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La Machine à écrire la mort
Maxime Berrée (traduit par)
Date de parution : 11/10/2012
Éditeurs :
12-21

La Machine à écrire la mort

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Maxime Berrée (traduit par)
Date de parution : 11/10/2012

Elle est capable de prédire la façon dont vous allez mourir à partir d'un échantillon de votre sang. Elle ne se trompe jamais et manie l'ironie avec un sadisme inouï....

Elle est capable de prédire la façon dont vous allez mourir à partir d'un échantillon de votre sang. Elle ne se trompe jamais et manie l'ironie avec un sadisme inouï. Elle, c'est la Machine de la Mort. Celle qui, depuis son invention, a bouleversé la face du monde. D'un simple...

Elle est capable de prédire la façon dont vous allez mourir à partir d'un échantillon de votre sang. Elle ne se trompe jamais et manie l'ironie avec un sadisme inouï. Elle, c'est la Machine de la Mort. Celle qui, depuis son invention, a bouleversé la face du monde. D'un simple mot imprimé sur un morceau de carton, elle délivre sa sentence : « cancer », « accident », « amande », « piano »...
Outil de pression pour les patrons qui ne souhaitent pas garder des employés destinés à mourir d'une overdose, instrument politique pour évincer son concurrent, critère sélectif pour choisir son mari ou ses amis à l'école (il faut avouer que certaines morts sont beaucoup plus cool que d'autres), la Machine soumet tout le monde à la même tyrannie. 
Car s'il est bien une chose difficile, c'est de continuer à vivre quand on connaît la fin, de faire confiance à ses amis quand on sait qu'on finira assassiné, de s'acharner à vouloir déjouer la fatalité... en vain.

Avec ces 34 chroniques de morts annoncées, entrez dans le monde impitoyable de la Machine...

