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La petite sauvage
Elisabeth Kern (traduit par)
Date de parution : 16/09/2015
Éditeurs :
12-21

La petite sauvage

Elisabeth Kern (traduit par)
Date de parution : 16/09/2015
Après Le Maître des orphelins, Jean Zimmerman signe un thriller retraçant le destin d’une enfant sauvage à Manhattan en 1876.
Lorsque débute ce roman, le narrateur attend l’arrivée de la Police à Central Park à côté du cadavre d’un ami d’enfance, et se demande s’il est lui-même l’auteur de ce... Lorsque débute ce roman, le narrateur attend l’arrivée de la Police à Central Park à côté du cadavre d’un ami d’enfance, et se demande s’il est lui-même l’auteur de ce meurtre… ou s’il faut y voir la marque de l’Enfant Sauvage. Il se lance alors dans le récit de sa... Lorsque débute ce roman, le narrateur attend l’arrivée de la Police à Central Park à côté du cadavre d’un ami d’enfance, et se demande s’il est lui-même l’auteur de ce meurtre… ou s’il faut y voir la marque de l’Enfant Sauvage. Il se lance alors dans le récit de sa famille : un an auparavant, le père de la famille Delgate découvre une Enfant Sauvage dans un freak show de Virginia City. Il décide de l’éduquer et de la faire rentrer dans le beau monde afin de prouver la supériorité de l’environnement culturel sur l’état de Nature. Rapidement, le narrateur voit naître en lui une passion à l’égard de sa nouvelle « sœur ». Mais alors que cette dernière gravit les échelons de la réussite, une série de crimes sordides jalonnent son parcours ascensionnel dans la bonne société new-yorkaise…
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EAN : 9782823841572
Code sériel : 4969
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823841572
Code sériel : 4969
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Little_stranger 26/01/2021
    Un nouvel auteur : quel bonheur ! Jean ZIMMERMAN écrit autour de New York de sa création et son évolution, des histoires à suspense. Après "Le maître des orphelins" qui racontait les meurtres sauvages d'enfants orphelins dans la New Amsterdam, créée par les hollandais, voici "La petite sauvage" et le New York du 19ème siècle, avec les prémices de la psychanalyse et une enfant sauvage, élevée par des indiens, présentée comme bête de foire et qui va intégrer une riche famille up to date. Ces deux romans sont passionnants, se lisent d'une traite, car on veut connaître la fin. Les héroïnes sont intéressantes, complexes, parfois hors normes, les héros ont des failles. Une expérience d'univers très différents les uns des autres, bien construits car sûrement fruits d'une recherche très élaborée.
  • IreneAdler 26/02/2018
    Challenge ABC 2017-2018 12/26 Inné, acquis ? Quelle est la part de chacun chez les humains ? Peut-on rendre au monde des humains une enfant qui a vécu un certain temps seule dans la nature ? Et surtout, quelle est la part de sauvagerie animale qu'elle a pu en garder ? Autant de question qui suivent l'adoption, pour une expérimentation scientifique, d'une jeune fille présentée comme la Petite Sauvage et qui aurait vécu seule dans la nature avec des félins. Est-ce vrai ? Personne ne peut réellement le certifier. Ce qui est sûr, c'est qu'elle exerce une attraction très forte sur le fils aîné de la famille. Ce dernier souffre de neurasthénie (dépression ?), et bientôt ne sait plus très bien si les cadavres qui jalonnent la montée sociale de la Petite Sauvage sont de son fait à lui ou à elle. Les faits sont pour lui très troubles... Le roman nous entraîne dans le Manhattan des années 1870, avec la montée en puissance de la psychologie et des sciences expérimentales. Avec des dérives sérieuses : acheter une jeune fille pour illustrer la force de l'acquis sur l'inné (sans autre protocole scientifique) montre bien qu'avec de l'argent tout est possible, même de n'avoir aucune réprobation publique... si on est brillant. L'écriture entretient bien l’ambiguïté sur la responsabilité des meurtres. Tout y crépusculaire, en accord avec l'état d'esprit du narrateur. Sans aller jusqu'à parler de faiblesse d'esprit ou de volonté, il est plutôt en deçà de la Petite Sauvage, qui elle semble être sans empathie ou sans sentiment, alors qu'elle est pleine de volonté, de désir d'aider les autres, sans éprouver de dégoût inutile. Elle y va, sans avoir froid aux yeux. C'est un personnage féminin très fort, presque dur. Complètement à contre-courant de ce que la société de l'époque demandait et attendait des femmes de la haute société. Un esprit rebelle