, car la découverte du corps d’un homme habillé en femme dans une barque, sur la Tamise, l’entraîne dans une nouvelle aventure pleine de mystère. Qui était la victime et pourquoi cette mise en scène macabre ? Aidé de l’irascible sergent Tellman, Pitt fouille les consciences et les cœurs de la haute société, arpentant les coulisses des théâtres où se jouent les pièces d’un certain Oscar Wilde. Gentlemen et ladies irréprochables peuvent parfois cacher de bien dérangeantes vérités…

Traduit de l'anglais
par Anne-Marie Carrière

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782264057518
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
12-21
En savoir plus
EAN : 9782264057518
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • tessy2 02/04/2024
    Une série policière que je prends en cours de route, mais ce n'est pas dérangeant. Nous sommes en 1891, époque intéressante, à Londres. Ambiance so British pour cette série sympathique même si le rythme est très lent Le commissaire Pitt doit résoudre une affaire gênante. Le corps d'un homme vient d'être découvert sur la Tamise. Une scène macabre assez déroutante qui va donner du fil à retordre au commissaire Thomas Pitt. Je découvre donc cette autrice et cette série. Ce tome est le 20 ème. Aussi les références diverses et variées à des tomes précédents ne m'ont pas vraiment interressé. Toutefois, nul besoin d'avoir suivi la série, pour comprendre ce récit. J'ai bien apprécié l'ambiance du roman où figure pas mal de petites références historiques et culturelles assez plaisantes. Les protagonistes se rendent souvent au théâtre, puisque l'un d'eux est acteur et nous côtoyons donc l'univers du théâtre. Nous y rencontrons même Oscar Wilde et Yeats. Cela m'a donné envie de lire la maison de poupée d'Ibsen. Une intrigue secondaire presque plus importante que l'enquête. Beaucoup de bavardages autour d'un thé, de visites au théâtre..., l'enquête, elle, avance lentement mais sûrement, mais passe un peu au second plan. Très certainement la marque de fabrique de cette grande série, dont le plaisir réside dans le fait de retrouver nos protagonistes au fil des tomes. Un roman très agréable à lire, mais une enquête très plan-plan, ne pas s'attendre à des courses poursuites et à un suspens insoutenable. Anne Perry figurant cette année dans le challenge solidaire, j'aurais l'occasion de me replonger dans un autre de ses romans. Challenge solidaire Challenge entre-deux Challenge gourmand Challenge plumes féminines Une série policière que je prends en cours de route, mais ce n'est pas dérangeant. Nous sommes en 1891, époque intéressante, à Londres. Ambiance so British pour cette série sympathique même si le rythme est très lent Le commissaire Pitt doit résoudre une affaire gênante. Le corps d'un homme vient d'être découvert sur la Tamise. Une scène macabre assez déroutante qui va donner du fil à retordre au commissaire Thomas Pitt. Je découvre donc cette autrice et cette série. Ce tome est le 20 ème. Aussi les références diverses et variées à des tomes précédents ne m'ont pas vraiment interressé. Toutefois, nul besoin d'avoir suivi la série, pour comprendre ce récit. J'ai bien apprécié l'ambiance du roman où figure pas mal de petites références historiques et culturelles assez plaisantes. Les protagonistes se rendent souvent au théâtre, puisque l'un d'eux est acteur et nous côtoyons donc l'univers du théâtre. Nous y rencontrons même Oscar Wilde et Yeats. Cela m'a donné envie de lire la maison de poupée d'Ibsen. Une intrigue secondaire presque plus importante que l'enquête. Beaucoup de bavardages autour d'un thé, de visites au théâtre..., l'enquête, elle, avance lentement mais sûrement, mais passe un peu au second plan. Très certainement...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Jangelis 07/01/2024
    J'ai lu beaucoup de roman de la série Thomas Pitt à une période, et puis, je n'en ai plus eu l'occasion. On m'avait promis de me prêter la suite mais ça ne s'est jamais fait. Celui-ci vient de me tomber dans les mains, et je suis surprise qu'il m'ait échappé puisqu'il provient du désherbage de notre bibliothèque. C'est le 20e . J'avais lu la totalité jusqu'au 17, puis le 22 et quelques volumes de ceux de Noël centrés sur d'autres personnages proches de l'entourage de Charlotte. J'ai l'impression de retrouver avec plaisir une famille un peu perdue de vue, mais dont je connaissais tous les membres. 1891- Londres est toujours aussi glauque. Du brouillard, et un cadavre voguant sur la Tamise. J'avais oublié combien j'aimais cette série, parce qu'à côté de l'intrigue policière, toujours très bien menée, il y a aussi toute la vie de Pitt et de sa famille. Ici, il est notamment beaucoup question de sa belle-mère Caroline, et de la grand-mère Mariah, toujours aussi odieuse. Il sera question de théâtre, avec le nouveau mari de Caroline, Joshua l'acteur, et surtout de la censure, du conservatisme et de la maltraitance discrète des femmes. À présent que je connais un peu de la vie de l'autrice, ces passages sont impressionnants. On croisera aussi avec plaisir Oscar Wilde et quelques autres têtes connues. Liberté contre censure. Hélas, on parle de la fin du 19e siècle, mais on a tellement l'impression de revenir à ces périodes où la censure régnait qu'il y a comme un triste goût d'actualité. Plus agréable, on découvre aussi les débuts de la photographie. Charlotte