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Dorchester Terrace
Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 05/01/2012
Éditeurs :
12-21

Dorchester Terrace

Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 05/01/2012

Tout à prouver et aucun droit à l’erreur : devenu directeur de la Special Branch, Thomas Pitt est seul aux commandes. Lorsqu’il reçoit des informations à propos d’un projet d’attentat...

Tout à prouver et aucun droit à l’erreur : devenu directeur de la Special Branch, Thomas Pitt est seul aux commandes. Lorsqu’il reçoit des informations à propos d’un projet d’attentat visant un Habsbourg sur le sol britannique, Pitt doit redoubler de vigilance. Sa carrière et la paix de l’empire ne...

Tout à prouver et aucun droit à l’erreur : devenu directeur de la Special Branch, Thomas Pitt est seul aux commandes. Lorsqu’il reçoit des informations à propos d’un projet d’attentat visant un Habsbourg sur le sol britannique, Pitt doit redoubler de vigilance. Sa carrière et la paix de l’empire ne tiennent plus qu’à un fil et aux souvenirs d’une aventurière italienne…

Entre luttes de pouvoir, ambitions personnelles et coups de bluff, une nouvelle aventure passionnante du célèbre héros victorien d’Anne Perry, The Queen of Mystery. 

Traduit de l'anglais
par Florence Bertrand

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EAN : 9782264057082
Code sériel : 4509
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782264057082
Code sériel : 4509
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Nitocris2021 12/01/2023
    Pitt est maintenant le chef de la Special Branch. On est maintenant assez loin des premiers opus avec les crimes privés et la grande implication de Charlotte. Cependant Anne Perry maîtrise très bien le thriller politique dans ce volume. Découvrir les dessous de l'Autriche-Hongrie est passionnant et la narration alternée entre l'enquête de Pitt sur l'attentat programmé et les recherches de Vespasia pour savoir si son amie Serafina affabule ou non est très réussie. Comme d'habitude l'auteure nous propose des personnages très fouillés, notamment Adriana. La réflexion sur le désarroi de la perte de ses facultés est déchirante et la trame feuilletonnesque du destin des personnages toujours finement tissée avec notamment les tensions entre Emily et Charlotte et le secret de Minnie Maude.
  • Phoenicia 16/08/2022
    Un Anne Perry assez dense : on est presque à 500 p. Il faut dire que le contenu l'est aussi. Pitt, promu à la tête de la Special Branch depuis le dernier titre, doit tout prouver, y compris à lui-même. Aussi n'est-il pas rassuré lorsqu'il y a des menaces qui pèseraient sur un Habsbourg en visite, sauf que ledit Habsbourg n'a rien de spécial, si ce n'est être un parent éloigné de la famille impériale en visite sur le sol britannique. le voici donc, piétinant, essayant de convaincre, de se convaincre, un peu dépassé, beaucoup stressé. L'autrice parvient à nous faire saisir cet enjeu. D'un côté j'ai apprécié car cela donnait de l'épaisseur au récit, d'un autre, cela a créé pas mal de longueurs. L'aspect politique est quelque chose d'inhérent dans les derniers tomes de cette série. Un virage à 180 degré qui s'explique avec le poste de Pitt. Ici, cela permet à l'autrice d'aborder la question de l'empire Austro-Hongrois : François-Joseph et Sissi, leur fils et Mayerling, les différents peuples qui composent l'Empire, etc. Tout en restant sur le sol britannique, elle ouvre une fenêtre très plaisante sur la cour de Vienne que je connais au final très peu ( le dessin animé Sissi, Romy Schneider et l'assassinat de l'héritier austro-hongrois sont là mes seules connaissances...). L'occasion, donc, d'en apprendre beaucoup plus. Ce qui m'a vivement intéressée c'est ce point de vue sur la géopolitique du pays. On sent la Première Guerre mondiale pas loin. Aussi, je m'interroge : était-ce une vision que l'on avait de l'Autriche à l'époque ou est-ce une vision que l'autrice transpose à cette époque, connaissant les différents éléments aujourd'hui? Une question qu'il me faut creuser. Cette menace politique se double avec le meurtre d'une personne. Il faut bien expliquer le titre de la série. Une personne, elle aussi très impliquée en politique, ayant participé aux révolutions de 1848 activement et connaissant ainsi Vespasia. L'occasion d'inviter notre auguste lady dans les personnages phare de ce roman. Avec ce meurtre, on retrouve un peu l'esprit des premiers tomes, sauf que ce n'est pas Pitt le fin limier mais Narraway. Une inversion des rôles un peu particulière mais somme toute plaisante. Pour autant, là encore il y a des longueurs. D'autant, qu'on le sait, les deux histoires sont amenés à se croiser, mais comment ? le fil est assez mince, il faut le reconnaître. A la résolution, on voit les différentes pièces du puzzle s'imbriquer mais je reste sur une impression de beaucoup de détours. Aux personnages déjà cités, nous pouvons ajouter le grand retour d'Emily (même si cela reste très secondaire) et celui de Jack, beaucoup plus présent, ainsi que celui de Charlotte. Comme déjà dit dans mes précédentes chroniques, avec la multitude de personnages, il est heureux que l'autrice fasse des choix. Effectivement, quand elle multiplie les points de vue, on a cette impression de longueurs et du fait qu'on tourne en rond. Peu rend, je trouve, les éléments plus limpides. Pour ce qui est de la fin, on est encore sur des révélations inattendues et du rythme, même si, je l'ai dit, le fil me semble un peu ténu. Autant, les premiers tomes pouvaient se lire dans le désordre, la recette étant sensiblement la même, autant les références aux autres tomes sont ici tellement importantes que je ne recommande pas pour qui ne connait pas cette série de commencer par cet opus. D'autant que je reste persuadée qu'on apprécie l'aspect politique parce qu'on apprécie nos personnages et qu'on connait leurs passifs.Un Anne Perry assez dense : on est presque à 500 p. Il faut dire que le contenu l'est aussi. Pitt, promu à la tête de la Special Branch depuis le dernier titre, doit tout prouver, y compris à lui-même. Aussi n'est-il pas rassuré lorsqu'il y a des menaces qui pèseraient sur un Habsbourg en visite, sauf que ledit Habsbourg n'a rien de spécial, si ce n'est être un parent éloigné de la famille impériale en visite sur le sol britannique. le voici donc, piétinant, essayant de convaincre, de se convaincre, un peu dépassé, beaucoup stressé. L'autrice parvient à nous faire saisir cet enjeu. D'un côté j'ai apprécié car cela donnait de l'épaisseur au récit, d'un autre, cela a créé pas mal de longueurs. L'aspect politique est quelque chose d'inhérent dans les derniers tomes de cette série. Un virage à 180 degré qui s'explique avec le poste de Pitt. Ici, cela permet à l'autrice d'aborder la question de l'empire Austro-Hongrois : François-Joseph et Sissi, leur fils et Mayerling, les différents peuples qui composent l'Empire, etc. Tout en restant sur le sol britannique, elle ouvre une fenêtre très plaisante sur la cour de Vienne que je connais au final très peu (...
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  • Sevlipp 19/06/2022
    Il est toujours agréable de retrouver Charlotte et Thomas Pitt. Les scènes domestiques, trop peu nombreuses, sont celles qui me plaisent le plus dans les romans d'Anne Perry. L'ambiance Londonienne du fin du 19 ème siècle a toujours ce petit air nostalgique ; crinolines, bals, lutte des classes, anarchisme, thé avec muffins... L'écriture est élégante et détaillée. A part cela, l'intrique est poussive, les chapitres beaucoup trop longs et certainement 100 pages de trop alourdissent le rythme. Une lecture en demi-teinte.
  • nanouche 18/04/2022
    Londres, 1896. Devenu directeur de la special branch (les renseignements généraux britanniques), Thomas Pitt est informé qu'un attentat se prépare contre un prince peu en vue de la famille Habsbourg. Confronté à sa première affaire sérieuse notre héros doit faire la preuve de ses capacités. Il sait qu'il est attendu au tournant par tous ceux qui n'ont pas accepté la nomination à ce poste du fils d'un garde chasse et qui lui font sentir à l'occasion qu'il n'est pas bien né. Pour moi Dorchester terrace est un épisode faible des aventures de Thomas Pitt. Il passe beaucoup de temps à se poser les mêmes questions et quand il se les est posé trois fois, c'est bon, j'ai compris. Je trouve qu'Anne Perry tire un peu à la ligne. Pour finir je ne suis pas vraiment convaincue par le dénouement de l'affaire. Qu'un membre important du gouvernement britannique se rende coupable de trahison pour éviter qu'on ne sache que son père avait eu une aventure extra-conjugale 30 ans plus tôt ne me parait pas très crédible. Ceci dit j'ai quand même lu ce roman sans déplaisir.
  • Symphonia2 16/10/2021
    Après les péripéties en Irlande du dernier épisode, je trouve cette suite particulièrement réussie. Je suis toujours étonnée qu’Anne Perry parvienne à se renouveler. Certes, certains romans sont moins intenses que d’autres, mais ce n’est pas le cas de celui-ci. Cela fait un moment que nous suivons Pitt et le travail de la Special Branch, chargée d’analyser et découvrir les menaces à l’intérieur du pays. Dans ce livre, la menace en question est liée à l’Autriche qui connaît à cette époque de nombreux bouleversements, parmi lesquels l’épisode de Mayerling et la mort de Rodolphe, l’héritier de l’empire (et fils de François Joseph et d’Elizabeth, ou Sissi). Je connais peu cette période et même si nous n’en avons qu’un aperçu dans ce roman, il est évident que la situation politique et l’équilibre des différentes puissances en Europe sont très complexes. Bien qu’il s’agisse d’un roman policier avant tout, Anne Perry a ajouté un cadre très géopolitique à cette intrigue, et cela m’a beaucoup intéressée. On est au cœur de l’histoire européenne, et c’est captivant. On a un résumé des relations au sein même de l’empire, ses populations diverses, les régions et Etats en devenir comme la Hongrie, l’Italie et les pays slaves. Il est difficile de comprendre tous les enjeux mais il est clair que c’est une période charnière et que la région devient peu à peu une poudrière. Nous sommes en 1896, et l’assassinat de l’archiduc Franz Ferdinand à Sarajevo arrivera dans moins de vingt ans. Ce qui va donner raison aux propos de personnages dans ce livre. L’Autriche va jouer un rôle dans les événements de l’époque. En parallèle à ce contexte politique, il y a une deuxième intrigue un peu plus mineure mais qui a le mérite de rappeler à Pitt son ancien métier de policier. Un crime plus ordinaire, plus banal, qui cache des secrets personnels et cachés depuis de très longues années. On retrouve ici ce qui fait le cœur de la série, ce qui m’a fait apprécier ces romans. C’est vraiment agréable de retrouver les enquêtes à l’ancienne. De plus, le lien entre les deux intrigues, l’une qui concerne l’histoire du pays et l’autre qui est plus individuelle, est le point fort de ce roman. Ces deux fils narratifs se mélangent très bien et contribuent grandement à maintenir le suspens jusqu’au bout. D’ailleurs le rythme est très bon dans ce livre. Nous sommes plongés dans l’action dès le tout début. Cela s’enchaîne bien, on n’a pas le temps de s’ennuyer. C’est également un grand plaisir de retrouver les personnages récurrents. Je pardonne volontiers à l’autrice la petite incohérence relative à l’âge de tante Vespasia (qui a 80 ans depuis au-moins 10 ans), car j’aime beaucoup le personnage. Victor Narraway est toujours là, et il a toujours son intérêt. Charlotte est un peu plus en retrait depuis que Pitt travaille à la Special Branch, mais elle a fini par trouver un rôle. On retrouve presque le duo formé par Pitt et Charlotte lorsqu’ils menaient des enquêtes criminelles auparavant. Ce que je préfère. C’est une belle suite des enquêtes de Thomas Pitt. Un roman fait d’actions, de politique, de complots et bien évidemment de crimes. La recette parfaite pour créer un suspens haletant des premières pages jusqu’aux dernières.Après les péripéties en Irlande du dernier épisode, je trouve cette suite particulièrement réussie. Je suis toujours étonnée qu’Anne Perry parvienne à se renouveler. Certes, certains romans sont moins intenses que d’autres, mais ce n’est pas le cas de celui-ci. Cela fait un moment que nous suivons Pitt et le travail de la Special Branch, chargée d’analyser et découvrir les menaces à l’intérieur du pays. Dans ce livre, la menace en question est liée à l’Autriche qui connaît à cette époque de nombreux bouleversements, parmi lesquels l’épisode de Mayerling et la mort de Rodolphe, l’héritier de l’empire (et fils de François Joseph et d’Elizabeth, ou Sissi). Je connais peu cette période et même si nous n’en avons qu’un aperçu dans ce roman, il est évident que la situation politique et l’équilibre des différentes puissances en Europe sont très complexes. Bien qu’il s’agisse d’un roman policier avant tout, Anne Perry a ajouté un cadre très géopolitique à cette intrigue, et cela m’a beaucoup intéressée. On est au cœur de l’histoire européenne, et c’est captivant. On a un résumé des relations au sein même de l’empire, ses populations diverses, les régions et Etats en devenir comme la Hongrie, l’Italie et les pays...
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