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Maigret et l'inspecteur Malgracieux
Date de parution : 19/06/2014
Éditeurs :
Omnibus

Maigret et l'inspecteur Malgracieux

Date de parution : 19/06/2014
« Il faisait bon, un peu lourd, dans la vaste salle de Police-Secours où Maigret était venu se réfugier.
Un peu plus tôt, il se trouvait dans son bureau du quai des Orfèvres. Il devait attendre un coup de téléphone de Londres au sujet d’un escroc international que ses inspecteurs avaient repéré dans un palace des Champs-Elysées. La communication pouvait aussi bien venir à minuit qu’à une heure du matin, et Maigret n’avait rien à faire en attendant ; il s’ennuyait, tout seul dans son bureau. »
Ces 4 nouvelles ont été écrites entre avril et août 1946.
Le nom de Malgracieux ayant été jugé impropre il avait été remplacé dans le titre et dans le texte par...
Ces 4 nouvelles ont été écrites entre avril et août 1946.
Le nom de Malgracieux ayant été jugé impropre il avait été remplacé dans le titre et dans le texte par Malchanceux. Le bon titre sera rétabli à la demande de l’auteur en 1954.
L’ensemble des nouvelles du recueil ont été adaptées...
Ces 4 nouvelles ont été écrites entre avril et août 1946.
Le nom de Malgracieux ayant été jugé impropre il avait été remplacé dans le titre et dans le texte par Malchanceux. Le bon titre sera rétabli à la demande de l’auteur en 1954.
L’ensemble des nouvelles du recueil ont été adaptées pour le cinéma ou la télévision française.
Simenon en numérique : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, les très “noirs” Romans durs et les nouvelles.
 
