"Toujours aussi à l'aise avec le bitume new-yorkais et l'envers du décor de la Grosse Pomme, Richard Price est ici à son meilleur. [...] The Whites possèdent toutes les qualités qui font la force de Price. Un sens évident de la narration et de l'intrigue. Une manière unique de faire évoluer de nombreux personnages, tous aussi bien dessinés et incarnés. Un mélange bien dosé entre la tragédie et l'humanisme. Du grand art."
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3 pages consacrées à The Whites de Richard Price
Télérama
"Richard Price, grande figure du roman noir"
"Il aime saisir le vif pour l'injecter dans ses romans."
"Price, un des plus grands portraitistes de l'Amérique urbaine"
Le Point
"Avec The Whites, il nous revient plus en forme que jamais. Et il confirme, même s’il n’en avait pas besoin, que son œuvre restera gravée, non pas dans le marbre, mais dans le bitume des rues qu’il nous fait emprunter. Conteur sans pareil, metteur en scène de la réalité, explorateur de l’âme humaine. Arrêtons-nous là. Et ruez-vous sur ce texte, coup de cœur de ce début d’année."
Metronews
"LE PATRON est de retour aux affaires !"
"Price est sans doute l'un des meilleurs sociologues de l'Amérique urbaine. Ce qui place son œuvre bien au-delà de l'étiquette réductrice du polar. Un écrivain capable de parler de choses triviales et de citer dans la foulée Yeats, T.S. Elliott ou Pynchon est forcément différent des autres..."
"Price est à son meilleur lorsqu'il s'intéresse à l'humain, à ses fragilités, à ses failles. Aucun manichéisme chez lui mais une réflexion sur les formes que peut prendre le mal chez tout un chacun. The Whites est un roman d'une grande puissance dont l'action, se déroulant la plupart du temps la nuit, renforce encore le caractère sombre. Joyce Carol Oates, Stephen King, Michael Connelly, Dennis Lehane, Colum McCann ont salué le retour gagnant de Price au roman. Nous nous garderons bien de leur donner tort !"
Le Figaro Littéraire
"Grâce à des dialogues coups de poing, il livre une chronique au vitriol d'un monde où chacun fut à un moment ou à un autre, coupable. Pas de jugement. Ou de regard moralisant. Simplement la couleur du réel. Et le goût d'une sorte de rédemption."
Le Monde
"Richard Price nous régale par sa maîtrise de la construction narrative, ses dialogues piqués d'humour et ses personnages qui sonnent juste. Une chute magistrale clôt l'intrigue."
Le Parisien Magazine
"Mais l'auteur n'est pas seulement un réaliste : c'est un brillant écrivain inspiré par Dostoïevski."
Le Magazine Littéraire
"Le polar américain à ses sommets"
Le Figaro Magazine
Interview, pleine page
Society
"Cet auteur rare maitrise à la perfection le rythme de son récit, ses dialogues et les caractères de ses personnages. Un polar dans la plus pure tradition américaine, avec tout ce qu'elle a de meilleur. "
Point de Vue
"Malgré plusieurs intrigues entremêlées, jamais on ne se perd dans ces pages brillantes qui, au côté du crime, font la part belle à l'amitié, au couple, à la transmission."
Version Femina
"C’est un livre magnifique, passionnant avec des personnages ultra attachants, une intrigue impeccable…"
RTL
"Richard Price, dans ces pages aussi superbes que sombres, raconte ces obsessions-là, les solidarités policières, l’amertume. Lumineux."
Midi Libre
"L'écriture puissante de Richard Price et son talent pour imaginer des personnages consistants font des merveilles dans cette évocation du quotidien de flics confrontés à la criminalité ordinaire."
Le Courrier de l'Ouest
"Richard Price a le sens du rythme et du dialogue [...] Un grand roman à découvrir."
Paris Normandie / Le Progrès de Fécamp / Havre Libre / Le Havre Presse
"Richard Price est un foutu écrivain et The Whites, tout simplement, a la grande classe"
Corse Matin
"Billy va creuser et devoir faire des choix, d'une profondeur rarement atteinte dans ce qui se présente comme un roman policier, mais qui se poursuit bien au-delà du genre. "Essayer d'écrire le meilleur roman policier possible, c'est juste essayer d'écrire le meilleur roman possible avec un crime dedans", nous expliquait Richard Price. Sept ans après Souvenez-vous de moi, publié comme les autres aux Presses de la Cité, The Whites incarne brillamment cette profession de foi."
