Lisez! icon: Search engine
Le Secrétaire italien
Jacques Martinache (traduit par)
Date de parution : 16/10/2014
Éditeurs :
12-21

Le Secrétaire italien

Jacques Martinache (traduit par)
Date de parution : 16/10/2014
Tout commence lorsque Sherlock Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft qui l’appelle à l’aide : proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de... Tout commence lorsque Sherlock Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft qui l’appelle à l’aide : proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de la souveraine. En effet, deux de ses serviteurs ont été percés de plus de cinquante coups de poignard, exactement comme... Tout commence lorsque Sherlock Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft qui l’appelle à l’aide : proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de la souveraine. En effet, deux de ses serviteurs ont été percés de plus de cinquante coups de poignard, exactement comme le secrétaire italien de Marie Stuart, assassiné trois siècles auparavant. Et on sait que celle-ci a fini sans tête…
Il n’en faut pas plus à Holmes et à son fidèle Watson pour accourir sur les lieux du drame et démontrer que la force de déduction vient toujours à bout de l’inextricable quand il s’agit de défendre l’ordre, l’Empire et la reine.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782823819144
Code sériel : 13310
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823819144
Code sériel : 13310
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Davalian 15/04/2020
    Caleb Carr, l’auteur de L’aliéniste, adapté il y a quelques temps en série, avait initialement été sollicité afin de rédiger une nouvelle fantastique destinée à intégrer un recueil consacré à Sherlock Holmes. Se laissant porter par l’exercice, l’auteur est allé bien au-delà de la commande initiale. Cette ambivalence se retrouve clairement à la lecture de cette nouvelle qui n’en est pas vraiment une, sans vraiment être un roman. Le texte est à la fois long pour l’une et court pour l’autre. L’aspect fantastique est réduit à sa plus simple expression. Il va certes être question d’un fantôme, de manifestations étranges, de morts inquiétantes, mais tout cela reste au deuxième plan. La comparaison avec Le chien des Baskerville est peut-être fondée pour ce qui concerne le personnage de Sherlock ici présenté. Nous avons droit à un détective manipulateur, arrogant… et pas toujours bien inspiré. De son côté Watson fait des siennes et se révèle plus perspicace que de coutume, ce qui ne l’empêchera pas de commettre des erreurs qui confinent à la comédie (décidément ses traitements sont vraiment… originaux et toujours bien arrosés, santé !). Mycroft sera également de la partie. Hélas, nous avons ici affaire à une version assez éloignée du personnage original. D’ailleurs, l’auteur lui fait vivre des heures assez difficiles et quelques passages amusants (quoique à la limite de la grossophobie). Malgré tout cela, l’éditeur se défend de produire un ouvrage humoristique. L’histoire proposée est sérieuse, malgré plusieurs passages plutôt cocasses. La trame est assez simple en fait et est terriblement terre-à-terre. Dommage que l’histoire manque d’ambition malgré toutes les pistes présentes ici. La plupart se sont pas exploitées ou demeurent sous-exploitées. L’ensemble est facile d’accès car le style de l’auteur est sublime. Le travail de traduction est clairement à la hauteur. Nous partons ici sur un roman court, facile à lire, qui nous offre beaucoup de temps avec Sherlock et Watson (notamment au travers d’une longue introduction), quitte à faire passer l’enquête au second plan. Au final cet apocryphe n’est pas la référence genre du genre, mais offre un bon compromis avec un pastiche. Caleb Carr, l’auteur de L’aliéniste, adapté il y a quelques temps en série, avait initialement été sollicité afin de rédiger une nouvelle fantastique destinée à intégrer un recueil consacré à Sherlock Holmes. Se laissant porter par l’exercice, l’auteur est allé bien au-delà de la commande initiale. Cette ambivalence se retrouve clairement à la lecture de cette nouvelle qui n’en est pas vraiment une, sans vraiment être un roman. Le texte est à la fois long pour l’une et court pour l’autre. L’aspect fantastique est réduit à sa plus simple expression. Il va certes être question d’un fantôme, de manifestations étranges, de morts inquiétantes, mais tout cela reste au deuxième plan. La comparaison avec Le chien des Baskerville est peut-être fondée pour ce qui concerne le personnage de Sherlock ici présenté. Nous avons droit à un détective manipulateur, arrogant… et pas toujours bien inspiré. De son côté Watson fait des siennes et se révèle plus perspicace que de coutume, ce qui ne l’empêchera pas de commettre des erreurs qui confinent à la comédie (décidément ses traitements sont vraiment… originaux et toujours bien arrosés, santé !). Mycroft sera également de la partie. Hélas, nous avons ici affaire à une version assez éloignée...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Pat0212 23/06/2018