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EAN : 9782265096417
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782265096417
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Breizh29livres 30/04/2023
    Une machine d’un nouveau genre vient de voir le jour. A partir d’un échantillon de sang, en quelques minutes, la machine crache un morceau de papier sur lequel figure la cause de votre mort. Que celle-ci soit proche ou lointaine et sans aucune explication, il faut se contenter du petit bout de papier... Et vivre avec... Ce peut être tout et n’importe quoi : accident de chasse, légumes, dépecé par des lions, vieillesse ou enterré vivant... Tout le monde veut savoir et l’existence de chacun s’en trouve irrémédiablement bouleversée. Certains deviennent fous, d’autres se marginalisent ou se croient autorisés à enfreindre tous les codes de la société au nom de cette prédiction. Quel type de curiosité peut bien pousser les individus à vouloir connaitre les circonstances de leur mort ? Ce que l’on ignore ne peut pas faire de mal, alors pourquoi chercher à se torturer ? Parce que, bien entendu, personne ne résiste à la tentation de savoir. Comment continuer à vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête ? Ce recueil propose des dizaines de textes courts qui invitent à une réflexion sur la part du libre-arbitre de l’homme dans la conduite de son existence. On en ressort un peu secoué et satisfait qu'un tel appareil n'existe pas... encore...Une machine d’un nouveau genre vient de voir le jour. A partir d’un échantillon de sang, en quelques minutes, la machine crache un morceau de papier sur lequel figure la cause de votre mort. Que celle-ci soit proche ou lointaine et sans aucune explication, il faut se contenter du petit bout de papier... Et vivre avec... Ce peut être tout et n’importe quoi : accident de chasse, légumes, dépecé par des lions, vieillesse ou enterré vivant... Tout le monde veut savoir et l’existence de chacun s’en trouve irrémédiablement bouleversée. Certains deviennent fous, d’autres se marginalisent ou se croient autorisés à enfreindre tous les codes de la société au nom de cette prédiction. Quel type de curiosité peut bien pousser les individus à vouloir connaitre les circonstances de leur mort ? Ce que l’on ignore ne peut pas faire de mal, alors pourquoi chercher à se torturer ? Parce que, bien entendu, personne ne résiste à la tentation de savoir. Comment continuer à vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête ? Ce recueil propose des dizaines de textes courts qui invitent à une réflexion sur la part du libre-arbitre de l’homme dans la conduite de son existence. ...
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  • prettymelo 13/11/2015
    J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous fait reconsidérer notre place face à la mort. Le fait de donner un thème unique (la mort) et de demander à plusieurs personnes d'écrire une nouvelle dessus, on se retrouve avec une multitude de point tous plus intéressant les uns que les autres. Sur l'ensemble du livre, il ne doit y avoir que 3 récits que ne pas apprécié car l'idée n'a pas été exploitée jusqu'au bout. On passe du rire aux larmes en suivant toutes ces personnes qui apprennent ou pas de quoi ils vont mourir. Là est toute la question, faire le test ou pas et risquer de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête pour le reste de sa (courte) vie car une chose est sûre, même si vous ne savez pas quand, vous allez mourir et vous saurez comment. Vous aurez beau essayer d'y échapper, la machine est infaillible. Il est impossible de la contrer ou de fausser les résultats. De plus, la machine aime nous jouer des tours: ce n'est pas parce que elle dira AVION que vous mourrez d'un crash aérien. Il y a tellement de façon de mourir à cause d'un avion. Alors, vous, que feriez-vous si vous saviez comment vous alliez mourir, resteriez-vous prostré chez vous pour éviter l'inévitable où vivriez-vous chaque instant comme si c'était le dernier.J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous fait reconsidérer notre place face à la mort. Le fait de donner un thème unique (la mort) et de demander à plusieurs personnes d'écrire une nouvelle dessus, on se retrouve avec une multitude de point tous plus intéressant les uns que les autres. Sur l'ensemble du livre, il ne doit y avoir que 3 récits que ne pas apprécié car l'idée n'a pas été exploitée jusqu'au bout. On passe du rire aux larmes en suivant toutes ces personnes qui apprennent ou pas de quoi ils vont mourir. Là est toute la question, faire le test ou pas et risquer de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête pour le reste de sa (courte) vie car une chose est sûre, même si vous ne savez pas quand, vous allez mourir et vous saurez comment. Vous aurez beau essayer d'y échapper, la machine est infaillible. Il est impossible de la contrer ou de fausser les résultats. De plus, la machine aime nous jouer des tours: ce n'est pas parce que elle dira AVION que vous mourrez d'un crash aérien. Il y a tellement de façon de mourir à cause d'un avion. Alors, vous, que...
