La Théorie du Chaos

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• palamede 09/05/2021

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  Henry Poincaré, commissaire à Interpol et arrière-petit-fils du célèbre scientifique, enquête sur la mort de James Fenster, mathématicien génial victime d'un attentat à Amsterdam. Poincaré se concentre sur les travaux de Fenster qui semblent être la cause de son assassinat. Mais au cours de son enquête, il va devoir faire face à un problème qui le touche directement : un criminel de guerre de l'ex-Yougoslavie menace de tuer sa famille. le pire est à venir pour la femme et les enfants du policier. Un compte à rebours est enclenché décomptant les jours qui précèdent la fin du monde ; des milliers de gens, adeptes d'une secte religieuse, attendent le retour de Dieu. Les plus extrémistes perpétuent des attentats-suicides pour accélérer le salut des âmes. C'est dans ce contexte que Poincaré rencontre les alter-mondialistes opposés au sommet auquel devait assister Fenster avant de mourir. Désormais la vie de Poincaré est une lutte contre le chaos qui menace d'anéantir non seulement sa famille et lui-même mais aussi le reste du monde. La Théorie du Chaos nous plonge dans un univers où certains pensent que la rationalité scientifique peut s'appliquer à toutes choses. Mais Léonard Rosen prouve, avec ce roman, que les humains échappent à toute modélisation mathématique. Les tentatives de les y enfermer ne peuvent être que génératrices de chaos. Un premier roman policier réussi pour le professeur à Harvard et à Bentley qui y introduit les mathématiques et les thèmes aussi divers que l'alter-mondialisme, les sectes religieuses, les attentats-suicides et les criminels de guerre avec beaucoup d'habilité. Et ce qui ne gâte rien, ses personnages sont convaincants, à commencer par le commissaire Henri Poincaré. Challenge MULTI-DÉFIS 2021 Henry Poincaré, commissaire à Interpol et arrière-petit-fils du célèbre scientifique, enquête sur la mort de James Fenster, mathématicien génial victime d'un attentat à Amsterdam. Poincaré se concentre sur les travaux de Fenster qui semblent être la cause de son assassinat. Mais au cours de son enquête, il va devoir faire face à un problème qui le touche directement : un criminel de guerre de l'ex-Yougoslavie menace de tuer sa famille. le pire est à venir pour la femme et les enfants du policier. Un compte à rebours est enclenché décomptant les jours qui précèdent la fin du monde ; des milliers de gens, adeptes d'une secte religieuse, attendent le retour de Dieu. Les plus extrémistes perpétuent des attentats-suicides pour accélérer le salut des âmes. C'est dans ce contexte que Poincaré rencontre les alter-mondialistes opposés au sommet auquel devait assister Fenster avant de mourir. Désormais la vie de Poincaré est une lutte contre le chaos qui menace d'anéantir non seulement sa famille et lui-même mais aussi le reste du monde. La Théorie du Chaos nous plonge dans un univers où certains pensent que la rationalité scientifique peut s'appliquer à toutes choses. Mais Léonard Rosen prouve, avec ce roman, que les humains échappent à toute modélisation...

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• thisou08 14/03/2017

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  Je verrais bien Henri Poincaré en personnage récurrent dans d'autres enquêtes. Je ne connaissais pas le mathématicien Jules Henri Poincaré, ni la théorie du chaos, ni les fractales... Ce qui ne m'a pas empêchée d'apprécier le livre. De plus, une piste s'ouvre à moi pour d'autres lectures relatives aux divers sujets abordés qui seront peut-être encore plus ardues...
• fbrenier 01/10/2014

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  Ce livre est réussi à part les deux derniers chapitres.
• abfabetcie 25/03/2014