    Après la lecture de L’aliéniste et de L’ange des ténèbres du même auteur, je suis plutôt déçue de celui-ci, je m’attendais à mieux. Il s’agit d’une nouvelle aventure de Sherlock Holmes. Le célèbre détective reçoit un télégramme codé de son frère Mycroft l’informant qu’un complot contre la reine Victoria se trame en Ecosse. Il part le soir même avec Watson, des agents des services secrets les escortent. Le train est d’abord attaqué par des nationalistes écossais, puis Mycroft y monte et informe son frère qu’on soupçonne les services secrets allemands de vouloir déstabiliser l’Angleterre en essayant de tuer la reine. Sherlock raconte l’histoire de David Rizzio, le secrétaire italien de la reine Marie Stuart, assassiné de nombreux coups de poignard par le mari de la reine et d’autres complices. La légende dit que son fantôme hante toujours la tour ouest du château. Les autres ailes ont été rénovées depuis longtemps, mais pas les appartements privés de la reine Marie. Victoria a décidé de le faire, malheureusement l’architecte et le contremaître chargés du chantier ont été assassinés, apparemment comme David Rizzio. Tout le monde accuse le fantôme du secrétaire italien. Holmes et Watson enquêtent au château, la piste allemande est vite écartée et le détective privilégie celle du fantôme, évidemment moins surnaturel qu’il n’en a l’air. Il y a très longtemps que je n’ai pas lu de roman de Conan Doyle, donc je ne me souviens plus si le Sherlock de Carr est conforme au modèle ou non. Il est en tout cas très caricatural, quant à Watson c’est juste un idiot qui sert de faire-valoir à son illustre ami. De plus l’intrigue peine à démarrer, il ne se passe pas grand chose avant la page 100, ce qui fait vraiment tard pour un petit roman de 270 pages. Les dialogues entre les frères Holmes et Watson sont écrit dans un style très alambiqué et pas naturel du tout, un verbiage insupportable. Pour ce qui concerne le fantôme, même si on ne sait pas tout de suite de qui il s’agit, on comprend très vite le ressort de l’intrigue, qui n’a rien de surprenant. La partie la plus intéressante du est celle qui concerne Marie Stuart et son contexte. Caleb Carr est historien et sait vraiment restituer le cadre de façon passionnante. Je suis consciente que ma critique est sévère, mais je sais que l’auteur peut faire beaucoup beaucoup mieux, comme il l’a démontré dans ses deux précédents romans. La postface explique qu’il s’agissait à l’origine d’un corpus de nouvelles racontant de nouvelles aventures de Sherlock en lien avec le surnaturel et que Holmes est l’équivalent du docteur Kreizler. Mais cet ajout ne sauve pas ce petit roman, car ses personnages sont aussi vides et caricaturaux que ceux de L’aliéniste et L’ange des ténèbres sont plein de vie et convaincants.Après la lecture de L’aliéniste et de L’ange des ténèbres du même auteur, je suis plutôt déçue de celui-ci, je m’attendais à mieux. Il s’agit d’une nouvelle aventure de Sherlock Holmes. Le célèbre détective reçoit un télégramme codé de son frère Mycroft l’informant qu’un complot contre la reine Victoria se trame en Ecosse. Il part le soir même avec Watson, des agents des services secrets les escortent. Le train est d’abord attaqué par des nationalistes écossais, puis Mycroft y monte et informe son frère qu’on soupçonne les services secrets allemands de vouloir déstabiliser l’Angleterre en essayant de tuer la reine. Sherlock raconte l’histoire de David Rizzio, le secrétaire italien de la reine Marie Stuart, assassiné de nombreux coups de poignard par le mari de la reine et d’autres complices. La légende dit que son fantôme hante toujours la tour ouest du château. Les autres ailes ont été rénovées depuis longtemps, mais pas les appartements privés de la reine Marie. Victoria a décidé de le faire, malheureusement l’architecte et le contremaître chargés du chantier ont été assassinés, apparemment comme David Rizzio. Tout le monde accuse le fantôme du secrétaire italien. Holmes et Watson enquêtent au château, la piste allemande est vite écartée et...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Tatooa 28/12/2016
    C'est toujours un très grand plaisir de retrouver Holmes et Watson, fut-ce en pastiches ou en "copies". Caleb Carr, dont j'ai lu "l'Aliéniste" et "L'ange des ténèbres", est un excellent auteur en ce qui concerne le Dr Kreitzler, son propre héros, qui officie plus ou moins dans les mêmes "temps", aux débuts de la psychologie. Il a le chic pour les intrigues tordues. Cependant, je l'ai trouvé moins à l'aise avec Sherlock Holmes. Si les personnages sont plutôt bien repris, l'intrigue quant à elle pèche un peu par sa simplicité et une résolution qui sied assez peu à Holmes. Enfin je n'ai pas trouvé ses explications aussi convaincantes que dans les C. Doyle. On saute très vite d'une conclusion à l'autre, d'un personnage à l'autre, dans une progression plutôt heurtée et pas si logique que ça, il manque vraiment le "truc" de C. Doyle qui arrivait à dérouler ses histoires sans que ça choque, ou que ça paraisse incohérent. Bref, c'est sympathique à lire pour retrouver Holmes, Watson et Mycroft, mais il manque vraiment la patte du maître.
  • Des_potron_minet 01/10/2015
    J'ai complètement plongé dans cette histoire, je n'avais jamais lu d'aventure de Sherlock Holmes avant, donc c'était une découverte et je suis vraiment sous le charme. Une enquête très originale, qui mêle fantastique, histoire royale et manipulation. C'est très bien écrit, simple et l'auteur ne s'encombre pas de détails inutiles. Caleb Carr était déjà un de mes auteurs favoris et là ça se confirme.
  • dbarbieux 12/05/2012
    Très bon moment de lecture où il est difficile après avoir vu les films de ne pas voir les acteurs dans le rôle...
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés