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Oscar Wilde et les crimes du Vatican
Jean-Baptiste Dupin (traduit par)
Date de parution : 25/10/2012
Éditeurs :
12-21

Oscar Wilde et les crimes du Vatican

Jean-Baptiste Dupin (traduit par)
Date de parution : 25/10/2012
Pour Oscar Wilde et Conan Doyle, une cure thermale n’est jamais de tout repos ! De découvertes macabres en jeu de piste, les deux compères se retrouvent bientôt sur le... Pour Oscar Wilde et Conan Doyle, une cure thermale n’est jamais de tout repos ! De découvertes macabres en jeu de piste, les deux compères se retrouvent bientôt sur le parvis de l’église Saint-Pierre, au cœur de la cité éternelle. Et dignes de leur réputation, ils ne reculeront devant rien.... Pour Oscar Wilde et Conan Doyle, une cure thermale n’est jamais de tout repos ! De découvertes macabres en jeu de piste, les deux compères se retrouvent bientôt sur le parvis de l’église Saint-Pierre, au cœur de la cité éternelle. Et dignes de leur réputation, ils ne reculeront devant rien. Quitte à infiltrer le cercle le plus privé de l’Église Catholique…

« Oscar Wilde en détective... Là encore l’idée paraît saugrenue, tant que l’on n’a pas lu les romans de Brandreth. Loin des mauvaises contrefaçons, ceux-ci sonnent miraculeusement juste. »Alexis Brocas - Le magazine littéraire
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EAN : 9782264058133
Code sériel : 4558
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782264058133
Code sériel : 4558
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • katicha 22/04/2022
    Une série de romans qui m'enthousiasme et dont j'ai déjà parlé à maintes reprises ici même. Le genre de roman historique qui , loin d'être rébarbatif, t'apprend quantité de choses sans voir l'air d'y toucher, au détour d'une phrase. Un auteur qui arrive à t'immerger dans une époque dont tu ne sais à peu près rien, et qui te livre ça comme un vêtement sur mesure. Bref, j'adore. Cette fois-ci, Oscar Wilde est à Rome en compagnie d'Arthur Conan Doyle. Ils devraient tous deux faire une cure thermale, manger léger, prendre les eaux, mais décidément le destin en a décidé autrement. Le destin qui a chargé Arthur d'une valise de lettres d'admirateurs, auxquelles il doit impérativement répondre . Des œuvres de charité, des sociétés botaniques réclament sa présence. Et puis il y a cette enveloppe , envoyée d'Italie. Avec un objet à l'intérieur. Une main humaine. Cette seconde enveloppe, et cette troisième, qui rajoutent au macabre et au mystère. Il n'en faut pas davantage à Oscar pour entraîner son ami dans la Ville éternelle, à la recherche d'un criminel haut placé dans l'entourage du Souverain Pontife.... Un régal, à tous points de vue.
  • Yanoune 03/06/2020
    Oscar Wilde et les crimes du Vatican... je dépile, je dépile... Pitch : Arthur Conan Doyle est fatigué... Vraiment, écrire son Sherlock Holmes est épuisant, énergivore et chronophage.. Il n'a plus un instant pour faire autre chose... un courrier en retard digne de Gaston Lagaffe.. Mais vu que Doyle n'est pas Gaston, c'est un homme sérieux consciencieux et responsable, il s'offre des vacances, mais il embarque le courrier avec lui, histoire de se mettre à la tache.. C'est que Sherlock a des admirateurs et des admiratrices.. la plupart des lettres et des colis sont envoyés aux 221B Baker street, adresse qui comme nous le savons n'existe pas, mais la poste en ces temps là est accommodante et renvoie le tout à son éditeur. Par contre pourquoi avoir choisi l'Allemagne et une ville d'eaux, de curiste déprimante à souhait ? Ça nous ne le saurons pas.. Mais le choix fut, pourrait-on dire judicieux, il y retrouvera de manière complètement fortuite, son ami Oscar Wilde, envoyé là par Constance qui trouve qu'il prend du gras.. mode régime régime, enfin un régime à la Oscar, un de ces régimes qui ferait mourir d'apoplexie n'importe quel nutritionniste... et en parlant de mourir... en ouvrant les colis destiné à Sherlock, ils vont tomber sur un truc plutôt étrange... plus qu'étrange même.. Ni une ni deux, les voilà partis pour Rome, le cachet postal du colis.. toute excuse est bonne à prendre pour Oscar et fuir cette ville d'eau insipide, où même fumer est interdit... L'ombre de Keats plane sur tout le roman.. j'en étais un peu mari, vu que j'ai jamais lu Keats, mais bon... Keats un