Maigret et le marchand de vin

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• radio_boy 05/09/2023

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  C'est la première fois que je lis un Maigret (j'ai regarder plusieurs épisodes de la série télé an anglais avec Rowan Atkinson comme le commissaire). C'est un joie de lire et apprécier Simenon dans sa langue. A part d’être brillant, Maigret est un bon vivant - il prends le temps d’apprécier la vie, et il sait quand c'est important de prendre un verre.
• criscat 19/12/2022

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  comme toujours un bon moment de lecture ,quel plaisir de retrouver Maigret et ses acolytes . L’écriture peut sembler désuète mais c’est très agréable et reposant .Pour ce livre , on débute par un interrogatoire et nous terminons par un vrai crime et une belle étude du personnage Chabot marchand de vin tué.
• YvPol 25/08/2022

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  Maigret couve une grippe, il est grognon et fatigué. Il doit enquêter sur l'assassinat d'Oscar Chabut, marchand de vin très prospère, à la sortie d'un hôtel particulier dans lequel il emmenait régulièrement ses conquêtes féminines. De prime abord, la victime est appréciée, mais les investigations des flics font apparaître un négociant redoutable, un homme riche à qui rien ni personne ne devait résister. Et Maigret se sent épié, suivi. Bientôt il reçoit des coups de fil anonymes pour dire que Chabut était une crapule de la pire espèce. On devrait tous lire de temps en temps un Maigret ou n'importe quel autre livre de Simenon. Maigret, c'est une étude des mœurs et des coutumes de l'époque et de l'endroit dans lequel il enquête tellement fine qu'on pourrait presque en oublier l'intrigue. La bonhommie du personnage, son incroyable écoute lui permettent d'obtenir des confidences auquel nul autre que lui ne parvient. Simenon dans cet opus, plonge dans la bourgeoisie parisienne dans laquelle, à force de travail, Oscar Chabut s'est élevé. Néanmoins, il reste le parvenu, le nouveau riche, et le ressent tant qu'il séduit les femmes de ses amis et ses employées, pour exister. Même Maigret, en fréquentant ce milieu et les proches du suspect finit par dire qu'il a rarement croisé autant de personnages peu ragoûtant dans une enquête. Lire Maigret, c'est aussi vivre une époque avec un personnage qui aime la bonne chère, et parfois, ça peut faire sourire, lui qui, sur les conseils de Madame Maigret doit prendre une aspirine pour soigner sa grippe : "Docilement, il en prit une puis, pour en faire passer le goût, il se versa un tout petit verre de prunelle d'Alsace que leur envoyait sa belle-sœur." (p.83) Voilà, c'est tout cela Maigret et tant d'autres choses. et l'on comprend pourquoi ce personnage a traversé les années, inspire les réalisateurs de cinéma et les inspirera sans doute encore.Maigret couve une grippe, il est grognon et fatigué. Il doit enquêter sur l'assassinat d'Oscar Chabut, marchand de vin très prospère, à la sortie d'un hôtel particulier dans lequel il emmenait régulièrement ses conquêtes féminines. De prime abord, la victime est appréciée, mais les investigations des flics font apparaître un négociant redoutable, un homme riche à qui rien ni personne ne devait résister. Et Maigret se sent épié, suivi. Bientôt il reçoit des coups de fil anonymes pour dire que Chabut était une crapule de la pire espèce. On devrait tous lire de temps en temps un Maigret ou n'importe quel autre livre de Simenon. Maigret, c'est une étude des mœurs et des coutumes de l'époque et de l'endroit dans lequel il enquête tellement fine qu'on pourrait presque en oublier l'intrigue. La bonhommie du personnage, son incroyable écoute lui permettent d'obtenir des confidences auquel nul autre que lui ne parvient. Simenon dans cet opus, plonge dans la bourgeoisie parisienne dans laquelle, à force de travail, Oscar Chabut s'est élevé. Néanmoins, il reste le parvenu, le nouveau riche, et le ressent tant qu'il séduit les femmes de ses amis et ses employées, pour exister. Même Maigret, en fréquentant ce milieu et les proches du suspect...

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• smithro 14/04/2022

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  Chacun de nous est plus ou moins à plaindre. Cette phrase de Maigret résume à merveille cette enquête. Chabut, un richissime marchand de vin, arrogant et méprisant au possible, se fait refroidir. Et dans cette affaire, le coupable inspire au commissaire bien plus de compassion que la victime.
• puchkina 25/10/2021

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  Un riche homme d’affaires, marchand de vin en gros, est assassiné devant une maison de rendez-vous. Crime d’un mari jaloux ou règlement de compte ? Maigret, dans le brouillard à cause d’une grippe, enquête. Le mort, Oscar Chabut, s’avérai être une belle crapule, collectionnant les maitresses et rudoyant ses employés. Maigret dialogue, rencontre les salariés de la boite, rentre chez lui se faire soigner par Mme Maigret à coups de grogs et de blanquette de veau, remonte le fil de l’histoire et le meurtrier vient lui-même avouer sa faute dans la propre cuisine des Maigret ! Trop facile ! Mais comme toujours, une lecture très plaisante.