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Les fleurs sauvages des bougainvilliers
Françoise Rose (traduit par)
Date de parution : 04/06/2015
Éditeurs :
Belfond

Les fleurs sauvages des bougainvilliers

Françoise Rose (traduit par)
Date de parution : 04/06/2015
​Après l’inoubliable Reine des pluies, Katherine Scholes signe un roman envoûtant ; le magnifique portrait d’une femme éprise de liberté, avec pour toile de fond les étendues sauvages du Tanganyika des années 1940.
Peintre australienne, Kitty Hamilton a été contrainte de renoncer à son art pour suivre son mari Theo au bout du monde, dans la colonie britannique du Tanganyika.
Car Kitty a bien...
Peintre australienne, Kitty Hamilton a été contrainte de renoncer à son art pour suivre son mari Theo au bout du monde, dans la colonie britannique du Tanganyika.
Car Kitty a bien des choses à se faire pardonner… Après le scandale qu’elle a déclenché à Londres, la jeune femme n’a pas le...
Peintre australienne, Kitty Hamilton a été contrainte de renoncer à son art pour suivre son mari Theo au bout du monde, dans la colonie britannique du Tanganyika.
Car Kitty a bien des choses à se faire pardonner… Après le scandale qu’elle a déclenché à Londres, la jeune femme n’a pas le choix : si elle veut regagner la confiance de Theo, elle doit endosser son rôle d’épouse modèle. Sans faire de faux pas.
Mais, très vite, Kitty s’ennuie, étouffe dans l’univers ultracodifié des colons.
Alors, quand son chemin croise celui de Taylor, un Anglais aux positions anticoloniales tranchées, qui lutte aux côtés des Massaï pour la préservation de leurs terres, sa nature fougueuse refait surface.

​À l’ombre des bougainvilliers, drames et passions couvent. Déchirée entre son besoin de venir en aide à ce peuple démuni, son attirance pour le charismatique Taylor et le devoir de rester loyale envers Theo, Kitty saura-t-elle faire le bon choix ? 
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EAN : 9782714459985
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714459985
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • nathys 28/03/2024
    J'avais eu un coup de cœur pour son roman Le berceau du monde qui m'avait émue, malgré le rythme très lent et contemplatif. Ici je vais rejoindre les avis un peu mitigés: c'est long et il se passe peu de choses. L'accent est mis sur la psychologie de Kitty, personnage que j'ai beaucoup aimé, détonnant dans l'atmosphère guidée de la haute société britannique transposée au Tanganyika. Les relations entre les personnes, celles qui se tissent et se défont sont aussi au cœur de l'histoire. Malheureusement ça manquait un peu de rebondissements et lorsque ceux ci arrivent, ils sont expédiés trop rapidement.
  • axelle_lit 10/01/2024
    Bien plus qu’un voyage en terre inconnue, Katherine Scholes nous dépeint avec pudeur et finesse l’histoire de Kitty au sorti de la Seconde Guerre Mondiale. Alors que la place des femmes dans la société est en pleine mutation, la jeune femme se fait miroir de cette envie d’indépendance. Malgré quelques longueurs, j’ai trouvé une sorte de félicité dans la plume : bien que l’on soit sur un rythme lent, les pages défilent toutes seules. Car la lecture est très visuelle, presque cognitive. On est transporté sans mal de l’Angleterre grise et froide aux plaines arides à la terre ocre du Tanganyika. Ces deux tableaux font un excellent parallèle avec le parcours de Kitty : le carcan des conventions contre l’espoir de renouveau. À la limite du contemplatif, c’est un roman qui fait la part belle à l’évasion mais surtout à la psychologie de Kitty. Bien que l’intrigue souffre un poil de monotonie, elle illustre néanmoins très bien les questionnements que l’Australienne de naissance se pose, entre son vœu de fidélité dans le mariage et son envie d’être en adéquation avec ses valeurs. Un personnage qui m’a touché par sa loyauté, sa fougue et ses aspirations. • Une lecture tout en délicatesse. C’est beau, introspectif, plein