poète mort à Rome très jeune (comme tous les grands poètes j'ai l'impression, et là une petite voix dans ma tête me souffle : Et Hugo, alors ? C'était pas un jeune premier... certes ^^). L'ami journaliste des autres enquêtes que j'avais lu, est rangé au placard pour être remplacé par Conan Doyle, et c'est mieux. Il est choupi à souhait ce brave Conan, il m'a fait penser au Hasting de la mère Agatha, un jupon passe et le voilà tout en émoi... ^^ Une sombre affaire dans les couloirs du Vatican.. bon ne vous attendez pas à du Brown, rien à voir et quelque part tant mieux. Même si ça dézingue à tout va, et qu'au final il va y avoir un certain nombre de cadavre, on est dans le feutré, avec thé et sandwich au concombre, même si on est en Italie... Nous rencontrons pléthore de personnage, tous plus louches les uns que les autres, les suppositions vont aller bon train, même si Sherlock le dit bien, la supposition c'est le maaaaaal... Certaines ( pour moi) s'avéreront justes ( des fois c'est pas le cas... là oui pour certaines choses...). Un bouquin agréable, plein de soleil, de moeurs un peu étranges, de squelettes dans le placard et ailleurs, plein de bon mots et autres aphorismes Oscar oblige... Mais c'est quand même dommage pour Conan, être au Vatican, traverser mainte fois la chapelle Sixtine, et ne jamais pouvoir voir cette merveille.. toujours dans le noir... là, il a quand même pas de bol... Oscar Wilde et les crimes du Vatican... je dépile, je dépile... Pitch : Arthur Conan Doyle est fatigué... Vraiment, écrire son Sherlock Holmes est épuisant, énergivore et chronophage.. Il n'a plus un instant pour faire autre chose... un courrier en retard digne de Gaston Lagaffe.. Mais vu que Doyle n'est pas Gaston, c'est un homme sérieux consciencieux et responsable, il s'offre des vacances, mais il embarque le courrier avec lui, histoire de se mettre à la tache.. C'est que Sherlock a des admirateurs et des admiratrices.. la plupart des lettres et des colis sont envoyés aux 221B Baker street, adresse qui comme nous le savons n'existe pas, mais la poste en ces temps là est accommodante et renvoie le tout à son éditeur. Par contre pourquoi avoir choisi l'Allemagne et une ville d'eaux, de curiste déprimante à souhait ? Ça nous ne le saurons pas.. Mais le choix fut, pourrait-on dire judicieux, il y retrouvera de manière complètement fortuite, son ami Oscar Wilde, envoyé là par Constance qui trouve qu'il prend du gras.. mode régime régime, enfin un régime à la Oscar, un de ces régimes qui ferait mourir d'apoplexie n'importe quel nutritionniste... et en parlant de mourir... en ouvrant les colis destiné...
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  • Souri7 18/03/2017
    Cinquième livre de la série Oscar Wilde qui peut cependant être lu indépendamment des autres. Arthur Conan Doyle est au bord du burn-out. Son personnage de Sherlock Holmes a un tel succès qu'il reçoit de nombreuses lettres au nom de ce dernier lui proposant des enquêtes, des expositions… L'auteur, lui est juste une entité invisible. Afin de répondre à tout ce courrier, Arthur a donc décidé de prendre quelques jours de vacances loin de son épouse. Oscar Wilde le prend en pitié et décide de l'aider dans sa correspondance jusqu'au moment où l'une des lettres ne se distingue par son contenu : une main embaumée. En fouillant le reste du courrier, cette découverte est complétée par un doigt portant encore une bague et une mèche blonde. Seul indice, un timbre du Vatican. Il n'en faut pas plus à Oscar Wilde : on oublie le courrier et en route pour le Vatican ! Dans cet ouvrage, l'intrigue policière peine à se mettre en place et ne débute réellement qu'au bout d'une dizaine de chapitres. Cependant, même à ce moment-là, l'enquête n'accroche pas énormément le lecteur en raison des divers protagonistes, d'un crime mêlant passé et présent et par-dessus tout, des divagations que prend le personnage dans le récit. Le crime passe rapidement au second voire troisième plan. La lecture n'est cependant pas désagréable mais pour l'aspect « policier », on repassera. Sans compter, qu'après la lecture du second tome : Oscar Wilde et le jeu de la mort, j'attendais énormément de ce nouvel opus. Une enquête dans le monde du Vatican où le thème central est : les faux-semblants. Des personnages atypiques avec Mrs English, demoiselle au passé