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Les princes charmants ne savent pas voler
Clémentine Célarié (préface de)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 02/03/2023
Éditeurs :
L'Archipel

Les princes charmants ne savent pas voler

Clémentine Célarié (préface de)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 02/03/2023
Élodie croit au grand amour. Lorsque cette trentenaire rencontre Kasper, elle sait immédiatement que c’est pour la vie. Mais quand son prince charmant meurt brutalement sous ses yeux huit mois plus tard, Élodie disjoncte… Un premier roman émouvant sur le parcours de reconstruction d’une jeune femme, inspiré de la propre histoire de l’autrice. Préface de Clémentine Célarié
Élodie croit au grand amour.
Lorsque cette jeune femme passionnée de parachutisme rencontre Kasper sur une plage de Thaïlande, elle pense que c’est pour la vie.
Malgré les embûches de la langue...
Élodie croit au grand amour.
Lorsque cette jeune femme passionnée de parachutisme rencontre Kasper sur une plage de Thaïlande, elle pense que c’est pour la vie.
Malgré les embûches de la langue et la distance qui les sépare, Élodie vit l’amour fou, celui que tout le monde espère.
Quand son prince charmant meurt...
Élodie croit au grand amour.
Lorsque cette jeune femme passionnée de parachutisme rencontre Kasper sur une plage de Thaïlande, elle pense que c’est pour la vie.
Malgré les embûches de la langue et la distance qui les sépare, Élodie vit l’amour fou, celui que tout le monde espère.
Quand son prince charmant meurt brutalement sous ses yeux huit mois plus tard, Élodie disjoncte. Devenue mutique, incapable d’exprimer sa douleur, elle n’a d’autre choix que de lui écrire pour le maintenir en vie.
Comment faire face à l’inacceptable ? La rage de vivre d’Élodie peut-elle l’emporter sur son chagrin ?
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EAN : 9782809846065
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809846065
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lulu8723 01/12/2023
    Élodie GODART. Les princes charmants ne savent pas voler. Ce récit autobiographique nous plonge dans un amour brisé par le décès accidentel du compagnon d’Élodie, comédienne. En vacances, en Thaïlande avec ses deux meilleures amies, la jeune femme rencontre sur une plage, à l’autre bout du monde Kasper, un polonais ayant émigré en Allemagne, paysagiste-jardinier. Ils tombent éperdument amoureux et malgré le problème des langues, l’éloignement, ils vont vivre une passion brève mais intense. Avant de s’installer ensemble, à Paris, ils vont vivre des week-ends, en Allemagne, en France ou en villégiature dans un autre pays, le Portugal, etc.… Mais un soir, à Paris, suite à une soirée festive très arrosée, Kasper, sous les yeux d’Élodie se défenestre : il chute de trois étages… Suite à cette disparition, Élodie sombre et s’enfonce dans un marasme total. Elle ne parle plus, ne se lave plus, ne s’alimente plus…. Elle veut disparaître et rejoindre celui qu’elle aime. Elle ne peut croire à cette tragédie, refuse d’affronter la réalité. Hospitalisée, suivie par un psychiatre, elle éprouve de nombreuses difficultés dans sa vie quotidienne, rejetant même l’aide de sa mère, de ses amies. Une véritable descente aux enfers. Enfin, elle relève la tête et va reprendre une de ses passions : le saut en parachute. Afin de retrouver son entrain, elle écrit cette douloureuse page de son existence. Parviendra-t-elle à retrouver le sourire, la joie de vivre ? Aura-t-elle l’opportunité de vivre une nouvelle passion amoureuse ? Ce livre constitue son exutoire. Une belle approche de la perte d’un être cher. Il faut, mais ce n’est pas évident, affronter ses démons, les terrasser afin de vivre, de revivre. Cette narration intimiste, relatant un amour fou, est une ode à la vie, une lueur d’espoir. Élodie revit cette folle passion et nous force à l’admiration. Sa plume incisive, le récit de sa descente dans las catacombes, sa résurrection, témoignent de sa force de caractère, de sa volonté. Ce livre est un bel hommage à Kasper, son compagnon disparu. Je vous conseille la lecture de cet ouvrage et vous incite à lire, sur le même thème, le roman autobiographique de Gaëlle PIETRI : « Le temps de te dire adieu ». Ce sont deux documents analysant la mort d’un être aimé et brusquement disparu, foudroyé en pleine jeunesse. Bonne lecture et bonne journée. ( 30/11/2023). Élodie GODART. Les princes charmants ne savent pas voler. Ce récit autobiographique nous plonge dans un amour brisé par le décès accidentel du compagnon d’Élodie, comédienne. En vacances, en Thaïlande avec ses deux meilleures amies, la jeune femme rencontre sur une plage, à l’autre bout du monde Kasper, un polonais ayant émigré en Allemagne, paysagiste-jardinier. Ils tombent éperdument amoureux et malgré le problème des langues, l’éloignement, ils vont vivre une passion brève mais intense. Avant de s’installer ensemble, à Paris, ils vont vivre des week-ends, en Allemagne, en France ou en villégiature dans un autre pays, le Portugal, etc.