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EAN : 9782258112957
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258112957
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Torellion 08/03/2022
    Quatre nouvelles composent ce recueil de Simenon dont le personnage principal est le commissaire que l’on ne présente plus : Maigret. - L'inspecteur Malgracieux. Un suicide en direct au téléphone et Maigret qui ronge son frein contraint qu’il est de laisser l'enquête à Lognon, inspecteur consciencieux mais sensible, méfiant et aimant à problèmes . - Le témoignage de l'enfant de chœur. Un cadavre qui disparaît, un enfant que personne ne croit, un juge impressionnant. Maigret retrouvera son âme d’enfant en lui et c’est par cette identification que la vérité se fera jour. - Le client le plus obstiné du monde. Ou le principe des chambres closes revisité. - On ne tue pas les pauvres types. Le meurtre stupide et incompréhensible d’un pauvre diable cachant un secret. Les nouvelles de ce recueil ont le style typique qu’on associe avec au commissaire Maigret : fin connaisseur de l’âme humaine, il pénètre la psyché du criminel, dévoilant peu à peu comment et pourquoi le crime a été commis.
  • PtitVincent 30/05/2021
    Ce recueil est composé de 4 nouvelles : Maigret et l’inspecteur Malgracieux : Alors qu’il est chargé d’arrêter et de confondre un malfaiteur de haut vol, le célèbre commissaire Maigret ne peut s’empêcher d’enquêter sur l’affaire d’un de ses confrères (le fameux inspecteur Malgracieux) sur un suicide douteux. Le commissaire doit résoudre l’enquête tout en ménageant la susceptibilité de son collègue. Le témoignage de l’enfant de chœur : Sur le chemin de l’église, alors qu’il part servir la messe du matin, un enfant découvre sur le trottoir le cadavre d’un homme, ainsi que son assassin. Problème, lorsque les autorités arrivent, pas de cadavre et pas d’autre témoin. L’enfant est accusé d’avoir tout inventé mais le commissaire Maigret le croit et reprend l’enquête malgré une grippe qui l’empêche de sortir de son lit (mais pas de fumer la pipe !). Le client le plus obstiné du monde : Un homme passe la journée complète dans un café parisien. À minuit, à peine sorti, un coup de feu retentit. Le garçon de café s’approche et découvre qu’il s’agit d’un autre homme. Ambiance de zinc et petits blancs au petit-déjeuner pour le commissaire Maigret. On ne tue pas les pauvres types : Le commissaire Maigret enquête sur le meurtre d’un homme que rien ne prédisposait à une mort violente, un homme banal, une vie morne et sans intérêt et une famille qui ne vaut guère mieux. Mais en grattant un peu… Ces 4 enquêtes du commissaire Maigret sont l’occasion pour l’auteur de se promener parmi les gens modestes (je déteste l'expression "petites gens"), le Paris populeux, celui des petits métiers et des quartiers prolétaires de la capitale et de sa banlieue, la France traditionnelle de la messe du petit matin. Un univers dans lequel le commissaire nage à son aise (contrairement aux milieux aisés), entre une pipe et un petit blanc ou un Armagnac. Une France d’avant-guerre, comme une odeur de zinc et de tabac entre les lignes. Une atmosphère qui fait tout le charme des livres de Georges Simenon, les intrigues étant somme toute secondaires. Ce recueil est composé de 4 nouvelles : Maigret et l’inspecteur Malgracieux : Alors qu’il est chargé d’arrêter et de confondre un malfaiteur de haut vol, le célèbre commissaire Maigret ne peut s’empêcher d’enquêter sur l’affaire d’un de ses confrères (le fameux inspecteur Malgracieux) sur un suicide douteux. Le commissaire doit résoudre l’enquête tout en ménageant la susceptibilité de son collègue. Le témoignage de l’enfant de chœur : Sur le chemin de l’église, alors qu’il part servir la messe du matin, un enfant découvre sur le trottoir le cadavre d’un homme, ainsi que son assassin. Problème, lorsque les autorités arrivent, pas de cadavre et pas d’autre témoin. L’enfant est accusé d’avoir tout inventé mais le commissaire Maigret le croit et reprend l’enquête malgré une grippe qui l’empêche de sortir de son lit (mais pas de fumer la pipe !). Le client le plus obstiné du monde : Un homme passe la journée complète dans un café parisien. À minuit, à peine sorti, un coup de feu retentit. Le garçon de café s’approche et découvre qu’il s’agit d’un autre homme. Ambiance de zinc et petits blancs au petit-déjeuner pour le commissaire Maigret. On ne tue pas les pauvres types : Le commissaire Maigret enquête...
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  • bfauriaux 08/08/2020
    Une enquete très courte, rythmée qui tient en haleine grace au talent du narrateur et à son sens du rythme et du rebondissement: une nouvelle à découvrir !
  • Beffroi 18/07/2019
    Il s’agit de 4 nouvelles écrites en 1946. Dans la 1ère qui a donné son titre au recueil, on y rencontre avec plaisir l’inspecteur malgracieux, le fameux inspecteur Lognon, avec qui Maigret entretient des rapports de respect. On le retrouvera dans d’autres épisodes, notamment dans Maigret et la jeune morte. La 4ème nouvelle « On ne tue pas les pauvres types » rappelle « Maigret et l’homme du banc » écrit quelques années plus tard.
  • Polars_urbains 10/08/2018
    Une enquête dans le 18ème arrondissement, chasse gardée de l'inspecteur Lognon (présent dans six romans en plus de cette nouvelle, humeur peu amène et très grande susceptibilité), suite à la mort violente de Michel Goldfinger (un « petit serre-fesses ») devant une borne de Police-Secours au coin de la rue Caulaincourt. Suicide ou assassinat dans le monde des courtiers en diamants gravitant autour de la rue Lafayette. Maigret et l'inspecteur Malgracieux, si l'on excepte l'intrigue criminelle relativement banale, est une nouvelle très intéressante ; d'abord par l'évocation de la salle des appels de Police-Secours (où l'on apprend la « géographie criminelle de la capitale ») dans un quai des Orfèvres désert la nuit ; ensuite parce que Maigret doit procéder avec une prudence de Sioux pour ne pas vexer et se mettre à dos Lognon en furetant sur ses terres. Ce qui lui coûte, au point d'admettre être « vexé comme une punaise » de ne pouvoir faire les choses lui-même et de se frotter aux gens qui ont connu la victime. « Comment dire, c'était une de ces affaires dont l'odeur lui plaisait, qu'il aurait aimé renifler à loisir jusqu'au moment où il en serait si bien imprégné que la vérité lui apparaîtrait d'elle-même. » Ce qui conduit le commissaire à user de grandes qualités psychologiques et diplomatiques (« du baume. de la pommade. ») pour laisser le champ libre à Lognon et lui permettre de gagner la partie contre des « gens rudement forts », alors que les choses sont claires pour lui depuis longtemps. Une nouvelle très plaisante sur une affaire vite élucidée, avec l'évocation en parallèle de l'arrestation et les aveux d'un escroc international qui passionne peu Maigret. Simenon une fois de plus prend un grand plaisir à mettre en scène l'inspecteur Lognon, pour qui Maigret a plus de sympathie que le Malgracieux le croit. Pour plus de détails sur ce personnage récurrent, cf. ma chronique sur Maigret, Lognon et les gangsters.Une enquête dans le 18ème arrondissement, chasse gardée de l'inspecteur Lognon (présent dans six romans en plus de cette nouvelle, humeur peu amène et très grande susceptibilité), suite à la mort violente de Michel Goldfinger (un « petit serre-fesses ») devant une borne de Police-Secours au coin de la rue Caulaincourt. Suicide ou assassinat dans le monde des courtiers en diamants gravitant autour de la rue Lafayette. Maigret et l'inspecteur Malgracieux, si l'on excepte l'intrigue criminelle relativement banale, est une nouvelle très intéressante ; d'abord par l'évocation de la salle des appels de Police-Secours (où l'on apprend la « géographie criminelle de la capitale ») dans un quai des Orfèvres désert la nuit ; ensuite parce que Maigret doit procéder avec une prudence de Sioux pour ne pas vexer et se mettre à dos Lognon en furetant sur ses terres. Ce qui lui coûte, au point d'admettre être « vexé comme une punaise » de ne pouvoir faire les choses lui-même et de se frotter aux gens qui ont connu la victime. « Comment dire, c'était une de ces affaires dont l'odeur lui plaisait, qu'il aurait aimé renifler à loisir jusqu'au moment où il en serait si bien imprégné que...
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