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Mes sœurs, n'aimez pas les marins
Date de parution : 16/03/2023
Éditeurs :
Les Escales

Mes sœurs, n'aimez pas les marins

Date de parution : 16/03/2023
Grand roman d’amour et d’aventure, Mes sœurs, n’aimez pas les marins rend un hommage bouleversant à ces femmes à qui la mer a tout pris et qui ne renoncent jamais.
*Lauréat du Prix Albatros 2023*
*Lauréat du Prix Livre & Mer Henri Queffélec 2023*

 
1942, sur les côtes de Bretagne. Quatre vies entre petits matins calmes et furie des tempêtes. Celles de Perrine et de son fils Jean, qui, en pleine Seconde Guerre mondiale,... 1942, sur les côtes de Bretagne. Quatre vies entre petits matins calmes et furie des tempêtes. Celles de Perrine et de son fils Jean, qui, en pleine Seconde Guerre mondiale, décide d’embarquer sur un bateau de pêche à seize ans, contre l’avis de sa mère. Puis c’est la rencontre entre... 1942, sur les côtes de Bretagne. Quatre vies entre petits matins calmes et furie des tempêtes. Celles de Perrine et de son fils Jean, qui, en pleine Seconde Guerre mondiale, décide d’embarquer sur un bateau de pêche à seize ans, contre l’avis de sa mère. Puis c’est la rencontre entre Jean et Paulette, le coup de foudre, la naissance de Pierre.

Quand le bonheur semble installé, c’est la mer qui revient pour l’arracher avec violence. Alors un jour, la jeune Paulette décide de briser les chaînes du destin : Pierre, son petit garçon, ne sera jamais marin. Elle l’emmène à l'abri, comme font les louves, aussi loin du rivage que possible. Mais il faut croire que la mer, encore et toujours, a des ruses auxquelles nul ne peut échapper…
 
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EAN : 9782365698146
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782365698146
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

​« Avec ce roman, Grégory Nicolas nous embarque dans une nouvelle fresque familiale (avec) la sororité au centre de son récit, et écrit ce qu’il fait de mieux : parler des gens et des sentiments. »
Alexis Boisselier / Ouest France

