Lisez! icon: Search engine
Fils de la providence
Luce Hinsch (traduit par)
Date de parution : 20/06/2002
Éditeurs :
10/18

Fils de la providence

Luce Hinsch (traduit par)
Date de parution : 20/06/2002

À Copenhague, loin de Reinsnes, Benjamin se débat avec le souvenir de sa mère. Alors qu’il devient homme, la guerre des Duchés l’envoie au front et lui fait découvrir, parmi...

À Copenhague, loin de Reinsnes, Benjamin se débat avec le souvenir de sa mère. Alors qu’il devient homme, la guerre des Duchés l’envoie au front et lui fait découvrir, parmi le sang des morts, l’amour de Karna… La saga familiale de Dina continue de lever sur le Nord un soleil...

À Copenhague, loin de Reinsnes, Benjamin se débat avec le souvenir de sa mère. Alors qu’il devient homme, la guerre des Duchés l’envoie au front et lui fait découvrir, parmi le sang des morts, l’amour de Karna… La saga familiale de Dina continue de lever sur le Nord un soleil grave et fulgurant.

« Herbjørg Wassmo écrit la Norvège, ses landes démoniaques, sa mer furibonde, et raconte aussi les tempêtes humaines, les naufrages amoureux. Wassmo est une fougueuse, une mangeuse de lecteurs. » Martine Laval, Télérama 

Traduit du norvégien
par Luce Hinsch

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782264034540
Code sériel : 3441
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264034540
Code sériel : 3441
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AnnaRose1 30/01/2023
    Benjamin est toujours au coeur de l'intrigue. Nous sommes désormais à Copenhague, en étude de médecine et en pleine vie étudiante. Des divergences politiques entre Danois et Norvégiens, quelques lâchetés... Les premières pages sur la guerre sont terribles. Benjamin reste toutefois un personnage un peu pâle par rapport à Dina. Je pense que le manque d'interaction entre les personnages, par rapport aux premiers tomes de la saga, m'a gêné. Et c'est là que je préfère l'auteur.
  • Libellule41 05/02/2022
    Le lecteur retrouve Benjamin Gronlev, le fils de Dina, à Copenhague où il poursuit des études de médecine. Le contexte politique de l'époque est tendu; le Danemark est engagé dans la "guerre des Duchés" qui l'oppose en 1864 à la Prusse et à l'Autriche, et dont l'enjeu est la possession des provinces du Schleswig et du Holstein. Envoyé en tant que futur médecin dans l'hôpital de campagne de Dybbol, Benjamin fait la connaissance de Karna Dons, une jeune fille modeste, qu'il va retrouver par la suite dans l'hôpital de Copenhague où il effectue son internat. De leur relation éphémère va naître la petite Karna, alors même que la mère de l'enfant ne survivra pas à l'accouchement. Durant ces années d'études et de jeunesse, Dina est absente "du paysage", mais son ombre est omniprésente dans l'existence de son fils, partagé entre des sentiments contradictoires à son égard, amour, détestation, mais surtout fascination. Lorsqu'à la fin du roman Dina réapparait soudainement, elle révèle peu à peu à son fils la part la plus obscure de sa personnalité. Peu à peu, et sans doute pas complètement, car c'est de cette façon qu'elle place ses pions sur l'échiquier de sa vie. L'auteure parvient ainsi à transcrire magistralement la profondeur et l'ambiguïté de cette femme. Parallèlement, par le jeu d'un marché "donnant donnant " entre mère et fils, elle introduit subtilement le volet suivant de cette fresque familiale. A suivre donc avec "L'héritage de Karna".Le lecteur retrouve Benjamin Gronlev, le fils de Dina, à Copenhague où il poursuit des études de médecine. Le contexte politique de l'époque est tendu; le Danemark est engagé dans la "guerre des Duchés" qui l'oppose en 1864 à la Prusse et à l'Autriche, et dont l'enjeu est la possession des provinces du Schleswig et du Holstein. Envoyé en tant que futur médecin dans l'hôpital de campagne de Dybbol, Benjamin fait la connaissance de Karna Dons, une jeune fille modeste, qu'il va retrouver par la suite dans l'hôpital de Copenhague où il effectue son internat. De leur relation éphémère va naître la petite Karna, alors même que la mère de l'enfant ne survivra pas à l'accouchement. Durant ces années d'études et de jeunesse, Dina est absente "du paysage", mais son ombre est omniprésente dans l'existence de son fils, partagé entre des sentiments contradictoires à son égard, amour, détestation, mais surtout fascination. Lorsqu'à la fin du roman Dina réapparait soudainement, elle révèle peu à peu à son fils la part la plus obscure de sa personnalité. Peu à peu, et sans doute pas complètement, car c'est de cette façon qu'elle place ses pions sur l'échiquier de sa vie. L'auteure parvient ainsi à...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Mescouezellus 02/09/2021
    L’univers de Dina, Benjamin et Karna nous habitera longtemps après l’avoir quitté.. L’écriture est sans concession, échevelée, coruscante, torride quand on parle d’amour. La plume de l’auteure est un scalpel qui découpe et décortique l’âme humaine. On ne lit pas, on est transporté; on est boxé jusque dans les cordes, on tourne chaque page les doigts brûlants et à bout de souffle… On se dit, avec un peu d’exagération mais devant une telle puissance évocatrice, que l’amie prodigieuse d’Helena Ferrante pourrait quitter le premier rang de l’étagère principale et qu’on n’hésiterait pas à se séparer de Belle du Seigneur s’il ne fallait garder que cette trilogie… Bref, je suis sonné au point de ne plus avoir envie de lire rien d’autre …… C’est superbe……
  • Shan_Ze 06/05/2020
    Benjamin est docteur maintenant. Il est toujours très attiré par les filles, mais quelle est exactement la nature de cette attirance ? J'ai bien aimé ce second tome plus axé sur la vie adulte de Benjamin, toujours un peu perdu avec la relation avec sa mère et avec les femmes qu'il rencontre. J'admire le style de Wassmo même si j'ai été un peu agacée par la répétition (une demi-douzaine de fois dans le roman) de "mon membre mou entre mes jambes", (sans être prude). Je continuerai cette série avec L'héritage de Karna qui clôt la descendance de Dina (ou peut-être pas ?). (Lecture de 2011)
  • Errant 30/06/2019
    Dans ce cinquième opus de la saga de Dina, Benjamin fait ses études de médecine à Copenhague, découvre les femmes et développe une amitié tourmentée avec un camarade d'études. Pendant tout ce temps il reste obsédé par la 'disparition” de sa mère et le sort d'Anders laissé seul à Reisnes. Au mieux les personnages masculins, sauf Anders, sont lâches et frivoles alors les féminins sont forts et déterminés. L'apparition de Dina ne fera que souligner cette disparités à grands traits rouges. Des explications apparaissent, des secrets sont enfin dévoilés, des fautes pardonnées. Et le dénouement, plutôt surprenant comme tout le reste, prépare la trilogie qui clôturera la saga. Saga qui reste magistrale à mes yeux.
Inscrivez-vous à la newsletter 10/18 pour encore plus d'inspirations !
Voyagez hors des sentiers battus, loin d'une littérature conventionnelle et attendue…