d’espoir. À l’instar du bougainvillier, c’est un récit qui cherche sa place, son appartenance en déviant de l’arche imposée pour le paraître. Une quête identitaire.Bien plus qu’un voyage en terre inconnue, Katherine Scholes nous dépeint avec pudeur et finesse l’histoire de Kitty au sorti de la Seconde Guerre Mondiale. Alors que la place des femmes dans la société est en pleine mutation, la jeune femme se fait miroir de cette envie d’indépendance. Malgré quelques longueurs, j’ai trouvé une sorte de félicité dans la plume : bien que l’on soit sur un rythme lent, les pages défilent toutes seules. Car la lecture est très visuelle, presque cognitive. On est transporté sans mal de l’Angleterre grise et froide aux plaines arides à la terre ocre du Tanganyika. Ces deux tableaux font un excellent parallèle avec le parcours de Kitty : le carcan des conventions contre l’espoir de renouveau. À la limite du contemplatif, c’est un roman qui fait la part belle à l’évasion mais surtout à la psychologie de Kitty. Bien que l’intrigue souffre un poil de monotonie, elle illustre néanmoins très bien les questionnements que l’Australienne de naissance se pose, entre son vœu de fidélité dans le mariage et son envie d’être en adéquation avec ses valeurs. Un personnage qui m’a touché par sa loyauté, sa fougue et ses aspirations. • Une lecture tout en délicatesse. C’est beau, introspectif, plein d’espoir. À l’instar du bougainvillier,...
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  • MagalieVALLA 29/09/2021
    Nous avons traversé l’Australie, l’Angleterre puis l’Afrique pour atterrir au Tanganyika (Tanzanie actuelle). Kitty qui a grandi dans la ferme familiale australienne prend son envol en Angleterre grâce à sa grand-mère où elle va développer son rêve : apprendre l’art.   Une rencontre, une guerre et un monde qui n’était pas le sien ont forcé Kitty à renoncer à son rêve pour suivre son mari en Afrique. Elle cède pour sauver leur amour.   La vie africaine, les épreuves et une vie dans une mondanité qui n’est toujours pas la sienne vont lui faire ouvrir les yeux sur son quotidien et son couple.   Un drame inattendu va lui permettre malgré tout de s’épanouir en tant que femme et en tant qu’artiste.   En bref : J’ai adoré la naïveté du personnage principal. Une jeune fille innocente, douce, qui ne se laisse pas entacher par la richesse. Elle a le don de soi en elle. Elle aime aider. Elle aime vivre sans amertume.   J’ai adoré le voyage dans lequel l’auteur nous a amenés. La description, des décors, des personnes, de la langue, des tenues, m’a conquise tout au long de cette histoire qui a lieu entre 1947 et 1951 au Tanganyika pendant le déroulement du plan Arachide.   Un bon dans le passé que j’ai écouté avec délectation.Nous avons traversé l’Australie, l’Angleterre puis l’Afrique pour atterrir au Tanganyika (Tanzanie actuelle). Kitty qui a grandi dans la ferme familiale australienne prend son envol en Angleterre grâce à sa grand-mère où elle va développer son rêve : apprendre l’art.   Une rencontre, une guerre et un monde qui n’était pas le sien ont forcé Kitty à renoncer à son rêve pour suivre son mari en Afrique. Elle cède pour sauver leur amour.   La vie africaine, les épreuves et une vie dans une mondanité qui n’est toujours pas la sienne vont lui faire ouvrir les yeux sur son quotidien et son couple.   Un drame inattendu va lui permettre malgré tout de s’épanouir en tant que femme et en tant qu’artiste.   En bref : J’ai adoré la naïveté du personnage principal. Une jeune fille innocente, douce, qui ne se laisse pas entacher par la richesse. Elle a le don de soi en elle. Elle aime aider. Elle aime vivre sans amertume.   J’ai adoré le voyage dans lequel l’auteur nous a amenés. La description, des décors, des personnes, de la langue, des tenues, m’a conquise tout au long de cette histoire qui a lieu entre 1947 et 1951 au Tanganyika pendant le déroulement du plan Arachide.   Un bon dans le passé que...