qui ne rentre dans aucun moule. Challenge ABC 2017-2018 12/26 Inné, acquis ? Quelle est la part de chacun chez les humains ? Peut-on rendre au monde des humains une enfant qui a vécu un certain temps seule dans la nature ? Et surtout, quelle est la part de sauvagerie animale qu'elle a pu en garder ? Autant de question qui suivent l'adoption, pour une expérimentation scientifique, d'une jeune fille présentée comme la Petite Sauvage et qui aurait vécu seule dans la nature avec des félins. Est-ce vrai ? Personne ne peut réellement le certifier. Ce qui est sûr, c'est qu'elle exerce une attraction très forte sur le fils aîné de la famille. Ce dernier souffre de neurasthénie (dépression ?), et bientôt ne sait plus très bien si les cadavres qui jalonnent la montée sociale de la Petite Sauvage sont de son fait à lui ou à elle. Les faits sont pour lui très troubles... Le roman nous entraîne dans le Manhattan des années 1870, avec la montée en puissance de la psychologie et des sciences expérimentales. Avec des dérives sérieuses : acheter une jeune fille pour illustrer la force de l'acquis sur l'inné (sans autre protocole scientifique) montre bien qu'avec de l'argent tout est possible, même de n'avoir aucune...
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  • MAPATOU 26/01/2017
    J’ai découvert l’auteure, Jean Zimmerman, par la lecture de ce roman génial qu’est « Le maître des orphelins ». D’ailleurs, depuis je la suis sur son blog ; ceci pour vous dire que je suis fan ! J’attendais donc la parution en France de ce roman avec une grande impatience. Et là… c’est non pas le drame mais une légère déception. L’histoire : En 1876, un homme richissime, Freddy Delegate, plein d’extravagance adopte une enfant sauvage découverte dans un freak show d’une ville de mineurs dans l’Ouest américain. Cette jeune fille n’est pas « réellement sauvage », elle a été enlevée enfant par des Comanches parmi lesquels elle a vécu ensuite. Emmenée par la famille à Manhattan, Bronwyn sera choyée par sa famille adoptive (elle remplace dans le coeur de la mère de famille sa fille décédée), ses deux « frères » tomberont sous son charme ainsi que toute la bonne société new-yorkaise d’ailleurs. Mais des hommes gravitant dans l’entourage de Bronwyn sont assassinés et horriblement mutilés. Hugo Delegate, pourtant fou amoureux de sa soeur adoptive, commence à la soupçonner. Et c’est lui qui nous raconte toute l’histoire alors qu’il vient de découvrir le corps de son ami d’enfance. Il m’a fallu lire les 150 premières pages pour comprendre où l’auteure voulait en venir : sommes-nous gouvernés par l’inné ou par l’acquis ? » A cette époque, les questions que se posaient Freddy étaient très philosophiques : sommes-nous les jouets du hasard ? Y a t il une divinité qui forge nos destinées ? De telles interrogations se multipliaient dans le débat sur l’inné et l’acquis, qui faisait rage dans les cercles intellectuels de la côte Est qu’il fréquentait. » Le propos aurait été intéressant mais j’ai trouvé que l’auteure s’était perdue au milieu de plein d’autres thèmes : la vie de la haute société new yorkaise, les crimes, les études d’anatomie du narrateur. J’ai trouvé que cela faisait un peu « fourre-tout ». C’est ce qui a engendré ma déception et ma difficulté à adhérer complètement à l’histoire. J’ai découvert l’auteure, Jean Zimmerman, par la lecture de ce roman génial qu’est « Le maître des orphelins ». D’ailleurs, depuis je la suis sur son blog ; ceci pour vous dire que je suis fan ! J’attendais donc la parution en France de ce roman avec une grande impatience. Et là… c’est non pas le drame mais une légère déception. L’histoire : En 1876, un homme richissime, Freddy Delegate, plein d’extravagance adopte une enfant sauvage découverte dans un freak show d’une ville de mineurs dans l’Ouest américain. Cette jeune fille n’est pas « réellement sauvage », elle a été enlevée enfant par des Comanches parmi lesquels elle a vécu ensuite. Emmenée par la famille à Manhattan, Bronwyn sera choyée par sa famille adoptive (elle remplace dans le coeur de la mère de famille sa fille décédée), ses deux « frères » tomberont sous son charme ainsi que toute la bonne société new-yorkaise d’ailleurs. Mais des hommes gravitant dans l’entourage de Bronwyn sont assassinés et horriblement mutilés. Hugo Delegate, pourtant fou amoureux de sa soeur adoptive, commence à la soupçonner. Et c’est lui qui nous raconte toute l’histoire alors qu’il vient de découvrir le corps de son ami d’enfance. Il m’a fallu lire les 150...