Focus Vif
"Un polar qui met K.O."
Télépro
«Le nouveau roman de Richard Price est une série d’instantanés. Photos en noir et blanc qui portent un regard cru, sans filtres, sur les rues et le quotidien d’une brigade de nuit de la police de New York.
Ancien journaliste et écrivain à plein temps, connu également comme scénariste et dialoguiste sur la cultissime série de David Simon, The Wire – Sur écoute en français –, Richard Price nous propose, nous compose une symphonie urbaine : une immersion au cœur de la ville qui ne dort jamais. Car inlassablement, depuis son premier roman Les Seigneurs (10/18), écrit à 24 ans à peine, ce descendant d’immigrés juifs d’Europe de l’Est déclare sa flamme en cartographiant avec maestria la ville où il a grandi. Brooklyn, Bronx, Queens et Staten, depuis Battery – qui se trouve au sud comme tout le monde le sait –, jusqu’en haut de Manhattan, chantait les Beasties Boys dans « une lettre ouverte aux Five Boroughs », ces cinq quartiers qui composent New-York, déclaration d’amour musicale post-11 septembre à leur ville et à sa population bigarrée et pourtant si complémentaire. Price fait la même chose depuis quatre décennies. Il remplit la page blanche sans concessions, il n’évite pas les zones d’ombre, il les affronte, les magnifie. Crimes, trafics en tout genre, rixes, misère urbaine, solitude des grands ensembles ou des ruelles sordides. Au-delà du quotidien de Billy Graves et de son équipe de flics, c’est l’histoire des ces hommes et femmes bousillés au fil des ans par tout ce qu’ils ont vu. Ils tentent coûte que coûte de concilier leurs sacerdoce, « protéger et servir » et accessoirement leurs vies de famille. Et puis les « Whites » commencent à être assassinés l’un après l’autre. C’est ainsi qu’ils nomment, en référence à Moby Dick, les criminels qu’ils n’ont pu coincer. Le drame prend alors des accents de tragédie. Tel Achab et sa baleine blanche qui le conduit à sa perte, l’enquête devient beaucoup plus personnelle et menace de tout emporter. Les plaies se ravivent et resteront ouvertes, jusqu’à la toute dernière phrase… d’une cruelle ironie.»
Page des libraires / Librairie Sauramps - Montpellier
«New York est le pivot de l’œuvre de Richard Price, qu'il écrive des scénarios pour Martin Scorcese ou Spike Lee ou des romans policiers. Tout le ramène toujours à sa ville. C'est encore le cas avec son dernier opus "The Whites". Bill Graves était un jeune flic prometteur dans les années 90. Mais une bavure l'a expédié dans un service de nuit du NYPD. Ses coéquipiers de l'époque ont eux aussi pris des chemins de traverse : magnat des taudis rachetés une misère et loués à prix d'or, chef de services de sécurités privés, entrepreneur de pompes funèbres ou encore concierge, aucun n'est resté dans la police. Mais chacun d'eux traine derrière lui un "White", un criminel qui est parvenu à passer à travers les mailles du filet grâce à un tour de passe-passe procédural, malgré son évidente culpabilité, qui s'en est sorti blanc comme neige. Chacun à leur manière, ils sont rongés par ce dossier jamais refermé. Un matin, en fin de service, Billy est appelé sur une scène de crime. Le White d'un de ses anciens coéquipiers a été poignardé. Pas d'arme du crime, pas de témoin, des vidéos de surveillance inexploitables, bref, pas de piste. Mais ce meurtre lance immédiatement Billy sur la trace des Whites restants. Quelqu'un serait-il en train de régler ses comptes ? L'un de ses anciens coéquipiers se serait-il lassé d'attendre que la justice fasse son travail ? Pas facile pour Billy, d'autant qu'un inconnu semble avoir pris pour cible sa famille et que son père atteint d'Alzheimer, devient difficilement contrôlable... De Brooklyn à Yonkers, des taudis aux services d'urgences, des écoles privées bon teint aux repaires de trafiquants, Richard Price nous offre une plongée dans cette ville toujours en éveil, tentaculaire, impitoyable et véreuse.»
Librairie La Plume Rouge - Trévoux