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Ken-ichi, saison 1 : Le disciple ultime - tome 01
Kayo Chassaigne-Nishino (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 06/10/2015
Éditeurs :
12-21

Ken-ichi, saison 1 : Le disciple ultime - tome 01

Kayo Chassaigne-Nishino (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 06/10/2015
Ken-ichi et Miu, la rencontre !

Ken-Ichi est un lycéen plutôt gringalet, du genre à passer son temps le nez dans les livres. Le hasard place sur son chemin Miu, une charmante jeune fille aux capacités...

Ken-Ichi est un lycéen plutôt gringalet, du genre à passer son temps le nez dans les livres. Le hasard place sur son chemin Miu, une charmante jeune fille aux capacités martiales incroyables... Ken-ichi aurait bien besoin de maîtriser lui aussi les arts martiaux : débutant au sein de club de...

Ken-Ichi est un lycéen plutôt gringalet, du genre à passer son temps le nez dans les livres. Le hasard place sur son chemin Miu, une charmante jeune fille aux capacités martiales incroyables... Ken-ichi aurait bien besoin de maîtriser lui aussi les arts martiaux : débutant au sein de club de karaté de son établissement, il est méprisé par les autres élèves. Son amie Miu pourra peut-être l'aider : elle connaît un endroit où l'on peut devenir fort... Un dojo nommé Ryôzampaku, où sont rassemblés les experts en arts martiaux les plus puissants, mais aussi les plus déjantés !

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EAN : 9782823822380
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823822380
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • IDDBD 05/10/2012
    (...)Mais cette série tient surtout sur son auto-dérision potache. Nous sommes presque plus dans le genre « humour » que « combat à la Dragon Ball ». Cette capacité à se moquer de soi-même est incarné par les personnages secondaires. En particulier les six maîtres du Ryôzampaku. Je ne vais pas trop vous révéler leurs caractéristiques, disons qu’ils sont de grands originaux… ou plus simplement de grands malades qui n’hésitent jamais à maltraiter ce pauvre Kenichi. On dit souvent que la richesse d’une série tient beaucoup sur ses personnages secondaires. Dans ce cas, ce manga est une vraie mine de franc éclat de rire. Nous ne sommes pas dans l’intellectuel, loin de là. Mais il y a beaucoup de légèreté et franchement ça fait du bien parfois de poser le cerveau (sous réserve de le retrouver à la sortie) ! Dans le même ordre d’idée, j’ai apprécié le personnage de Myu. Héroïne bien plus complexe que son graphisme ne le laisse penser. Par la grâce du fameux « fan service » (je vous laisse regarder les couvertures, vous comprendrez) qui a si longtemps catalogué le manga au rang de BD pourrie pour obsédés sexuels, cette héroïne repose sur tout un tas de clichés. Heureusement, ils volent vers d’autres cieux au fur et à mesure. Finalement, elle est bien la pierre angulaire qui fait que tout ce petit monde cohabite. Un personnage féminin plutôt bien penser. D’ailleurs les personnages récurrents ont tous un petit background. Cela permet aussi à l’auteur de se ménager des moments de pause en déviant de l’histoire principale pour approfondir un personnage secondaire. Cela donne un peu de profondeur à l’ensemble. Si vous aimez rire, si vous aimez les combattants qui ne prennent pas au sérieux alors Kenichi est pour vous. Pur manga de divertissement, ce shonen vous fera passer de très bons moments. On regrettera juste le « fan service » qui bloquera quelques lecteurs (et surtout leurs parents) à la couverture. Mais ce côté est plutôt bien intégré dans le récit. Bref, Kenichi, c’est divertissant, ça s’assume… et c’est déjà pas mal ! (...)(...)Mais cette série tient surtout sur son auto-dérision potache. Nous sommes presque plus dans le genre « humour » que « combat à la Dragon Ball ». Cette capacité à se moquer de soi-même est incarné par les personnages secondaires. En particulier les six maîtres du Ryôzampaku. Je ne vais pas trop vous révéler leurs caractéristiques, disons qu’ils sont de grands originaux… ou plus simplement de grands malades qui n’hésitent jamais à maltraiter ce pauvre Kenichi. On dit souvent que la richesse d’une série tient beaucoup sur ses personnages secondaires. Dans ce cas, ce manga est une vraie mine de franc éclat de rire. Nous ne sommes pas dans l’intellectuel, loin de là. Mais il y a beaucoup de légèreté et franchement ça fait du bien parfois de poser le cerveau (sous réserve de le retrouver à la sortie) ! Dans le même ordre d’idée, j’ai apprécié le personnage de Myu. Héroïne bien plus complexe que son graphisme ne le laisse penser. Par la grâce du fameux « fan service » (je vous laisse regarder les couvertures, vous comprendrez) qui a si longtemps catalogué le manga au rang de BD pourrie pour obsédés sexuels, cette héroïne repose sur tout un...
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  • shogwun 02/08/2012
    Voila un manga qui donne l'envie de se dépasser. Un ado un peu chétif qui se fait agresser régulièrement. Là pas de super pouvoir ou de bonne marraine la fée. Juste un ado qui se prend en main et qui grâce à des professeurs complétement tyrannique et déluré va apprendre progressivement à se débrouiller seul. Ici ce serait l’apologie de la débrouaillardise un 4 mots: "Prenez vous en main" A lire avec plaisir même si comme moi vous n'êtes un mordu de combat
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