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Les rôles de ma vie
Date de parution : 18/02/2016
Éditeurs :
Hors collection

Les rôles de ma vie

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Date de parution : 18/02/2016

Le dernier témoignage de Michel Galabru. Des années 50 à aujourd'hui, à travers plus de 250 films et 100 pièces de théâtre, il raconte sa longue et prestigieuse carrière.

Le dernier témoignage de Michel Galabru. Des années 50 à aujourd'hui, à travers plus de 250 films et 100 pièces de théâtre, il raconte sa longue et prestigieuse carrière.

Michel Galabru était l'un...
Le dernier témoignage de Michel Galabru. Des années 50 à aujourd'hui, à travers plus de 250 films et 100 pièces de théâtre, il raconte sa longue et prestigieuse carrière.

Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films...
Le dernier témoignage de Michel Galabru. Des années 50 à aujourd'hui, à travers plus de 250 films et 100 pièces de théâtre, il raconte sa longue et prestigieuse carrière.

Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, tout en menant en parallèle une belle carrière au théâtre. Considérant souvent le cinéma comme alimentaire et privilégiant le théâtre.

Il a connu tous les acteurs et les réalisateurs de la seconde moitié du 20ème siècle : de Louis de Funès à Isabelle Adjani en passant Michel Serrault, Jean Carmet ou Charles Aznavour.
Il se souvient, tantôt avec tendresse, souvent avec humour, des virées avec "ses copains", des tournées à travers la France, de ses débuts à la Comédie-Française, de sa rencontre avec Marcel Pagnol, de sa fascination pour Sacha Guitry, du tournage à New York des Gendarmes, du grand rôle de sa vie dans le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l'Assasin, de sa première figuration aux côtés de Paul Meurisse déjà grande vedette et amant d'Edith Piaf, du succès de La Cage aux folles, de son amitié avec Jean-Paul Belmondo...

Véritable mémoire du cinéma français, Michel Galabru a traversé le 20ème siècle et nous livre aujourd'hui ses souvenirs, les bons comme les mauvais, avec une grande sincérité et une modestie touchante.
Une belle leçon de cinéma, une belle leçon de vie. Un témoignage posthume très émouvant.