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  Nous voilà plongés au cœur d’Interpol, police internationale, qui réunit pour l’enquête qui nous intéresse – le meurtre d’un mathématicien américain à Amsterdam – plusieurs agents de pays différents, de cultures différentes, d’où une confrontation intéressante. Poincaré, le français, Ludovici l’Italien. Poincaré, rigoureux, intègre, profondément humain et humaniste, respecte les codes de conduite et les règles, c’est un homme de principes. Ludovici, plus borderline, n’hésite pas à de détourner des règles quand la fin justifie pour lui les moyens. De l’humour dans la première partie, moins par la suite quand l’histoire prend un tour dramatique après les attentats perpétrés contre les proches de Poincaré. La première partie pose les personnages, l’intrigue et surtout la menace qui pèse sur la famille de Poincaré en la personne de Stipo Banovic, un criminel de guerre serbe dont Poincaré est responsable de l’arrestation et qui a décidé de se venger. C’est le grain de sable dans les rouages de l’enquête de Poincaré. Dans la 2e partie, on bascule vite dans l’horreur car les crimes commis contre la famille de Poincaré sont atroces. Polar qui se laisse lire, malgré des longueurs, surtout quand il s’agit des théories mathématiques (pour ma part, je suis un peu réfractaire !), avec des personnages bien campés et attachants, empreints de beaucoup d’humanité, mais le rythme s’essouffle. Et surtout, on a l’impression que l’auteur n’a pas su choisir quelle histoire il voulait raconter, il y a un manque de cohérence et d’unité dans ce polar. On se demande finalement quelle est l’histoire principale ? Le meurtre du mathématicien et l’enquête pour l’élucider ? Les attentats contre la famille de Poincaré et la chasse vengeresse de Poincaré contre ses auteurs ? Les « enlèvementistes », ces fondamentalistes chrétiens, qui à l’instar des kamikazes islamistes, perpétuent des attentats ? Chaos dans le monde, chaos dans la vie dévastée de Poincaré … Les histoires vont finalement converger mais la fin m’a pour ma part laissée sur ma faim. Nous voilà plongés au cœur d’Interpol, police internationale, qui réunit pour l’enquête qui nous intéresse – le meurtre d’un mathématicien américain à Amsterdam – plusieurs agents de pays différents, de cultures différentes, d’où une confrontation intéressante. Poincaré, le français, Ludovici l’Italien. Poincaré, rigoureux, intègre, profondément humain et humaniste, respecte les codes de conduite et les règles, c’est un homme de principes. Ludovici, plus borderline, n’hésite pas à de détourner des règles quand la fin justifie pour lui les moyens. De l’humour dans la première partie, moins par la suite quand l’histoire prend un tour dramatique après les attentats perpétrés contre les proches de Poincaré. La première partie pose les personnages, l’intrigue et surtout la menace qui pèse sur la famille de Poincaré en la personne de Stipo Banovic, un criminel de guerre serbe dont Poincaré est responsable de l’arrestation et qui a décidé de se venger. C’est le grain de sable dans les rouages de l’enquête de Poincaré. Dans la 2e partie, on bascule vite dans l’horreur car les crimes commis contre la famille de Poincaré sont atroces. Polar qui se laisse lire, malgré des longueurs, surtout quand il s’agit des théories mathématiques (pour ma part, je suis un peu réfractaire...

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• Blandine80 19/02/2014

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  Un bon polar surprenant. Voilà le résumé que j’en ferai. J’ai eu, je l’avoue, quelques difficultés dans la première partie pour situer les personnages, rentrer dans le livre, prendre possession de l’histoire. Le début est assez fade, on en apprécie que mieux la montée en puissance. Petit à petit je me suis attachée à ce Poincaré qui m’a un peu fait penser à l’inspecteur Columbo. Il revient toujours à la charge et ne lâche rien. J’ai maudit les méchants qui s’en prennent à sa famille, mais j’ai trouvé ça surprenant. Habituellement les policiers, enquêteurs ne sont pas atteints de manière si personnelle. Que de rebondissements surprenants, que de pistes à suivre alors que le temps presse. Outre les meurtres à résoudre, Poincaré doit faire faire fi des pressions de sa hiérarchie, qui le trouve hors d’âge…. A juste titre peut être car parfois le rythme s’assoupit et donne l’impression de lourdeur (les descriptions de produits chimiques par exemple). Je n’ai pas retenu grand-chose des théories mathématiques évoquées dans le livre mais j’ai bien aimé cette idée de construction identique du virus de la grippe, aux villes en passant par la feuille d’arbre. Je suis même allée jusqu’à chercher en savoir un peu plus sur cet ancêtre Poincaré (on comprend alors mieux pourquoi il est si présent dans le livre) et sur les fractales. Ce livre, bien document me semble-t-il, aura rempli un double rôle : détente et culture générale. Un bon polar surprenant. Voilà le résumé que j’en ferai. J’ai eu, je l’avoue, quelques difficultés dans la première partie pour situer les personnages, rentrer dans le livre, prendre possession de l’histoire. Le début est assez fade, on en apprécie que mieux la montée en puissance. Petit à petit je me suis attachée à ce Poincaré qui m’a un peu fait penser à l’inspecteur Columbo. Il revient toujours à la charge et ne lâche rien. J’ai maudit les méchants qui s’en prennent à sa famille, mais j’ai trouvé ça surprenant. Habituellement les policiers, enquêteurs ne sont pas atteints de manière si personnelle. Que de rebondissements surprenants, que de pistes à suivre alors que le temps presse. Outre les meurtres à résoudre, Poincaré doit faire faire fi des pressions de sa hiérarchie, qui le trouve hors d’âge…. A juste titre peut être car parfois le rythme s’assoupit et donne l’impression de lourdeur (les descriptions de produits chimiques par exemple). Je n’ai pas retenu grand-chose des théories mathématiques évoquées dans le livre mais j’ai bien aimé cette idée de construction identique du virus de la grippe, aux villes en passant par la feuille d’arbre. Je suis même allée jusqu’à chercher en savoir un peu plus...

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