mystérieux ; le Dr Mort qui n'hésite pas à aider les patients à rendre leur dernier souffle… Malgré cette déception concernant l'enquête, c'est toujours un plaisir de découvrir sous forme romancée et vivante deux auteurs illustres : Arthur Conan Doyle et Oscar Wilde. Dans cet ouvrage, Gyles Brandreth arrive à nous transmettre l'idée que ces personnes illustres étaient avant tout des êtres humains avec des envies, des déceptions comme nous tous. Nous suivons dans cet ouvrage notamment la lassitude qu'éprouve Arthur Conan Doyle a voir son personnage de Sherlock Holmes prendre de l'ascendant sur lui : les lecteurs ne cessent de lui demander des aventures de ce héros sans se préoccuper des autres ouvrages qu'Arthur a pu écrire. Nous découvrons ainsi les raisons qui l'ont poussé à tuer Sherlock Holmes. En ce qui concerne Oscar Wilde, Gyles Brandreth nous offre ici un portrait étonnant où il n'est pas question de l'homme scandaleux se moquant du quand dira-t-on mais de l'homme instruit, pieux, voire même mystique. Ce livre permet également de prendre conscience du détournement de certains de ses « amis » afin de protéger leur carrière… Oscar Wilde et le meurtre du Vatican n'est pas le meilleur livre de la série mais le lecteur trouvera toujours plaisir à suivre nos deux protagonistes dans leurs aventures.Cinquième livre de la série Oscar Wilde qui peut cependant être lu indépendamment des autres. Arthur Conan Doyle est au bord du burn-out. Son personnage de Sherlock Holmes a un tel succès qu'il reçoit de nombreuses lettres au nom de ce dernier lui proposant des enquêtes, des expositions… L'auteur, lui est juste une entité invisible. Afin de répondre à tout ce courrier, Arthur a donc décidé de prendre quelques jours de vacances loin de son épouse. Oscar Wilde le prend en pitié et décide de l'aider dans sa correspondance jusqu'au moment où l'une des lettres ne se distingue par son contenu : une main embaumée. En fouillant le reste du courrier, cette découverte est complétée par un doigt portant encore une bague et une mèche blonde. Seul indice, un timbre du Vatican. Il n'en faut pas plus à Oscar Wilde : on oublie le courrier et en route pour le Vatican ! Dans cet ouvrage, l'intrigue policière peine à se mettre en place et ne débute réellement qu'au bout d'une dizaine de chapitres. Cependant, même à ce moment-là, l'enquête n'accroche pas énormément le lecteur en raison des divers protagonistes, d'un crime mêlant passé et présent et par-dessus tout, des divagations que...
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  • LePamplemousse 03/05/2016
    Oscar Wilde et Arthur Conan Doyle font de nouveau équipe dans ce cinquième volume des aventures policières d’une série qui en compte six actuellement et ce, afin de résoudre des crimes. Aucun besoin d’avoir lu les précédents pour suivre cette enquête. Le célèbre dandy et son ami médecin vont se rendre à Rome et plus précisément au Vatican, car des lettres au contenu aussi mystérieux que troublant vont les y attirer irrésistiblement. L’auteur est un vrai connaisseur de la vie et de l’oeuvre de ces deux personnages et en cela, ses romans sont érudits, tout en étant vraiment trépidants, drôles et originaux. Si vous avez envie de découvrir le fonctionnement du Vatican, de rencontrer le pape, des cardinaux, des prêtres de différentes confessions, des amoureux de la littérature, toute une brochettes de gentlemen et de belles dames anglaises ainsi que des individus pas toujours recommandables, vous allez vous régaler. Tout comme Oscar Wilde, d’ailleurs, qui adore se restaurer à longueur de journée de champagne, de soupe de tortue, de homard accompagné de bons vins, et qui semble ici éprouver une soudaine passion pour les sandwichs au concombres! Les déambulations de nos deux compères au sein de la ville sont un vrai plaisir, j’ai eu l’impression moi aussi de me promener dans les rues chauffées par le soleil, de me détendre, assise à l’ombre d’un parc, de déguster des fruits gorgés de sucre avec du champagne glacé, de visiter des églises sombres et d’une fraîcheur bienvenue… L’intrigue policière a ceci de particulièrement originale que nous ne savons pas qui a été tué et nous ne sommes même pas certain que quelqu’un soit réellement mort et pourtant un mystère indéniable plane au Vatican. Belle réussite que cette série dont je suis ravie d’avoir