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  • isab1965 22/08/2020
    Un très joli roman. Je ne connaissais pas l'auteur. Je suis rentrée très vite dans l'histoire, Facile à lire, très intéressant tout le long de l'histoire. Je le recommande
  • LaureLiseuseHyperfertile 18/10/2019
    C’est difficile de relire une auteure après un coup de cœur car nos attentes sont très élevées. Est-ce qu’il était possible que l’auteure m’entraîne à nouveau en Afrique avec la même force dans les émotions, avec le même dépaysement ? Si on y réfléchit ça parait peu probable parce que je suis devenue une lectrice bien exigeante. On va retrouver les thèmes chers à Katherine Scholes, qui nous plonge une nouvelle fois en Afrique. J’ai été moins dépaysée parce qu’ici le roman se passe dans une ville, et que la plupart des personnages que l’on suit sont des blancs. Ce n’est donc pas du tout le même cadre. Une nouvelle fois, c’est un très long roman (plus de 500 pages au format poche) dans lequel l’auteure prend le temps : elle pose son cadre, elle nous décrit les lieux, les personnages, elle revient en arrière sur le passé des uns et des autres, elles parsème de quelques mystères concernant la vie de Kitty qui nous intriguent. J’ai vite voulu savoir ce qui était arrivé dans sa vie, pourquoi ce revirement nécessaire qui les a amenés son mari et elle à fuir ainsi loin de l’Angleterre ? Il fallait repartir d’un nouveau pied, oublier la mauvaise réputation qu’elle traînait derrière elle. Le début du roman, comme pour La reine des pluies, était longuet. J’attendais que ça décolle et je suis restée un peu sur ma faim. Je n’ai pas été prise de passion pour Kitty qui va subir la vie d’épouse, devoir se conformer aux exigences du statut de son époux et qui n’aura guère d’occupation, de passion pour meubler ses journées. On sent que ça bouillonne en elle, qu’elle en veut à son mari d’avoir du abandonner la peinture, côtoyer les autres épouses ne la passionne pas, on sait qu’à un moment ou un autre elle va faire quelque chose pour que sa vie change. Elle va finir par se libérer un petit peu et son quotidien devient plus intéressant à lire mais il me manquait toujours quelque chose. Et si le final du roman amène un dynamisme et un souffle nouveau qui m’ont bien plu, c’est arrivé un peu trop tard pour réhausser mon impression générale de l’ensemble du roman.C’est difficile de relire une auteure après un coup de cœur car nos attentes sont très élevées. Est-ce qu’il était possible que l’auteure m’entraîne à nouveau en Afrique avec la même force dans les émotions, avec le même dépaysement ? Si on y réfléchit ça parait peu probable parce que je suis devenue une lectrice bien exigeante. On va retrouver les thèmes chers à Katherine Scholes, qui nous plonge une nouvelle fois en Afrique. J’ai été moins dépaysée parce qu’ici le roman se passe dans une ville, et que la plupart des personnages que l’on suit sont des blancs. Ce n’est donc pas du tout le même cadre. Une nouvelle fois, c’est un très long roman (plus de 500 pages au format poche) dans lequel l’auteure prend le temps : elle pose son cadre, elle nous décrit les lieux, les personnages, elle revient en arrière sur le passé des uns et des autres, elles parsème de quelques mystères concernant la vie de Kitty qui nous intriguent. J’ai vite voulu savoir ce qui était arrivé dans sa vie, pourquoi ce revirement nécessaire qui les a amenés son mari et elle à fuir ainsi loin de l’Angleterre ? Il fallait repartir d’un nouveau...
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