… Mais un soir, à Paris, suite à une soirée festive très arrosée, Kasper, sous les yeux d’Élodie se défenestre : il chute de trois étages… Suite à cette disparition, Élodie sombre et s’enfonce dans un marasme total. Elle ne parle plus, ne se lave plus, ne s’alimente plus…. Elle veut disparaître et rejoindre celui qu’elle aime. Elle ne peut croire à cette tragédie, refuse d’affronter la réalité. Hospitalisée, suivie par un psychiatre, elle éprouve de nombreuses difficultés dans sa vie quotidienne, rejetant même l’aide de sa mère, de ses amies....
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  • LivresCarnets 03/11/2023
    Un roman sur le deuil et la reconstruction. Pas hyper joyeux mais qui traite du sujet avec justesse. Elodie Godart a réussi à transmettre les émotions et l'horreur de ce qu'elle a vécu, au travers de ce roman. Une plongée dans son intimité et son lourd, douloureux et long parcours de reconstruction. Le roman est écrit presque comme on parle, mais cela reste très fluide à lire. Poignant !
  • Shereadsabook 27/08/2023
    Un premier roman, avec une jolie préface de Clémentine Célarié. Ce roman est inspiré de la propre vie d'Elodie Godart. Emotions au rendez-vous car on va vivre, aux côtés de l'héroïne qui porte le même prénom que l'autrice et qui rejoint le fait que ce roman est autobiographique, une descente aux enfers. Un amour passionné comme on en vit peu, et une mort tout aussi brutale que leur rencontre fût passionnée. Sur cette mort, outre le fait que Kasper meurt sous les yeux d'Elodie, je ne vous dirais rien d'autre la concernant. Elle reste à être découverte à la lecture du roman. Ce roman, vous l'aurez compris, traite du deuil, du processus du deuil, de l'acceptation du deuil, et chacun ne le vit pas et ne le ressent pas de la même manière. Ici, Elodie n'arrive plus à exprimer sa douleur, ni même autre chose d'ailleurs. Elle entre dans un mutisme et sa seule compagnie est son chagrin. Un roman qui parle du deuil, de l'acceptation du deuil, mais aussi de résilience, de reconstruction. La détresse d'Elodie, on la ressent à travers ses mots. Les émotions qu'elle traverse face à ce drame qui s'est produit sous ses yeux. A travers ses mots, car devenue mutique, elle décide d'écrire. Ecrire pour que Kasper continue de vivre, pour le maintenir en vie. Dans ses mots, des questions qu'elle lui adresse, de la colère, du manque... On suit ce qu'elle traverse au quotidien, ainsi que sa prise en charge médicale car bien sûr, devenue mutique, Elodie doit être prise en charge psychologiquement. Un chemin long à parcourir, on vit les épreuves à travers les mots adressés à Kasper, on ressent également la rage de vivre d'Elodie qui devient essentielle face à ce drame et pour sa reconstruction. Les mots d'Elodie Godart son remplis d'émotions et le récit est touchant. Des mots adressés à Kasper, ce qui rend le récit particulier et authentique. Il faut, je ne vous le cache pas, trouver le bon moment pour la lecture de ce touchant roman. Un premier roman, avec une jolie préface de Clémentine Célarié. Ce roman est inspiré de la propre vie d'Elodie Godart. Emotions au rendez-vous car on va vivre, aux côtés de l'héroïne qui porte le même prénom que l'autrice et qui rejoint le fait que ce roman est autobiographique, une descente aux enfers. Un amour passionné comme on en vit peu, et une mort tout aussi brutale que leur rencontre fût passionnée. Sur cette mort, outre le fait que Kasper meurt sous les yeux d'Elodie, je ne vous dirais rien d'autre la concernant. Elle reste à être découverte à la lecture du roman. Ce roman, vous l'aurez compris, traite du deuil, du processus du deuil, de l'acceptation du deuil, et chacun ne le vit pas et ne le ressent pas de la même manière. Ici, Elodie n'arrive plus à exprimer sa douleur, ni même autre chose d'ailleurs. Elle entre dans un mutisme et sa seule compagnie est son chagrin. Un roman qui parle du deuil, de l'acceptation du deuil, mais aussi de résilience, de reconstruction. La détresse d'Elodie, on la ressent à travers ses mots. Les émotions qu'elle traverse face à ce drame qui s'est produit sous ses yeux. A travers ses...
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  • Marie-Nel 26/08/2023
    Ce sont les mots de Clémentine Célarié sur le bandeau rouge de couverture qui m'ont tout de suite intriguée. Elle dit que c'est "une des plus belles histoires d'amour qu'elle ait lues". Lorsque j'ai lu le résumé, le sujet du deuil m'a tout de suite intéressée même s'il est fort et émouvant. En plus, je vivais des moments difficiles et similaires, puisque j'ai lu ce roman au moment du décès de ma maman. J'ai attendu avant d'écrire cette chronique. Et enfin, lorsque j'ai lu que c'était autobiographique et un premier roman, j'ai été encore plus intéressée. Ce livre est écrite comme une longue lettre que Élodie écrirait à son amour perdu. Elle ressent ce besoin d'écrire au moment de la perte de son compagnon. Elle écrit sur des feuilles, puis dans des cahiers. Elle retrace ainsi sa rencontre avec Kasper, un jeune allemand, pendant leurs vacances. Leur coup de foudre, leur weekend passionné. Puis une fois chacun rentré chez soi, le silence. Jusqu'à ce que Élodie prenne son courage à deux mains et contacte Kasper via les réseaux sociaux. Ils vont alors se revoir et ainsi pouvoir vivre leur amour et faire des projets. Jusqu'au drame, Kasper meurt brutalement sous les yeux d'Élodie huit mois plus tard. Et c'est alors la descente aux enfers pour la jeune femme. Elle ne parle plus, le choc est immense, c'est donc en lui écrivant qu'elle arrive à garder la tête hors de l'eau.  Difficile d'accepter la perte d'un être cher. Comme le dit si bien Clémentine Célarié dans sa préface, c'est perdre une partie de nous, voir tout ce qui nous fait. C'est très difficile de survivre et de se relever, parfois cela relève d'un miracle, et Élodie incarne ce miracle. Elle va tomber au plus bas, elle va passer par tous les stades dans son travail de deuil. Elle va culpabiliser, nier la vérité, penser que Kasper est toujours vivant, elle va ensuite être en colère, avant d'arriver à relever la tête et à avoir envie de continuer. C'est un exemple même de résilience.  Je me suis très vite attachée à Élodie, je crois même avant d'avoir commencé ma lecture. Je me suis tellement retrouvée en elle, et je pense que beaucoup de lecteurs auront ce même sentiment. Je me suis mise à sa place, j'ai ressenti toutes ses émotions. Je ne sais pas comment je réagirais dans sa situation. J'ai perdu ma maman, suite à une longue maladie, on n'est jamais prêt, mais on sait que ça va nous tomber dessus. Mais là, dans le cas d'Élodie, c'est un accident, Kasper est jeune, on ne pense pas du tout à cela, on a la vie devant nous, et c'est ce qui rend cette mort encore plus dramatique et difficile à supporter. En me mettant dans la peau d'Élodie, je n'imagine pas la douleur que cela doit représenter. C'est en plus très bien écrit, la plume d'Élodie Godart est très belle, très poétique. On sent dans son écriture l'évolution de son mental. On assiste à sa descente aux enfers, puis à sa reconstruction. J'ai été triste avec elle, j'ai perdu ma voix aussi, j'ai souri en même temps qu'elle. J'ai eu l'impression de vivre à ses côtés, perchée sur son épaule, et je l'ai suivie de très près. C'est également dû à la narration à la première personne, elle permet d'être au plus près des émotions de l'autrice, de rentrer dans sa tête et de vivre à sa place. Et avec un tel sujet, les sensations sont très fortes et intenses.  