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  • AnneNY 07/09/2016
    J'avais bien aimé "Le Maître des Orphelins" le premier roman de Jean Zimmerman, on découvrait NY au commencement en 1663. Avec "La petite sauvage", la future métropole a grandi, on est en 1870. La ville s'étend, se modernise, le mouvement s'intensifie. Comme le précédent livre, l’auteure met l'accent sur les petits détails historiques on croise la famille d'Henry James, Teddy Roosevelt, les Rockefeller. La statue de la Liberté arrive petits bouts par petits bouts. J’ai découvert l’existence des Berdaches dans la culture Indienne, personnes à la fois masculin et féminin. Et à chaque fois Jean Zimmerman nous présente des femmes indépendantes, modernes qui ont du caractère. En revanche je me suis un peu ennuyée avec l'histoire. Une jeune fille sauvage recueillie par LA riche famille de New York, des meurtres mystérieux autour d’elle. J’ai eu l’impression qu’il ne se passait pas grand-chose, beaucoup de répétitions. Je ne suis pas une habituée des romans policiers, mais dès le début j’avais deviné ….. Néanmoins ce roman reste une lecture agréable. Le fait que le récit se raconte à travers le témoignage d’un seul personnage permet une lecture fluide. Jean Zimmerman travaille sur une saga consacrée à l’histoire de New York, alors même si j’ai été un peu déçue par cette 2ème aventure, j’attends son prochain recueil avec impatience.J'avais bien aimé "Le Maître des Orphelins" le premier roman de Jean Zimmerman, on découvrait NY au commencement en 1663. Avec "La petite sauvage", la future métropole a grandi, on est en 1870. La ville s'étend, se modernise, le mouvement s'intensifie. Comme le précédent livre, l’auteure met l'accent sur les petits détails historiques on croise la famille d'Henry James, Teddy Roosevelt, les Rockefeller. La statue de la Liberté arrive petits bouts par petits bouts. J’ai découvert l’existence des Berdaches dans la culture Indienne, personnes à la fois masculin et féminin. Et à chaque fois Jean Zimmerman nous présente des femmes indépendantes, modernes qui ont du caractère. En revanche je me suis un peu ennuyée avec l'histoire. Une jeune fille sauvage recueillie par LA riche famille de New York, des meurtres mystérieux autour d’elle. J’ai eu l’impression qu’il ne se passait pas grand-chose, beaucoup de répétitions. Je ne suis pas une habituée des romans policiers, mais dès le début j’avais deviné ….. Néanmoins ce roman reste une lecture agréable. Le fait que le récit se raconte à travers le témoignage d’un seul personnage permet une lecture fluide. Jean Zimmerman travaille sur une saga consacrée à l’histoire de New York, alors même si j’ai été un...
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  • chumi 09/01/2016
    J'ai adoré ce livre. Il fait presque 600 pages mais on a envie de le lire d'une traite. Même si on a l'impression que l'histoire commence par la réponse, on est confronté à de nombreuses surprises.
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