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Les Portes du bonheur
Collection : Terres de France
Date de parution : 14/09/2017
Éditeurs :
Presses de la cité

Les Portes du bonheur

Collection : Terres de France
Date de parution : 14/09/2017
La Première Guerre mondiale racontée sous un angle inédit : le rôle primordial des chevaux  sur le front, aux côtés des soldats. Une prise de conscience que vit Pauline, infirmière issue du monde rural, qui a quitté son village de Normandie et les siens parce qu’il lui semblait avoir tout perdu…  
Intense et volontaire. Telle est Pauline, dix-sept printemps, qui a hérité de son père l’amour de la terre et des bêtes. Dans ce village du Calvados, la Grande Guerre, comme... Intense et volontaire. Telle est Pauline, dix-sept printemps, qui a hérité de son père l’amour de la terre et des bêtes. Dans ce village du Calvados, la Grande Guerre, comme partout, a mobilisé les hommes mais aussi les chevaux. Ainsi, Pompon, fier percheron avec lequel Pauline a grandi, est sur... Intense et volontaire. Telle est Pauline, dix-sept printemps, qui a hérité de son père l’amour de la terre et des bêtes. Dans ce village du Calvados, la Grande Guerre, comme partout, a mobilisé les hommes mais aussi les chevaux. Ainsi, Pompon, fier percheron avec lequel Pauline a grandi, est sur le front pour tirer les trains d’artillerie. Une déchirure pour la jeune fille.
C’est aussi le cœur chaviré qu’elle revoit par hasard Henri, amour secret et impossible, la veille de son départ pour la Somme.
Une lettre du jeune homme qui va décider de son destin…

En côtoyant au plus près la guerre et tout ce qu’elle pulvérise – l’espoir, les vies, les familles –, Pauline, enrôlée comme infirmière, peut-elle encore croire aux miracles ?
 
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EAN : 9782258146181
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 352
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258146181
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 352
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

"Un roman saisissant, un vibrant hommage à toux ceux qui sont morts dans des conditions épouvantables."
La Vie
« coup de cœur » 
Cheval Magazine

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lulu8723 21/02/2020
    Au mois d'octobre 1914, à Brévigny, dans le Calvados, une affiche placardée sur les murs, ordonne la réquisition des chevaux de trait, des ânes, mulets et baudets. Auguste Vautier, propriétaire, exploitant, voit Pompon, son beau et fort percheron, requis pour aller transporter le ravitaillement des troupes sur le front. Sa fille Pauline a le cœur gros lorsque l'animal est emmené de la ferme. Son frère aîné, Julien a quitté lui aussi la demeure familiale il y a une dizaine d'années, suite à une violente dispute avec le père. Ce dernier lui interdit tout retour, et refuse à tout jamais de le revoir . Cependant il autorise son épouse Maria à lui envoyer des colis de vivres et des mandat sur le front. Pauline participe à la vie rurale. Elle fait les livraisons de lait, de beurre et des diverses productions de la ferme. Elle passe au château où réside les D'Harfeuil, les châtelains locaux. Elle rencontre Henri D'Harfeuil, le fils avec lequel elle a joué, enfant. Pauline tombe éperdument amoureuse du jeune homme. Henri retourne sur le front. Il a quitté l’État Major pour être au plus près de ses troupes, dans le feu de l'action. La guerre s'enlise. Les mouvements des militaires s'intensifient sur les départements du nord de la France, dans la Meuse, la Marne, la Somme, la Meurthe-et-Moselle. Et a l'arrière, dans le Calvados, loin du front, les fenaisons, les moissons et tous les travaux des champs sollicitent toutes les personnes disponibles. Il faut une main d’œuvre importante pour tout ce travail. Tous les jeunes gens ont été incorporés, les chevaux réquisitionnés. Il ne reste plus sur place que les personnes âgées et des hommes de plus de 40 ans. Au cours de ses permissions, Henri Darfeuil, il a supprimé la particule, écrit à Pauline pour lui avouer son amour. Mais il n'envoie jamais ces déclarations. En décembre 1916, Julien, gravement blessé annonce son retour, pour Noël. Auguste n'est pas prêt à l'accueillir. Mais un soir d'orage, César, le taureau, charge Auguste et l'encorne. Il décède des suites de ses blessures. C'est le retour de Julien à la ferme familiale. Il est très diminué: il a perdu un bras et porte une prothèse. Mais il va travailler durement, régler toutes les dettes de son père. Il est assisté et aidé par deux ouvriers agricoles. La guerre s'éternise. Pauline sentant des dissensions avec son frère quitte, à son tour la ferme. Elle étudie sur le tas et devient infirmière. Elle va même sur le front. elle participe à la relève des blessés et des mourants. Au hasard de ces rencontres, dans un hôpital vétérinaire, tenu par les alliés anglais, elle retrouve Pompon. A la fin de la guerre, en novembre 1918, elle revient avec ce dernier, au volant d'un tracteur tractant une bétaillère. Elle traverse la France d4est en ouest... Dans ce roman, Catherine Boissel narre des épisodes de la première guerre mondiale, vu du côté humain et vu du côté animal. Combien d'hommes ont péri dans cette boucherie ? Combien de chevaux, d'ânes, de mulets et de bœufs ont été décimes lors des divers combats ? Et tous ces grands blessés, ces gueules cassées, ces personnes lourdement handicapées...;; Et dire que 21 ans plus tard, une nouvelle guerre viendra encore endeuillée le pays.... Au mois d'octobre 1914, à Brévigny, dans le Calvados, une affiche placardée sur les murs, ordonne la réquisition des chevaux de trait, des ânes, mulets et baudets. Auguste Vautier, propriétaire, exploitant, voit Pompon, son beau et fort percheron, requis pour aller transporter le ravitaillement des troupes sur le front. Sa fille Pauline a le cœur gros lorsque l'animal est emmené de la ferme. Son frère aîné, Julien a quitté lui aussi la demeure familiale il y a une dizaine d'années, suite à une violente dispute avec le père. Ce dernier lui interdit tout retour, et refuse à tout jamais de le revoir . Cependant il autorise son épouse Maria à lui envoyer des colis de vivres et des mandat sur le front. Pauline participe à la vie rurale. Elle fait les livraisons de lait, de beurre et des diverses productions de la ferme. Elle passe au château où réside les D'Harfeuil, les châtelains locaux. Elle rencontre Henri D'Harfeuil, le fils avec lequel elle a joué, enfant. Pauline tombe éperdument amoureuse du jeune homme. Henri retourne sur le front. Il a quitté l’État Major pour être au plus près de ses troupes, dans le feu de l'action. La guerre...
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  • ingridfasquelle 05/09/2019
    Catherine Boissel a grandi à Isigny-sur-Mer, dans le Calvados, au seuil des marais du Cotentin, où vit sa famille depuis de nombreuses générations. Elle conserve un souvenir émerveillé de son enfance insouciante et libre au cœur de ce paysage sauvage et grandiose. Ingénieur d'études, elle travaille à l'Université Caen-Normandie (ESPE). Écrire des œuvres de fiction est resté pour elle un rêve pendant de nombreuses années. D'abord spécialisée en littérature jeunesse, elle a rédigé des articles dans des revues professionnelles destinées aux enseignants, ainsi qu'un essai consacré aux contes traditionnels. Alors qu'elle n'y comptait plus, au milieu des années 2000, un château fort en ruine au cœur des marais de Carentan lui souffle sa première nouvelle de fiction. Celle-ci est d'abord publiée dans un magazine, puis en recueil avec six autres textes. Suivent alors trois romans réunissant ses trois grandes passions : les marais du Cotentin, les chevaux et le Moyen Age. Dans Les Portes du bonheur, si on retrouve les marais et les chevaux, elle aborde une époque plus proche de nous qui, pour des raisons familiales, lui tient beaucoup à cœur : la Première Guerre mondiale. Même si le thème des chevaux n’apparaît qu’en filigrane, l’histoire de Catherine Boissel fait partie de celles qui brisent le cœur et serrent la gorge. L’auteure a su rendre un hommage vibrant aux infirmières et médecins pendant la Première Guerre mondiale. Son récit fascinant rend parfaitement compte des difficultés de la médecine et des conditions horribles dans lesquelles les soldats tout comme les civils ont dû vivre. Mais les âmes sensibles seront prévenues que Catherine Boissel n’hésite pas à étoffer son récit de scènes éprouvantes, parfois difficilement soutenables pour le lecteur. Aux côtés de Pauline et Henri, on découvre les horreurs endurées par les combattants, les membres à amputer, les visages défigurés et les maladies qui accompagnent les temps de guerre. De la boucherie des Éparges dans la Meuse au tristement célèbre Chemin des Dames dans l’Aine, Catherine Boissel raconte la guerre, la vie dans les tranchées, l’épuisement des hommes et ces milliers de vies fauchées pour rien… Pourtant, malgré l’immense sentiment de gâchis et d’incompréhension, on ne peut s’empêcher d’espérer un avenir meilleur pour Pauline, de conserver, malgré cette guerre indifférente et absurde qui broie et détruit tout sur son passage, une infime mais tenace lueur d’espoir. Car finalement, ce qu’il faut retenir de cette poignante histoire, c’est que la vie finit toujours par reprendre ses droits… Les portes du bonheur est un témoignage bouleversant de l’horreur et des atrocités commises pendant la Première Guerre mondiale autant qu’un vibrant hommage à toutes celles et ceux qui sont morts dans des conditions épouvantables.Catherine Boissel a grandi à Isigny-sur-Mer, dans le Calvados, au seuil des marais du Cotentin, où vit sa famille depuis de nombreuses générations. Elle conserve un souvenir émerveillé de son enfance insouciante et libre au cœur de ce paysage sauvage et grandiose. Ingénieur d'études, elle travaille à l'Université Caen-Normandie (ESPE). Écrire des œuvres de fiction est resté pour elle un rêve pendant de nombreuses années. D'abord spécialisée en littérature jeunesse, elle a rédigé des articles dans des revues professionnelles destinées aux enseignants, ainsi qu'un essai consacré aux contes traditionnels. Alors qu'elle n'y comptait plus, au milieu des années 2000, un château fort en ruine au cœur des marais de Carentan lui souffle sa première nouvelle de fiction. Celle-ci est d'abord publiée dans un magazine, puis en recueil avec six autres textes. Suivent alors trois romans réunissant ses trois grandes passions : les marais du Cotentin, les chevaux et le Moyen Age. Dans Les Portes du bonheur, si on retrouve les marais et les chevaux, elle aborde une époque plus proche de nous qui, pour des raisons familiales, lui tient beaucoup à cœur : la Première Guerre mondiale. Même si le thème des chevaux n’apparaît qu’en filigrane, l’histoire de Catherine Boissel fait...
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  • Annette55 07/04/2019
    Voici un roman original à propos de la grande guerre qui traite du rôle qu'ont joué les animaux notamment les chevaux qui tiraient les trains de ravitaillement comme Pompon, le fier percheron qui appartenait à la famille de Pauline , l'héroïne , volontaire et courageuse , amoureuse des bêtes et de la terre comme son père , le fermier Joseph, à Brevigny , dans le département du Calvados. L'auteur qui travaille à l'université de Caen y rend hommage à son grand- père maternel, 20 ans au Chemin des Dames , et à son grand- père paternel que la barbarie de cette guerre invalida .. Pauline s'enrôlera comme infirmière dans les hôpitaux de campagne , près de Bar le duc , ...fera partie avec un chauffeur sur la voie sacrée, entre Verdun et Barle duc des convois de ravitaillements.... Nous côtoyons au plus près de Brevigny—— tout ce que la guerre transforme, broie, détruit ——-de la boucherie des Eparges dans la Meuse ——-aux affrontements meurtriers du Chemin Des Dames, près des rives de l'Aisne ... Vies dans les tranchées, épuisement des hommes, douleur et deuils de tant de familles touchées, efforts des médecins et des chirurgiens , rôle des brancardiers, des aumôniers, bombardements , grands blessés et mutilés, dégâts de la grippe espagnole , villages démolis, crasse et boue des tranchées ,,,,,——la guerre pulvérise les vies —- l'espoir —- les familles .—— L'auteur décrit la vie et le destin de la famille de Pauline et de son ami , ancien amour secret impossible ? , le fringant Henri .D'Herfeuil ... Une lettre du jeune homme va t- elle changer leur destin ? C'est un roman sans prétention de la collection Terres de France qui se lit avec plaisir , surtout un hommage , un travail reconnaissant ainsi qu' une recherche de l'auteur à propos de sa famille ....Voici un roman original à propos de la grande guerre qui traite du rôle qu'ont joué les animaux notamment les chevaux qui tiraient les trains de ravitaillement comme Pompon, le fier percheron qui appartenait à la famille de Pauline , l'héroïne , volontaire et courageuse , amoureuse des bêtes et de la terre comme son père , le fermier Joseph, à Brevigny , dans le département du Calvados. L'auteur qui travaille à l'université de Caen y rend hommage à son grand- père maternel, 20 ans au Chemin des Dames , et à son grand- père paternel que la barbarie de cette guerre invalida .. Pauline s'enrôlera comme infirmière dans les hôpitaux de campagne , près de Bar le duc , ...fera partie avec un chauffeur sur la voie sacrée, entre Verdun et Barle duc des convois de ravitaillements.... Nous côtoyons au plus près de Brevigny—— tout ce que la guerre transforme, broie, détruit ——-de la boucherie des Eparges dans la Meuse ——-aux affrontements meurtriers du Chemin Des Dames, près des rives de l'Aisne ... Vies dans les tranchées, épuisement des hommes, douleur et deuils de tant de familles touchées, efforts des médecins et des chirurgiens , rôle des brancardiers, des aumôniers, bombardements ,...
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