Ce récit est très intimiste. On suit Élodie sur quinze mois. Il ne sera question que du deuil, comme je le disais plus haut, c'est écrit comme un journal. J'ai lu ce roman à un moment fort pour moi, il m'a fallu du temps pour pouvoir en parler sans soulever de trop fortes émotions en moi. Et bien que le sujet soit très triste, ce livre est porteur d'espoir, c'est une très belle ode à la vie, à l'amour. Il donne envie de dire à nos proches combien on les aime. Il nous fait surtout comprendre qu'il faut profiter de la vie et des êtres aimés à tout instant, après il est trop tard.  C'est un livre qui se lit vite, il est intense, et pour moi il est complet. En rajouter ou le détailler plus aurait été pour moi trop redondant. Il se suffit à lui-même. C'est un premier roman pour Élodie Godart et j'espère sincèrement que ce ne sera pas le seul car elle a vraiment une jolie plume, incisive et poétique, un style percutant, réaliste et juste. Je garderais longtemps ce roman dans ma mémoire et dans mon coeur. Moi aussi j'écris beaucoup depuis que ma maman est décédée, mais je n'ai pas le talent d'Élodie.  Je ne peux bien sûr que vous conseiller ce roman, il fait aimer la vie, il ne faut pas avoir peur du sujet. Il est tellement bien traité à travers les mots de l'autrice. Ce sont les mots de Clémentine Célarié sur le bandeau rouge de couverture qui m'ont tout de suite intriguée. Elle dit que c'est "une des plus belles histoires d'amour qu'elle ait lues". Lorsque j'ai lu le résumé, le sujet du deuil m'a tout de suite intéressée même s'il est fort et émouvant. En plus, je vivais des moments difficiles et similaires, puisque j'ai lu ce roman au moment du décès de ma maman. J'ai attendu avant d'écrire cette chronique. Et enfin, lorsque j'ai lu que c'était autobiographique et un premier roman, j'ai été encore plus intéressée. Ce livre est écrite comme une longue lettre que Élodie écrirait à son amour perdu. Elle ressent ce besoin d'écrire au moment de la perte de son compagnon. Elle écrit sur des feuilles, puis dans des cahiers. Elle retrace ainsi sa rencontre avec Kasper, un jeune allemand, pendant leurs vacances. Leur coup de foudre, leur weekend passionné. Puis une fois chacun rentré chez soi, le silence. Jusqu'à ce que Élodie prenne son courage à deux mains et contacte Kasper via les réseaux sociaux. Ils vont alors se revoir et ainsi pouvoir vivre leur amour et faire des projets. Jusqu'au drame, Kasper meurt brutalement sous les...
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  • lalectricedyslexique 25/08/2023
    Ce livre est paru début du mois aux @editionsdelarchipel. Témoignage bouleversant qui à travers ces pages nous confronte à l'amour, au deuil, au déni à la reconstruction. Le tout avec justesse on ressent bien le vécu. Savoir que tout cela a vraiment existé rend le récit encore plus fort. J'ai aimé que le récit ne soit pas trop long car sinon je pense que j'aurai moins apprécié. Je m'explique à travers ses lignes j'ai vraiment ressenti la détresse de l'autrice mais de temps à autre je trouvais que c'était exagéré. Et pourtant le fait de savoir que c'est un vrai témoignage m'a recadrer dans mes pensées et dans mes jugements. Après étant un témoignage, certaines scènes sont moins développés que d'autres, alors que j'aurai voulu parfois plus de description pour mieux comprendre. Mais cela reste un très joli texte, une belle histoire d'amour.
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