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  • Yumiko 30/07/2014
    Cet ouvrage est très particulier car il s'agit en fait d'un recueil de nouvelles autour de l'idée de l'existence d'une machine à écrire la mort. Différents auteurs de différents horizons ont mis sur papier leur idée sur le sujet, montrant ainsi leur vision de la mort, de la façon de s'y préparer et de ce qu'une machine qui prédirait notre mort pourrait avoir comme impact sur notre monde et notre façon de vivre. Si je craignais au début de me lasser au fil des pages, j'ai finalement bien aimé découvrir tous ces styles différents et toutes ces histoires. Comme toujours certaines sont plus prenantes que d'autres, mais globalement ce sont bien toutes des visions de réactions possibles face à une mort annoncée, face au temps qui reste à vivre. Si les morts sont exprimées par un seul mot, cela amène un certain humour dans les récits car parfois le terme peut renvoyer à des fins bien différentes de celles auxquelles s'attendent les condamnés. Finalement ce n'est pas tant la fin elle-même qui intéresse les auteurs, mais bien l'avant et la réaction des personnages après l'annonce de la machine. L'idée de ce recueil est vraiment originale et parfois drôle, tout en étant profonde et pleine de réflexions. Le thème particulier ne plaira peut-être pas à tout le monde, mais la découverte vaut le détour! D'ailleurs si vous êtes tentés, vous pouvez toujours aller découvrir en quoi va consister votre propre mort en allant ici: http://www.lamachine.fleuvenoir.fr/. N'hésitez pas à en partager le résultat! En bref, c'est un recueil de nouvelles qui sait attirer le regard et titiller l'intérêt. Espacer la lecture des nouvelles permet de conserver la curiosité du lecteur et garder le plaisir de la découverte à chaque histoire, ce qui peut être bénéfique vu qu'il y en a quand même 34 au total...Cet ouvrage est très particulier car il s'agit en fait d'un recueil de nouvelles autour de l'idée de l'existence d'une machine à écrire la mort. Différents auteurs de différents horizons ont mis sur papier leur idée sur le sujet, montrant ainsi leur vision de la mort, de la façon de s'y préparer et de ce qu'une machine qui prédirait notre mort pourrait avoir comme impact sur notre monde et notre façon de vivre. Si je craignais au début de me lasser au fil des pages, j'ai finalement bien aimé découvrir tous ces styles différents et toutes ces histoires. Comme toujours certaines sont plus prenantes que d'autres, mais globalement ce sont bien toutes des visions de réactions possibles face à une mort annoncée, face au temps qui reste à vivre. Si les morts sont exprimées par un seul mot, cela amène un certain humour dans les récits car parfois le terme peut renvoyer à des fins bien différentes de celles auxquelles s'attendent les condamnés. Finalement ce n'est pas tant la fin elle-même qui intéresse les auteurs, mais bien l'avant et la réaction des personnages après l'annonce de la machine. L'idée de ce recueil est vraiment originale et parfois drôle, tout en étant profonde...
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  • Bibliozonard 20/12/2012
    Un cadeau de la maison ! Merci. Une machine se vend comme des petits pains partout à travers le monde. Exposée comme un distributeur à café, ou encore comme un distributeur de friandises qui vous révèle une envie soudaine de sucrerie chaque fois que vous le voyez. C’est exactement le même principe pour la machine à écrire la mort, qui, après une légère pique sur le bout du doigt que vous avez incrusté nerveusement dans l’orifice conçu pour, qui, une fois votre ADN relevé, régurgite un billet en format carte de visite classique sur lequel un ou deux mots vous annoncent votre fin. Votre mort. Un sujet qui a provoqué un débordement d’imagination de 500 pages chez les 33 auteurs (et non 34, car D. Malki! a monopolisé la place avec 2 textes) qui ont participé au recueil de nouvelles paru chez Fleuve Noir. Mmm ! 33 c’est un signe. Surtout le 21/12 ou l’addition des deux nombres donne, je vous le donne dans le mile, 33. Dites : 33 ! C’est de cela qu’il s’agit. Du destin. Certes, malléable à merci. En fonction du positionnement de chacun , de la compréhension et du niveau d’adhérence à l’ésotérisme, à l’existence divine et son absence, à l’orde et le chaos, à la paranoïa et la sérénité, aux sens et aux non-sens de tout et de rien. Et, peu importe les ramifications qui nourrissent, un parcourt bien rempli ou ennuyeux, heureux ou malheureux. Fouillez les manuels théoriques sur le mouvement de groupement social, l’état du monde économique et politique, la complexité psychologique d’un être ou d’un ensemble d’individus, la théorie de la relativité d’Albert Einstein, la théorie de l’orde et du chaos de Stephen Hawking, les théories physiques sur le fonctionnement de l’univers. Malgré tout cela, l’issue de toute vie reste identique, la mort. Quel est l’intérêt de connaître une fin inévitable, si ce n’est pour se rassurer et gagner quelques années de respiration quand la chose est prise avec philosophie. Dans le cas contraire, elle entraîne la