encore quelques titres à découvrir. Oscar Wilde et Arthur Conan Doyle font de nouveau équipe dans ce cinquième volume des aventures policières d’une série qui en compte six actuellement et ce, afin de résoudre des crimes. Aucun besoin d’avoir lu les précédents pour suivre cette enquête. Le célèbre dandy et son ami médecin vont se rendre à Rome et plus précisément au Vatican, car des lettres au contenu aussi mystérieux que troublant vont les y attirer irrésistiblement. L’auteur est un vrai connaisseur de la vie et de l’oeuvre de ces deux personnages et en cela, ses romans sont érudits, tout en étant vraiment trépidants, drôles et originaux. Si vous avez envie de découvrir le fonctionnement du Vatican, de rencontrer le pape, des cardinaux, des prêtres de différentes confessions, des amoureux de la littérature, toute une brochettes de gentlemen et de belles dames anglaises ainsi que des individus pas toujours recommandables, vous allez vous régaler. Tout comme Oscar Wilde, d’ailleurs, qui adore se restaurer à longueur de journée de champagne, de soupe de tortue, de homard accompagné de bons vins, et qui semble ici éprouver une soudaine passion pour les sandwichs au concombres! Les déambulations de nos deux compères au sein de la ville sont un vrai plaisir, j’ai eu l’impression moi...
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  • Sharon 25/08/2014
    Arthur Conan Doyle est à deux doigts de ce que nous qualifierons de nos jours d’un burn-out. Sherlock Holmes l’épuise, et s’il prend des vacances, c’est pour mettre ses distances entre lui et sa création. Difficile, n’est-ce pas ? Il est quasiment impossible de partir en se laissant derrière soi. Pas de chance : il croise Oscar Wilde en villégiature ! Pire : en ouvrant le courrier de Sherlock Holmes en retard, il découvre des indices plutôt sanglants, et se rend compte qu’il aurait peut-être dû ouvrir son courrier plus tôt ! Autant dire que c’en est fini des vacances, du moins, au sens où l’entendait Arthur. Lui et Oscar partent pour le Vatican. J’ai ainsi découvert que la communauté anglaise était importante à Rome, qu’elle soit catholique, ou anglicane, et qu’elle gardait toute son affection pour le thé et les sandwichs au concombre. Ce séjour à Rome, en compagnie de Wilde et de Conan Doyle est presque serein, presque apaisant, entre visite de la ville, et audience auprès des prélats. C’est aussi l’occasion de retrouvailles, entre Wilde et un vieil ennemi, entre Conan Doyle et un ancien condisciple, entre les souvenirs et le présent. Oscar et Arthur rencontrent aussi un singulier médecin, qui soulage ses patients lorsque leur agonie est trop longue. Ils n’oublient pourtant pas d’enquêter. Enquête en deux temps : qui est mort ? Qui les a fait venir et pourquoi ? Wilde trouvera les réponses aux deux questions, et révélera la vérité dans un final que n’aurait pas renié Hercule Poirot. Les apparences ne sont pas trompeuses, il faut simplement les déchiffrer. L’esprit pétille littéralement dans ce roman, comme les bulles de champagne que Wilde consomme sans aucune modération mais pour la bonne cause.Arthur Conan Doyle est à deux doigts de ce que nous qualifierons de nos jours d’un burn-out. Sherlock Holmes l’épuise, et s’il prend des vacances, c’est pour mettre ses distances entre lui et sa création. Difficile, n’est-ce pas ? Il est quasiment impossible de partir en se laissant derrière soi. Pas de chance : il croise Oscar Wilde en villégiature ! Pire : en ouvrant le courrier de Sherlock Holmes en retard, il découvre des indices plutôt sanglants, et se rend compte qu’il aurait peut-être dû ouvrir son courrier plus tôt ! Autant dire que c’en est fini des vacances, du moins, au sens où l’entendait Arthur. Lui et Oscar partent pour le Vatican. J’ai ainsi découvert que la communauté anglaise était importante à Rome, qu’elle soit catholique, ou anglicane, et qu’elle gardait toute son affection pour le thé et les sandwichs au concombre. Ce séjour à Rome, en compagnie de Wilde et de Conan Doyle est presque serein, presque apaisant, entre visite de la ville, et audience auprès des prélats. C’est aussi l’occasion de retrouvailles, entre Wilde et un vieil ennemi, entre Conan Doyle et un ancien condisciple, entre les souvenirs et le présent. Oscar et Arthur rencontrent aussi un...
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