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fred36 16/03/2024
    Un très beau roman, une écriture attachante pleine d’humanité. Beaucoup de marques d’amour entre les personnages de cette belle histoire de marins. Au départ c’est Perrine veuve de marin qui avec son fils Jean, nous entraînent dans un océan d’amour simple (les lettres de Jean sont magnifiques). Puis Paulette débarque, un tourbillon de vie et de drôlerie. Paulette et Jean s’aiment. La naissance de Pierre va changer Paulette devenue veuve à son tour. Une autre forme d’amour filiale, plus actuelle, moins exclusive mais tout aussi sincère va nous guider jusqu’au point final. Une bien belle histoire, les transitions sont parfois déroutantes c’est dommage, un voyage sur une mer plus calme m’aurait convenu.
  • NellyH32 11/02/2024
    La mer est fascinante, mais elle sait aussi être cruelle. Perrine, son fils Jean, Paulette et son fils Pierre, tous en font l'amère expérience. Être femme ou mère de marin, c'est passer sa vie à attendre l'être aimé, à craindre pour sa sécurité et, trop souvent, à pleurer sa disparition en mer. Grégory Nicolas raconte l'histoire de cette famille marquée par le sort et de ces femmes au caractère bien trempé. Le roman est très bien écrit, la scène d'ouverture avec Perrine qui jette des cailloux dans la mer comme pour la blesser, est poignante et donne un bon aperçu de la teneur du roman. Beaucoup de très belles descriptions de la vie des marins en mer, et aussi de la pudeur qui empêche de dire les sentiments. Une lecture très agréable et toute en retenue, que je recommande. Merci à Netgalley et aux Escales pour le service presse. #Messœursnaimezpaslesmarins #NetGalleyFrance
  • Natiora 11/12/2023
    La Bretagne et la vie de marins sont intimement liées. La famille de Perrine ne déroge pas à la règle. Son père marin est mort en mer, son époux a disparu en mer, et son fils Jean, on l’apprend dès les premières pages, suivra le chemin des marins perdus. Les malheureux ! Les malheureux ? Non. Les malheureuses. Celles qui restent avec leur détresse, leurs souvenirs, la place à jamais vide de l’absent. Ce roman est dédiée aux femmes. A travers les destins de Perrine, la mère, et de Paulette, la femme de Jean. Paulette la forte tête se l’était pourtant juré, jamais elle n’épouserait un marin. Mais une boutade lancée le sourire aux lèvres, là voilà cueillie. Elle l’aime son Jean, et quand il lui dit que si un jour il lui demande de rester à terre, elle le croit. Lui-même devait le croire aussi, au moins un peu. Mais l’appel de la mer est plus fort. Il est terrible ce roman, parce que Jean est incroyablement attachant. C’est un bon fils, qui n’a de cesse d’écrire des lettres à sa mère qu’il lui remet entre les mains à chaque retour. Il sait qu’il la contraint à vivre dans une crainte incessante et fait de son mieux pour rendre ses jours doux. Elle n’a que lui, après tout. Quand arrive Paulette, c’est un amoureux tendre et prévenant. Mais Jean rêve de voyages au long cours. Il vit, intensément, fidèle à son cœur, sans vouloir peiner personne. Jusqu’au drame. Alors, il reste les femmes. Et elles sont bouleversantes. Chacune fait face à sa manière. L’une en tournant le dos à la mer, l’autre en mettant des kilomètres entre elle et l’océan, pour que son fils ne devienne pas un marin à son tour. Mais le sel de l’océan coulerait-il dans les veines ? J’ai été transportée d’émotion du début à la fin. L’écriture est magnifique, d’une simplicité qui touche en plein cœur. Le récit est empreint d’une tristesse mélancolique, car on sait que nous assistons aux moments heureux d’un homme mort et regretté. Tous les personnages, de ceux qui nous accompagneront longtemps, sont extraordinaires et c’est avec regret que je les ai quittés. C’est un coup de cœur puissant et ce qui le rend encore plus délectable, totalement inattendu. La Bretagne et la vie de marins sont intimement liées. La famille de Perrine ne déroge pas à la règle. Son père marin est mort en mer, son époux a disparu en mer, et son fils Jean, on l’apprend dès les premières pages, suivra le chemin des marins perdus. Les malheureux ! Les malheureux ? Non. Les malheureuses. Celles qui restent avec leur détresse, leurs souvenirs, la place à jamais vide de l’absent. Ce roman est dédiée aux femmes. A travers les destins de Perrine, la mère, et de Paulette, la femme de Jean. Paulette la forte tête se l’était pourtant juré, jamais elle n’épouserait un marin. Mais une boutade lancée le sourire aux lèvres, là voilà cueillie. Elle l’aime son Jean, et quand il lui dit que si un jour il lui demande de rester à terre, elle le croit. Lui-même devait le croire aussi, au moins un peu. Mais l’appel de la mer est plus fort. Il est terrible ce roman, parce que Jean est incroyablement attachant. C’est un bon fils, qui n’a de cesse d’écrire des lettres à sa mère qu’il lui remet entre les mains à chaque retour. Il sait qu’il la contraint à vivre dans une crainte incessante...
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  • LaVieenLivresdeFrancoise 01/10/2023
    Lorsque des marins périssent en mer, l'on a coutume de dire "Les malheureux". Ce sont aux côtés des "malheureuses" que nous allons évoluer. Ces filles, soeurs, femmes, mères,... de marins. Qui attendent éperdument le retour de l'être aimé. Vivre dans l'attente. Détester cette mer nourrie par le ventre les femmes Cette mer qui prend tout sur son passage. Les bateaux, les hommes, les rêves, les vies. Vivre avec la peur au ventre. Toujours. Les deuils à surmonter. Les bonheurs terrassés. La vie pétrifiée. Attendre des nouvelles, des lettres. Craindre la météo qui fait chavirer. C'est là le destin des malheureuses, celles qui restent à quai. "Femmes de marins, femmes de chagrins". Le destin des marins est tout autre. Captivés qu'ils sont par l'amour de la mer. Cet amour fou au point qu'elle leur manque une fois à terre. Ce besoin de partir, découvrir, s'évader, la chérir. Cette volonté de ne pas vivre en cage. Dans ce roman captivant, poétique, réaliste, poignant, nous allons voguer au gré des pensées et des vies de Perrine, Jean, Paulette et Pierre. Perrine à qui la mer a tout pris. Jean, son marin de fils, ce poète qui lui écrit des lettres au long cours. Paulette, qui tombe en amour pour Jean, son "petit marin". Pierre, leur fils, petit rêveur, "Pierrot des bois". Tour à tour, leurs pensées, leurs destins nous seront contés. "Dommage qu'il soit marin, je ne voudrais pas abîmer ma plus belle robe si on doit me pendre avec..." s'est dit Paulette lors de sa première rencontre avec Jean. Le ton est donné. Un roman qui nous happe, telle la mer tempêtueuse. Qui nous bouleverse. Nous livres les émotions, pensées, passions, rêves et peurs de chacun. Une histoire puissante, sobre et poignante. Un hommage à ces femmes qui restent à terre. Dans l'attente, la joie, les larmes et le rêve de vies apaisées. Des femmes si fortes et si fragiles à la fois. Un coup de coeur que cette histoire qui m'a emportée avec elle dès les premières pages! Lorsque des marins périssent en mer, l'on a coutume de dire "Les malheureux". Ce sont aux côtés des "malheureuses" que nous allons évoluer. Ces filles, soeurs, femmes, mères,... de marins. Qui attendent éperdument le retour de l'être aimé. Vivre dans l'attente. Détester cette mer nourrie par le ventre les femmes Cette mer qui prend tout sur son passage. Les bateaux, les hommes, les rêves, les vies. Vivre avec la peur au ventre. Toujours. Les deuils à surmonter. Les bonheurs terrassés. La vie pétrifiée. Attendre des nouvelles, des lettres. Craindre la météo qui fait chavirer. C'est là le destin des malheureuses, celles qui restent à quai. "Femmes de marins, femmes de chagrins". Le destin des marins est tout autre. Captivés qu'ils sont par l'amour de la mer. Cet amour fou au point qu'elle leur manque une fois à terre. Ce besoin de partir, découvrir, s'évader, la chérir. Cette volonté de ne pas vivre en cage. Dans ce roman captivant, poétique, réaliste, poignant, nous allons voguer au gré des pensées et des vies de Perrine, Jean, Paulette et Pierre. Perrine à qui la mer a tout pris. Jean, son marin de fils, ce poète qui lui écrit des lettres au long cours. Paulette, qui tombe...
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  • jeanmarieplanque 22/09/2023
    Une histoire d'amour authentique, empreinte de douceur, qui transporte le lecteur dans une époque révolue mais toujours présente. Les femmes des communautés côtières continuent d'espérer le retour de leurs hommes à chaque campagne de pêche, tout en redoutant que la mer ne les leur prenne à jamais.
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