folie humaine à son paroxysme. S’il fallait retirer des nouvelles du lot pour illustrer quelques exemples, je choisirais celle de J-Jack Narau et « Le peloton d’exécution ». Une des plus longues que j'ai trouvé beaucoup trop courte. L’auteur est un excellent conteur. Dans le style, fluide, pas trop dense, presque poétique, son texte est le meilleur de l’ouvrage. Narau nous raconte comment un gars s’est retrouvé au milieu d’un groupe de révolutionnaires qui utiliserait la machine pour dépister les traitres… Dans « Cancer » David Malki! a privilégié une version sentimentale ou l’on retiendra que c’est le souvenir de l’être perdu l’essentiel. Sa deuxième participation « Cocaïne et antalgiques » est une démonstration approfondie de marketing dans la vente télé-achat. Serait-ce peut-être une révélation de la manière dont l’idée de la machine a été judicieusement véhiculée pour atterrir sur nos étagères ? Une opération intelligente soulignant la naïveté des gens devant l’achat compulsif de choses inutiles. Forcément, cela nous mène à l’éventuelle naissance d’un jeu d’ambiance commercialisable signé Alexander Danner dans « Anévrisme ». Le pas entre la fiction et la réalité est facile à franchir ici. Un jeu de société qui risque d’apparaître dans peu de temps sur le véritable marché du divertissement en famille. Une ambiance du jeu « Qui est-ce ? », version face à la mort. Avant d’en finir avec une citation qui résume très bien le thème. Je cite mon auteur préféré de tous. James Foreman qui signe un très intelligent « Mort thermique de l’univers ». J'étais sur le point d'accorder 3 étoiles sur 5, sur le site Babelio, à cet ouvrage. Un livre presque de circonstances dans l'euphorie paranoïde, comico ridicule encensée par la fin de calendrier. Mais pourquoi donc ? Me demandez-vous avec insistance, hurlant dans un porte-voix mégaphone, brandissant des pancartes d'indignation. Après tant d'enthousiasme révélé dans les paragraphes précédent ? Pour un seul texte apparu en fin de livre, une perle. Très intelligent. Des mots qui ont changé et nourrit mon approche de l’ensemble. Le titre de la nouvelle de Foreman pourrait faire peur et annoncer du chipotage casse-tête, mais détrompez-vous. C'est d'une grande clarté. Vous découvrirez la lucidité d'un personnage proche d'un Will Hunting, Brian, influencé par Stephen Hawking (je dois le découvrir absolument, essayer de le lire et le comprendre en tout cas), amoureux, il veut protéger sa copine Maggie qui devrait mourir à cause d’une bombe nucléaire. Un texte très étonnant et puissant pour moi, vu qu’il a influencé l’entièreté de mon commentaire. Quel plaisir de rencontrer une surprise au moment où l'on ne s’y attend plus ! Un petit passage à partager : « Nous avons observé un long silence. Je lui ai dit plus tard que j’aurais voulu rester là à tout jamais, nos avenirs fluctuant à mi-chemin entre la connaissance et l’ignorance, et que ce moment dure pour occuper toute la vie. Est-ce que cela aurait été une forme d’ordre ? Sachant que chaque option vous fait basculer de façon irréversible. Mais si vous refusez de choisir ? Est-ce l’ordre ou le chaos ? »(p454) La citation pour conclure, nous la devons à l’auteur d' « Effusion de sang », Jeff Tantz : « Ma fin est programmée, je suis un mort vivant ».Un cadeau de la maison ! Merci. Une machine se vend comme des petits pains partout à travers le monde. Exposée comme un distributeur à café, ou encore comme un distributeur de friandises qui vous révèle une envie soudaine de sucrerie chaque fois que vous le voyez. C’est exactement le même principe pour la machine à écrire la mort, qui, après une légère pique sur le bout du doigt que vous avez incrusté nerveusement dans l’orifice conçu pour, qui, une fois votre ADN relevé, régurgite un billet en format carte de visite classique sur lequel un ou deux mots vous annoncent votre fin. Votre mort. Un sujet qui a provoqué un débordement d’imagination de 500 pages chez les 33 auteurs (et non 34, car D. Malki! a monopolisé la place avec 2 textes) qui ont participé au recueil de nouvelles paru chez Fleuve Noir. Mmm ! 33 c’est un signe. Surtout le 21/12 ou l’addition des deux nombres donne, je vous le donne dans le mile, 33. Dites : 33 ! C’est de cela qu’il s’agit. Du destin. Certes, malléable à merci. En fonction du positionnement de chacun , de la compréhension et du niveau d’adhérence à l’ésotérisme, à l’existence divine et son...
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  • stephanieplaisirdelire 08/11/2012
    Les histoires sont variées. C’est agréable de passer de nouvelles en nouvelles sans tomber dans le répétitif. Elles ont des idées, des personnages principaux et des styles très différents. On découvre des nouvelles allant de la simple phrase (autosuffisante et excellente !), conçues sur le modèle d’une scène de théâtre, sous la forme de petites annonces, d’autres plus science-fiction, futuriste voir dystopique, à la manière d’un décompte… La machine à explorer la mort réserve pas mal de surprises aussi bien au niveau de la forme que du contenu.......
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