n'est présente que par ses lettres, elle est à Paris pour des vacances, et manque beaucoup à Thomas qui dans sa maison bien vide s'occupe du chat. Au-delà d'un roman policier très bien construit et plein de suspense, on a donc une belle réflexion sur des sujets graves, art, censure, libertés. Vouloir faire avancer la liberté et la cause des femmes justifie-t-il toutes les outrances. Peut-on / doit-on rester modéré tout en plaidant une cause juste ... ?J'ai lu beaucoup de roman de la série Thomas Pitt à une période, et puis, je n'en ai plus eu l'occasion. On m'avait promis de me prêter la suite mais ça ne s'est jamais fait. Celui-ci vient de me tomber dans les mains, et je suis surprise qu'il m'ait échappé puisqu'il provient du désherbage de notre bibliothèque. C'est le 20e . J'avais lu la totalité jusqu'au 17, puis le 22 et quelques volumes de ceux de Noël centrés sur d'autres personnages proches de l'entourage de Charlotte. J'ai l'impression de retrouver avec plaisir une famille un peu perdue de vue, mais dont je connaissais tous les membres. 1891- Londres est toujours aussi glauque. Du brouillard, et un cadavre voguant sur la Tamise. J'avais oublié combien j'aimais cette série, parce qu'à côté de l'intrigue policière, toujours très bien menée, il y a aussi toute la vie de Pitt et de sa famille. Ici, il est notamment beaucoup question de sa belle-mère Caroline, et de la grand-mère Mariah, toujours aussi odieuse. Il sera question de théâtre, avec le nouveau mari de Caroline, Joshua l'acteur, et surtout de la censure, du conservatisme et de la maltraitance discrète des femmes. À présent que je connais un peu de la vie de l'autrice,...
    Lire la suite
    En lire moins
  • babel95 02/08/2023
    Londres, 1891. Thomas Pitt est alors commissaire, chef de la police de Bow Street. Il a été appelé à l'aube, sur les bords de la Tamise. Un corps a été découvert dans une barque qui dérivait sur le fleuve : celui d'un homme jeune, menotté, revêtu d'une robe déchirée, dans une posture grotesque...Il est possible qu'il s'agisse d'un ressortissant français, M. Bonnard, en poste à l'ambassade, et en raison d'un scandale, peut-être d'une affaire de moeurs, on a jugé préférable de faire appel au commissaire. Il s'agit sans aucun doute d'une enquête épineuse. Pourquoi avoir choisi une telle mise en scène - une parodie monstrueuse du tableau de Millais représentant Ophélie, le personnage tragique d'Hamlet ? Retrouver l'identité de la victime ne semble pas une mince affaire et Thomas Pitt sera secondé par l'inspecteur Tellman. L'absence de Charlotte, sa femme, lui pèse. La jeune femme est à Paris, invitée par sa soeur et son beau-frère. Mais pas question de rester seul : il est invité au théâtre par Caroline, sa belle-mère, remariée à Joshua, metteur en scène aux idées novatrices. Sa nouvelle pièce est portée par Cecily Antrim, une actrice qui exprime avec passion des sentiments réprouvés par la bonne société. Mais la censure veille. Half Moon Street est une enquête de Charlotte et Thomas Pitt dans laquelle Charlotte intervient seulement par le biais de lettres qu'elle adresse à Thomas. le commissaire résoudra seul une énigme somme toute assez simple. J'ai aimé retrouver dans ce roman, l'atmosphère victorienne que dépeint Anne Perry avec tant de précision. Pourtant, il m'a semblé que l'énigme à résoudre n'était qu'un prétexte pour nous dépeindre le monde du théâtre aux prises à la censure. Le récit, en parallèle, s'attache à deux personnages féminins, Caroline, et Mariah, la mère et la grand-mère de Charlotte. Nous en apprenons plus sur le passé de Mariah. Comme à son habitude, Anne Perry souligne avec force l'injustice faite aux femmes, et montre comment s'exerce la violence au sein même des foyers les plus huppés. Half Moon Street est un roman policier riche, qui fait la part belle à l'art de la fin de l'ère victorienne. Anne Perry nous parle avec passion de peinture, de théâtre, ainsi que de la photographie qui en était à ses débuts. Elle nous fait rencontrer Oscar Wilde et Yeats. Elle sait dénoncer avec force les turpitudes d'un monde clos. On retrouvera avec plaisir Charlotte, lorsqu'elle rentrera de France. Londres, 1891. Thomas Pitt est alors commissaire, chef de la police de Bow Street. Il a été appelé à l'aube, sur les bords de la Tamise. Un corps a été découvert dans une barque qui dérivait sur le fleuve : celui d'un homme jeune, menotté, revêtu d'une robe déchirée, dans une posture grotesque...Il est possible qu'il s'agisse d'un ressortissant français, M. Bonnard, en poste à l'ambassade, et en raison d'un scandale, peut-être d'une affaire de moeurs, on a jugé préférable de faire appel au commissaire. Il s'agit sans aucun doute d'une enquête épineuse. Pourquoi avoir choisi une telle mise en scène - une parodie monstrueuse du tableau de Millais représentant Ophélie, le personnage tragique d'Hamlet ? Retrouver l'identité de la victime ne semble pas une mince affaire et Thomas Pitt sera secondé par l'inspecteur Tellman. L'absence de Charlotte, sa femme, lui pèse. La jeune femme est à Paris, invitée par sa soeur et son beau-frère. Mais pas question de rester seul : il est invité au théâtre par Caroline, sa belle-mère, remariée à Joshua, metteur en scène aux idées novatrices. Sa nouvelle pièce est portée par Cecily Antrim, une actrice qui exprime avec passion des sentiments réprouvés par la bonne société....
    Lire la suite
    En lire moins
  • nanouche 04/03/2023
    Le cadavre d'un homme vêtu d'une robe verte et menotté est retrouvé dans une barque sur la Tamise. La mise en scène a été réalisée après la mort. Qui en voulait à Delbert Cathcart, un photographe talentueux au point de l'installer dans cette posture scandaleuse qui choque tous les témoins ? En l'absence de sa femme en vacances en France, Thomas Pitt enquête avec le sergent Tellman dans le milieu du théâtre ou il croise des acteurs désireux de s'opposer à la censure qui menace leurs pièces. La liberté d'expression doit-elle être totale s'interroge Anne Perry à travers ce roman ? Pour faire avancer les idées, peut-on tout dire et tout montrer, même la pornographie ou faut-il protéger les personnes les plus vulnérables par la censure ? Le dénouement apporte un élément de réponse brutal à ces questions.
  • Phoenicia 28/09/2021
    Un tome bien sympathique mais que je déconseille pour découvrir cette série. Avoir lu plusieurs tomes est à mon sens nécessaire. Pitt découvre une victime sur une barque, assassinée et dans une mise en scène très suggestive. Entre la recherche de son identité et les mobiles d'un tel crime, Pitt nous emmène dans un monde d'artistes ( théâtre, romancier, photographe) où la question de la censure et de la liberté d'expression à toute sa place. Un débat que l'on peut encore se poser aujourd'hui. A vouloir bousculer les préjugés sociaux, ne finissons-nous pas par heurter la sensibilité de certains, à désacraliser ce qui relève de l'intime? Anne Perry nous lance ce débat qu'aujourd'hui encore on peut tenir, bien que les sujets ne soient plus les mêmes. Ce tome, tout intéressant qu'il soit, a une particularité inattendue. Charlotte est absente. A la place, on suit Caroline, sa maman, et Mariah, son irascible grand-mère. Or, on les suit sans que l'intrigue soit tout à fait en lien avec l'enquête elle-même. C'est pourquoi aimer cette série et toute la parentèle de Charlotte me semble un pré-requis nécessaire vis-à-vis de cette prise de risque de l'autrice. Dans les deux cas, que ce soit les démons intérieurs de Mrs Ellison ou l'enquête de Pitt, Anne Perry nous dévoile des facettes de l'être humain qui frisent le sordide. Il n'est pas toujours bon de se fier aux apparences dans cette Angleterre victorienne... Challenge A travers l'histoire 2021 Challenge Mauvais Genres 2021 Challenge Séries 2021 Challenge Trivial Reading XIIUn tome bien sympathique mais que je déconseille pour découvrir cette série. Avoir lu plusieurs tomes est à mon sens nécessaire. Pitt découvre une victime sur une barque, assassinée et dans une mise en scène très suggestive. Entre la recherche de son identité et les mobiles d'un tel crime, Pitt nous emmène dans un monde d'artistes ( théâtre, romancier, photographe) où la question de la censure et de la liberté d'expression à toute sa place. Un débat que l'on peut encore se poser aujourd'hui. A vouloir bousculer les préjugés sociaux, ne finissons-nous pas par heurter la sensibilité de certains, à désacraliser ce qui relève de l'intime? Anne Perry nous lance ce débat qu'aujourd'hui encore on peut tenir, bien que les sujets ne soient plus les mêmes. Ce tome, tout intéressant qu'il soit, a une particularité inattendue. Charlotte est absente. A la place, on suit Caroline, sa maman, et Mariah, son irascible grand-mère. Or, on les suit sans que l'intrigue soit tout à fait en lien avec l'enquête elle-même. C'est pourquoi aimer cette série et toute la parentèle de Charlotte me semble un pré-requis nécessaire vis-à-vis de cette prise de risque de l'autrice. Dans les deux cas, que ce soit les démons intérieurs de...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés