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MacArthur
L'enfant terrible de l'US Army
Date de parution : 30/10/2014
Éditeurs :
Perrin

MacArthur

L'enfant terrible de l'US Army

Date de parution : 30/10/2014
Le nouveau titre de la collection à succès "Maîtres de guerre" : la première biographie du général MacArthur, le plus excentrique des officiers américains, par l'un des historiens français les plus connus.
 
 
Les grands stratèges américains de la Seconde Guerre mondiale se comptent sur les doigts d’une main. Les deux premiers sont incontestablement l’amiral Nimitz et le général MacArthur, le second étant... Les grands stratèges américains de la Seconde Guerre mondiale se comptent sur les doigts d’une main. Les deux premiers sont incontestablement l’amiral Nimitz et le général MacArthur, le second étant de loin le plus excentrique et le plus flamboyant. En 1918, il est déjà général sur le front de France... Les grands stratèges américains de la Seconde Guerre mondiale se comptent sur les doigts d’une main. Les deux premiers sont incontestablement l’amiral Nimitz et le général MacArthur, le second étant de loin le plus excentrique et le plus flamboyant. En 1918, il est déjà général sur le front de France et accompagne les nettoyeurs de tranchées, ceint d’une écharpe mauve de deux mètres tricotée par sa mère et armé seulement d’une badine… Trois décennies plus tard, parvenu au sommet de la hiérarchie militaire, il commande en Corée les armées de quinze pays sous l’égide des Nations unies, et menace les Chinois du feu nucléaire. Dans l’intervalle, ce meneur d’hommes au courage suicidaire a vaincu les Japonais dans le Pacifique Sud, puis organisé brillamment le relèvement du Japon moderne – à tel point que l’empereur Hiro-Hito pourra dire : « L’amiral Perry a ouvert à l’Amérique les portes du Japon, et le général MacArthur a ouvert au Japon le cœur de l’Amérique. »
Foudre de guerre, stratège de génie au caractère épouvantable, politicien exécrable, autocrate bienveillant et fin diplomate, Douglas MacArthur a traversé comme un météore la première partie du xxe siècle, en marquant les trois grandes guerres d’une empreinte indélébile.
 
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EAN : 9782262041274
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 160 x 210 mm
EAN : 9782262041274
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 160 x 210 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • alphatango 31/12/2023
    Excellente biographie plutôt centrée sur les aspects militaires et sur la seconde guerre mondiale (à l'image de la collection maître de guerre). Mais ce tropisme n'empêche pas d'aborder d'autres thèmes, et c'est tant mieux. Elle a le mérite de nous faire découvrir un personnage assez peu connu en France (il n'a pas d'autre bio de McArthur en français au moment où j'écris). Le cocktail Kersaudy me plait beaucoup : des histoires d'hommes et de commandement, de la petite histoire, un peu de grande histoire et une belle iconographie. Si j'étais fine bouche, je dirais qu'il manque un poil de perspectives sur la grande histoire (on parle peu de géopolitique dans ce livre). Cela m'a donné envie d'en savoir plus sur les relations US /Asie au XXeme siècle. Je recommande chaudement.
  • migdal 19/12/2020
    En novembre 1986, lorsque Jean Lecanuet, alors Président de la Commission des Affaires Etrangères du Sénat, se rendit en Corée pour inaugurer le mémorial élevé en souvenir des soldats français engagés volontairement aux cotés des forces de l’ONU dirigées par le Général MacArthur, j’eus la chance de rencontrer à Séoul quelques anciens combattants français, américains, britanniques et australiens qui me révélèrent la vénération que les militaires conservaient pour celui qui les avait menés à la victoire. Depuis lors j’ai lu plusieurs ouvrages anglo saxons sur le Général et j’attendais qu’une biographie en français soit publiée. Autant dire que je me suis plongé avec beaucoup d’espoir dans l’ouvrage de François Kersaudy, magnifiquement commenté par Benleb. Publié par Perrin, dans la collection Maitres de Guerre, dont je possède tous les titres, ce sixième ouvrage n’a manifestement pas été relu et souffre de nombreux défauts de fabrication. Ainsi l’armistice du 2 septembre 1945, est daté du 2 avril (p 392 « l’apothéose ») et les notes collectionnent les doublons (p 174/175), les omissions et les confusions (p 414, confusion entre le 27 avril et le 27 juin), etc. Comment est il possible qu’un éditeur aussi réputé que Perrin puisse tolérer un tel gâchis ?
  • benleb 11/07/2016
    Cette biographie du général MacArthur aborde essentiellement l'aspect militaire de sa carrière, comme tous les ouvrages de la collection "Maîtres de guerre". Fils d'un volontaire de la Guerre de sécession, devenu gouverneur-général des Philippines, il fit naturellement West Point (dont il fut major) et passa ses premières années d'officier en Asie, développant une relation spéciale avec cette région. Sa participation à la Première guerre mondiale lui valut de nombreuses décorations. Après-guerre, une carrière heurtée le mena au poste de chef d'état-major de l'armée, où sa cohabitation avec le président Roosevelt fut fructueuse mais difficile (MacArthur étant Républicain). Ensuite, il devint Maréchal philippin, chargé de créer l'armée de cette colonie appelée à devenir indépendante. Son succès dans cette entreprise fut mitigé, mais il était en poste quand les Japonais attaquèrent Pearl Harbor; naturellement il fut désigné par Roosevelt comme chef des forces américaines en Extrême-Orient. Défait par les Japonais à Bataan, il dut quitter l'île de Corregidor, dans la baie de Manille, pour prendre la tête des troupes du "Zone du Pacifique Sud-Ouest", prononçant son mot célèbre "I shall return" (Je reviendrai). Mégalomane et paranoïaque, il eut des relations difficiles avec ses alliés, montrant un grand mépris pour les soldats australiens, et ses subalternes, souvent considérés comme des serviteurs. S'entourant d'une cour d'obligés, largement inefficaces, il jalousait ses généraux trop heureux au combat. Il ne conserva son poste qu'en raison de sa grande popularité aux États-Unis. Mais il sut aussi s'entourer de chefs militaires efficaces, et il fit merveille avec peu de moyens militaires (du moins au début). Sa campagne, de la Nouvelle-Guinée aux Philippines, fut la moins coûteuse en hommes de toutes celles menées par les Américains. Grand stratège, il attaquait les Japonais là ils ne s'attendaient pas. Il finit par tenir sa promesse de reconquérir les Philippines. Il organisa la capitulation du Japon, le 2 septembre 1945, comme un spectacle à sa gloire. Mais il sut faire accepter l'occupation américaine aux Japonais, par l'intermédiaire de l'administration japonaise et de l'empereur Hirohito. Il organisa la reconstruction du pays, multiplia les réformes, et son équipe rédigea la nouvelle constitution japonaise. Nommé à la tête des troupes onusiennes en Corée en 1950, il opéra un spectaculaire redressement face aux Nord-Coréens. Mais devant l'offensive chinoise, il menaça d'attaquer en Chine et évoqua l'usage de l'arme atomique; Truman, dans un esprit de détente, dut le suspendre de son commandement. Il fut un personnage controversé. Réactionnaire, il était dénué de tout préjugé racial et fut souvent moderne dans ses pensées militaires; il fut audacieux lors de la reconstruction du Japon. Égocentrique et mythomane, il fut aimé de ses hommes et de ses concitoyens. Doté d'une vision politique et diplomatique affligeante, il fut pourtant le plus grand général américain de la guerre. François Kersaudy en donne une biographie plus qu'honnête. Les photographies sont bien choisies; comme toujours la maquette de la collection est excellente. Petit-gros bémol, les notes en bas de page sont souvent du n'importe quoi; il y a eu un problème de relecture.Cette biographie du général MacArthur aborde essentiellement l'aspect militaire de sa carrière, comme tous les ouvrages de la collection "Maîtres de guerre". Fils d'un volontaire de la Guerre de sécession, devenu gouverneur-général des Philippines, il fit naturellement West Point (dont il fut major) et passa ses premières années d'officier en Asie, développant une relation spéciale avec cette région. Sa participation à la Première guerre mondiale lui valut de nombreuses décorations. Après-guerre, une carrière heurtée le mena au poste de chef d'état-major de l'armée, où sa cohabitation avec le président Roosevelt fut fructueuse mais difficile (MacArthur étant Républicain). Ensuite, il devint Maréchal philippin, chargé de créer l'armée de cette colonie appelée à devenir indépendante. Son succès dans cette entreprise fut mitigé, mais il était en poste quand les Japonais attaquèrent Pearl Harbor; naturellement il fut désigné par Roosevelt comme chef des forces américaines en Extrême-Orient. Défait par les Japonais à Bataan, il dut quitter l'île de Corregidor, dans la baie de Manille, pour prendre la tête des troupes du "Zone du Pacifique Sud-Ouest", prononçant son mot célèbre "I shall return" (Je reviendrai). Mégalomane et paranoïaque, il eut des relations difficiles avec ses alliés, montrant un grand mépris pour les soldats australiens, et ses subalternes,...
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