 
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EAN : 9782258136632
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258136632
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DIFFUSIONCINEMA 16/08/2021
    Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, tout en menant en parallèle une belle carrière au théâtre. Considérant souvent le cinéma comme alimentaire et privilégiant le théâtre. Il a connu tous les acteurs et les réalisateurs de la seconde moitié du 20ème siècle : de Louis de Funès à Isabelle Adjani en passant Michel Serrault, Jean Carmet ou Charles Aznavour. Il se souvient, tantôt avec tendresse, souvent avec humour, des virées avec "ses copains", des tournées à travers la France, de ses débuts à la Comédie-Française, de sa rencontre avec Marcel Pagnol, de sa fascination pour Sacha Guitry, du tournage à New York des Gendarmes, du grand rôle de sa vie dans le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l'Assasin, de sa première figuration aux côtés de Paul Meurisse déjà grande vedette et amant d'Edith Piaf, du succès de La Cage aux folles, de son amitié avec Jean-Paul Belmondo... Véritable mémoire du cinéma français, Michel Galabru a traversé le 20ème siècle et nous livre aujourd'hui ses souvenirs, les bons comme les mauvais, avec une grande sincérité et une modestie touchante. Une belle leçon de cinéma, une belle leçon de vie. Un témoignage posthume très émouvant.Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, tout en menant en parallèle une belle carrière au théâtre. Considérant souvent le cinéma comme alimentaire et privilégiant le théâtre. Il a connu tous les acteurs et les réalisateurs de la seconde moitié du 20ème siècle : de Louis de Funès à Isabelle Adjani en passant Michel Serrault, Jean Carmet ou Charles Aznavour. Il se souvient, tantôt avec tendresse, souvent avec humour, des virées avec "ses copains", des tournées à travers la France, de ses débuts à la Comédie-Française, de sa rencontre avec Marcel Pagnol, de sa fascination pour Sacha Guitry, du tournage à New York des Gendarmes, du grand rôle de sa vie dans le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l'Assasin, de sa première figuration aux côtés de Paul Meurisse déjà grande vedette et amant d'Edith Piaf, du succès de La Cage aux folles, de son amitié avec Jean-Paul Belmondo... Véritable mémoire du cinéma français, Michel Galabru a traversé le 20ème siècle et nous livre aujourd'hui ses souvenirs, les bons comme les mauvais, avec une grande sincérité et une modestie...
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  • mickaelinecuny 27/06/2016
    Dire qu'il voulait plus jeune devenir footballeur, ou journaliste sportif, le cinéma, et le théâtre serait passé vraiment à côté d'un grand homme. Honnêtement avec ce livre audio, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre. Inutile de préciser que cette biographie est mon premier livre audio. Alors forcément, j'étais un peu dérouté au départ, je ne savais pas bien comment aborder la "chose". Ma plus grande crainte, était de ne pas être assez concentrée, lors de l'écoute. En fait, il n'en est rien. Voyez-vous, je fais partie de ces gens un peu étranges qui ont besoin de musique pour se concentrer. (oui, je sais, je suis bizarre.) Enfin surtout lorsqu'il s'agit de faire des tâches qui me stressent, conduire, repasser et faire les voisins du jeu Coral île de FB. Mais là, c'est en faisant mon Bullet Journal (organiseur) ou du moins, la déco de ce dernier, que j'ai suivi ces 3 h d'enregistrement. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que cela fait deux jours que je l'ai écouté, et chaque fois que je me remets sur mes petits dessins, j'entendant la voix de Jacques Gamblin lisant les extraits qui m'ont le plus marquée. Comme le passage où sortant d'un restaurant au repas bien arrosé, Michel Galabru et Bertrand Tavernier, se font arrêter par un gendarme et reconnaissant l'acteur ce dernier s'écrie "Si Monsieur de Funès, vous voyait ! ", ou bien encore la fois, où, sur le lieu d'un tournage, comme de vrai gamin, avec sa bande de copain, ils se poursuivaient à coup de seau d'eau. Et Galabru d'expliquer très calmement, "l'air cabot", comme il le précise si souvent, que lorsque la femme du réalisateur, leur a demandé de se tenir tranquille, car sa fille dormait et qu'elle ne voulait pas que les acteurs fassent du raffut tous les soirs, eh bien forcément comme les garnements qu'ils pouvaient être, ils ont redoublés de sottise, lui-même devant enjamber, avec son seau d'eau, une personne âgée, gentiment couché dans son lit. Mes craintes, ont donc été, petit à petit rassurées, puisque d'une part on suit très bien, un livre audio. D'autre part, je redoutais un déballage de règlement de comptes, mais c'était mal connaître le bonhomme. Hormis une pique ou deux, ce sont bien de réels souvenirs, des anecdotes croustillantes qu'il nous offre. Elles sont bien trop nombreuses pour toutes les citer. Une petite dernière pour la route ? Pour vous montrer la générosité du personnage. Lorsqu'il s'est retrouvé, face à Alain Delon, avec qui il devait jouer, tout le monde l'ayant mis en garde contre "ce bellâtre", il fut le premier surpris de voir la star le prendre dans ses bras, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Mon seul regret, que ce ne soit pas Galabru lui-même qui lise son texte, mais, de façon tout aussi étrange qu’inattendu, j'ai parfois eu le sentiment d'entendre l'acteur derrière la voix de Jacques Gamblin comme s'il avait été lui même hanté par Galabru. Avec les rôles de ma vie, Galabru nous dévoile Michel. Un homme, exigeant avec lui-même, a tel point, qu'il n'a jamais compris, pourquoi le public l'aimait, il lui a fallu des années pour ce rendre compte qu'il déplaçait la foule. Je suis même presque sûre qu'au fond de lui, il pensait ne pas mériter l'oscar qu'il a remporté face à Alain Delon. "Pensez face à la Star, je n'avais aucune chance". Si vous aimez l'acteur, je ne peux que vous recommander cet ouvrage, et si pour une fois, vous, vous laissiez porter par les mots, grâce à la lecture audio ? Expérience que pour ma part, j'ai bien envie de renouveler.Dire qu'il voulait plus jeune devenir footballeur, ou journaliste sportif, le cinéma, et le théâtre serait passé vraiment à côté d'un grand homme. Honnêtement avec ce livre audio, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre. Inutile de préciser que cette biographie est mon premier livre audio. Alors forcément, j'étais un peu dérouté au départ, je ne savais pas bien comment aborder la "chose". Ma plus grande crainte, était de ne pas être assez concentrée, lors de l'écoute. En fait, il n'en est rien. Voyez-vous, je fais partie de ces gens un peu étranges qui ont besoin de musique pour se concentrer. (oui, je sais, je suis bizarre.) Enfin surtout lorsqu'il s'agit de faire des tâches qui me stressent, conduire, repasser et faire les voisins du jeu Coral île de FB. Mais là, c'est en faisant mon Bullet Journal (organiseur) ou du moins, la déco de ce dernier, que j'ai suivi ces 3 h d'enregistrement. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que cela fait deux jours que je l'ai écouté, et chaque fois que je me remets sur mes petits dessins, j'entendant la voix de Jacques Gamblin lisant les extraits qui m'ont le plus marquée. Comme le passage où sortant d'un restaurant au repas bien...
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  • philteys 24/06/2016
    Grâce à Masse critique, j’ai pu découvrir la carrière de celui qu’on qualifie aujourd’hui de « monstre sacré » mais qui nous montre combien son parcours fût moins lisse que ce que les rubriques nécrologiques laissent entendre. En effet, rappelons-nous que ce grand acteur a très souvent enchaîné au cinéma les comédies grasses où il était questions de bidasses, de nudistes, voire de gendarmes. Comme il le répète à plusieurs reprises, il fallait bien nourrir sa famille et il accepta tout ce qui se présentait. Par contre, au théâtre, son véritable amour de comédien, il a joué dans des pièces choisies avec soin. Ce qui transparaît dans cet autoportrait, c’est avant tout la modestie du bonhomme : il répète ainsi plusieurs fois que tel acteur ou que telle actrice l’a traité ou pas « comme une merde » ; il est surpris, par exemple, qu’un réalisateur comme Bertrand Tavernier s’intéresse à lui, il ne s’attend pas à recevoir le César d’interprétation devant un acteur comme Delon… Du coup, en contrepoint de ce monde tout en paillettes et en faux semblants, il en devient extrêmement attachant. De plus, nous croiserons tout au long de ce parcours des personnages connus comme Belmondo, de Funès, Noiret, Deneuve, Tavernier, Comencini, Lautner… Nous pénètrerons aussi un peu dans les coulisses du 7e art à travers des anecdotes humoristiques ou dramatiques, quelquefois désespérées : ainsi, le tournage du « gendarme à New-York » s’est déroulé avec l’ensemble de l’équipe très déprimée sans que Galabru parvienne à en expliquer les vraies raisons. Quelques années plus tard, lors d’une virée alcoolisée en voiture avec Tavernier, un gendarme, reconnaissant l’adjudant Gerber, lui lâcha : « Ah si de Funès vous voyait ! ». C’est donc une succession de chapitres courts dans laquelle Michel Galabru, n’omettant aucun de ses films, même les plus catastrophiques, retrace de manière très sincère une longue carrière, bien remplie. Et là-dessus, se greffe la voix envoûtante d’un autre grand nom du cinéma, Jacques Gamblin, qui parfois se contente d’énoncer les faits, parfois les fait vivre avec conviction. Il parvient même quelquefois et de manière non ostentatoire à retrouver quelques intonations « galabruesques ». La maison d’édition Thélème nous convie donc à une « lecture » audio fort agréable et pleine d’émotions. Grâce à Masse critique, j’ai pu découvrir la carrière de celui qu’on qualifie aujourd’hui de « monstre sacré » mais qui nous montre combien son parcours fût moins lisse que ce que les rubriques nécrologiques laissent entendre. En effet, rappelons-nous que ce grand acteur a très souvent enchaîné au cinéma les comédies grasses où il était questions de bidasses, de nudistes, voire de gendarmes. Comme il le répète à plusieurs reprises, il fallait bien nourrir sa famille et il accepta tout ce qui se présentait. Par contre, au théâtre, son véritable amour de comédien, il a joué dans des pièces choisies avec soin. Ce qui transparaît dans cet autoportrait, c’est avant tout la modestie du bonhomme : il répète ainsi plusieurs fois que tel acteur ou que telle actrice l’a traité ou pas « comme une merde » ; il est surpris, par exemple, qu’un réalisateur comme Bertrand Tavernier s’intéresse à lui, il ne s’attend pas à recevoir le César d’interprétation devant un acteur comme Delon… Du coup, en contrepoint de ce monde tout en paillettes et en faux semblants, il en devient extrêmement attachant. De plus, nous croiserons tout au long de ce parcours des personnages connus comme Belmondo,...
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  • AlouquaLecture 22/06/2016
    Je ne connaissais Michel Galabru qu'à travers quelques films comme "Le gendarme de St Tropez", "Les Chti's", ou encore d'autres films avec Louis de Funes. Mais Galabru, c'est avant tout un homme de théâtre qui n'a jamais eu le succès qu'il méritait. Comme il le dit lui-même dans ce livre, beaucoup de ses rôles ont été acceptés uniquement parce qu'il devait nourrir sa famille, alors il ne regardait pas vraiment le manuscrit et disait oui d'office. Mais il n'a jamais vraiment eu de rôles principaux, alors que son talent n'est pas contestable, il est toujours resté en retrait, ne c'est jamais pris la grosse tête. Avec ce livre, il fait un retour en arrière sur ces petits rôles, mais il nous donne aussi des anecdotes sur certains films, acteurs, metteurs en scènes. Il nous montre l'envers du décor de ce monde sans pitié mais où il y a néanmoins des personnes auxquels il est facile de s'attacher, il y a les véritables amis et ceux qui nous dénigrent. Les deux séries de photos nous montrent certains de ses rôles au cinéma ou au théâtre. Avec ce livre, j'ai appris à connaître Michel Galabru autrement qu'à travers ses films.
  • jbyaly 20/06/2016
    Michel Galabru, un grand monsieur du cinéma, qui s'est éteint récemment. Un homme qui a toujours vécu de seconds rôles, ou dans l'ombre de .... Cet homme qui a eu du succès dans la fin de sa vie, homme de théâtre, de télévision, qui avait un franc parlé et une voix unique, elle résonne encore dans notre tête. Il nous faisait rire à sa manière. Il a toujours été pour moi, dans la même lignée que Jean Carmet, Michel Serrault, Jacques Villeret, des hommes qui étaient simples, qui ont toujours fais des films de convictions ou d'humour, sans pour autant donner cette impression de chercher la gloire. Les rôles de ma vie, confirment encore plus cette idée. Un livre qui se lit, se dévore à une vitesse impressionnante, en effet, Michel Galabru raconte des anecdotes sur ses plus grands films, des histoires croustillantes, à ses plus belles amitiés, ses plus belles rencontres et surtout la reconnaissance d'artistes/d'acteurs qui ont su le mettre sur l'affiche alors qu'il ne devait être que secondaire. Un homme qui a vu partir ses copains les uns après les autres, les tromperies et les caprices d 'autres. Lui, qui a refuser certaine chose, non par excès, mais par respect envers lui-même et ses convictions. Cet homme qui travaillait pour nourrir sa famille avant tout. Il a tourné des navets, il le savait, mais il laisse derrière lui une très belle signature cinématographique et théâtrale. Il aurait mérité des premiers rôles, un grand homme de cinéma, qui laisse un bel héritage, un homme simple, drôle, qui connait, comme beaucoup la reconnaissance après leur départMichel Galabru, un grand monsieur du cinéma, qui s'est éteint récemment. Un homme qui a toujours vécu de seconds rôles, ou dans l'ombre de .... Cet homme qui a eu du succès dans la fin de sa vie, homme de théâtre, de télévision, qui avait un franc parlé et une voix unique, elle résonne encore dans notre tête. Il nous faisait rire à sa manière. Il a toujours été pour moi, dans la même lignée que Jean Carmet, Michel Serrault, Jacques Villeret, des hommes qui étaient simples, qui ont toujours fais des films de convictions ou d'humour, sans pour autant donner cette impression de chercher la gloire. Les rôles de ma vie, confirment encore plus cette idée. Un livre qui se lit, se dévore à une vitesse impressionnante, en effet, Michel Galabru raconte des anecdotes sur ses plus grands films, des histoires croustillantes, à ses plus belles amitiés, ses plus belles rencontres et surtout la reconnaissance d'artistes/d'acteurs qui ont su le mettre sur l'affiche alors qu'il ne devait être que secondaire. Un homme qui a vu partir ses copains les uns après les autres, les tromperies et les caprices d 'autres. Lui, qui a refuser certaine chose, non par excès, mais par respect envers...
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