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Web killer
Joachim Dachman (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/06/2014
Éditeurs :
L'Archipel

Web killer

Joachim Dachman (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/06/2014
Paris, 2014. Les détectives privés d’une agence parisienne enquêtent simultanément sur plusieurs affaires, dont la recherche d'un serial killer mettant en scène ses meurtres avec cruauté et esthétisme. Ce maniaque... Paris, 2014. Les détectives privés d’une agence parisienne enquêtent simultanément sur plusieurs affaires, dont la recherche d'un serial killer mettant en scène ses meurtres avec cruauté et esthétisme. Ce maniaque s'attaque aux escort girls blondes et plantureuses qui se prostituent sur Internet. D’où son surnom de « Web Killer ».Mais... Paris, 2014. Les détectives privés d’une agence parisienne enquêtent simultanément sur plusieurs affaires, dont la recherche d'un serial killer mettant en scène ses meurtres avec cruauté et esthétisme. Ce maniaque s'attaque aux escort girls blondes et plantureuses qui se prostituent sur Internet. D’où son surnom de « Web Killer ».Mais une autre affaire conduit une partie de l'équipe à Cannes, pendant le Festival, pour y protéger un cinéaste entretenant des liens étroits avec la mafia…Peu de temps après, des attentats ensanglantent la Croisette. La piste islamiste est privilégiée.Cannes est sous le choc. D’autant que de nouvelles escort girls sont assassinées dans la région. À n’en point douter, le tueur du Web rôde dans les parages…
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EAN : 9782809814996
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 352
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809814996
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 352
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ROUMANOFFBE 16/10/2017
    Un véritable jeu de quilles dont l'équilibre vacille dès que l'une perd de sa verticalité. Quel enchaînement! C'était une vraie bonne surprise dont la lecture est rapide vu le rythme de l'auteur et les chapitres courts.
  • Swendra 03/05/2017
    Enorme coup de cœur pour ce thriller mêlant habilement trafics de drogues, prostitution, serial killer et terrorisme. Au début, la multitude des personnages et la narration rapide n'aident pas vraiment à s'y retrouver... Puis, on s'habitue. Les chapitres sont courts, rythmés. On suit toute une équipe de détectives privés, chacun sur leurs enquêtes, certaines reliées les unes aux autres, d'autres plus obscures. Un excellent thriller à dévorer rapidement pour ne pas risquer de s'y perdre et d'oublier des détails en route, tant il se passe de choses en peu de pages !
  • willymjg 23/06/2014
    Elle était nue. Et morte. Mais pas depuis longtemps. Le sang n’avait pas encore séché sur son ventre ouvert à la verticale. C’est ce que le clochard constata à la lueur d’un éclair trouant la nuit. Il était entré dans la maison en démolition pour s’abriter de l’orage… Et il venait d’y trouver l’horreur. La lumière d’un nouvel éclair lui permit d’identifier un sac à main. Il le ramassa. Le fouillant, ses doigts sentirent un bout de carton. Une carte de visite. Il s’en empara et lu : « Détectives Associés – Enquêtes ». La foule se massait dans les jardins du Trocadéro. Elle était composée d’une majorité de jeunes, tous vêtus de noir, avec des piercings sur le visage ou des scarifications impressionnantes sur les bras ou les joues. Une projection d’extraits de films faisait patienter le public venu écouter sa rock star GJK. Nosferatu, Dracula, des plans gore de séries Z. Une musique accompagnait ce fatras, celle du film « Rosemary’s Baby » de Roman Polanski. Il passait en boucle, repris à bouche fermée par tous les spectateurs. La musique s’arrêta. Un glas frappa les douze coups de minuit. La projection de films cessa. Les spectateurs scandèrent : GJK, GJK, GJK. Mais ce n’est pas le chanteur qui apparut sur scène en demandant le silence. L’homme juché sur le podium s’approcha du micro : « – Les amis, trois membres du groupe ont été victimes d’un malaise et ils doivent être hospitalisés. J’ai la tristesse de vous annoncer que le concert n’aura pas lieu… ». Une bousculade suivit ces paroles. Puis ce fut un vent de panique. Gothic Jeff Kiss contemplait les corps inanimés de ses trois musiciens grimés en vampires. Un type maquillé en loup-garou se tenait à côté de lui. « – On attend les flics », lui dit-il. « - L’ambulance est inutile. Ils sont morts… ». Le libraire Antonin Rigaut, dit « Encyclopédie », l’érudit de « Détectives Associés », informa Langlois, le patron de l’Agence de détectives, de la visite dans sa librairie de Romain Kanya. Louis Langlois avait lu les romans de l’écrivain nobélisable. Romain Kanya était un type bien. Un esprit libre qui refusait toute allégeance à un parti politique ou une idéologie. Il est venu me voir, angoissé, dit Antonin. Très angoissé parce que son fils Mustapha s’est converti à l’islam. Il craint surtout que des fanatiques ne l’entrainent vers le terrorisme. Tommy Kranzick. Ce nabot, s’était offert un pavillon 1900 qu’il avait fait rénover avec tout le confort possible. Il passait la plupart de son temps à regarder des séries, attendant qu’on lui livre la came en gros et que ses dealers lui rapportent leur recette. Soudain une moto s’arrêta et un paquet fut jeté sur le perron. Un des colosses au cerveau sous-développé de sa garde rapprochée, chargé de vérifier, vomit en découvrant le contenu du paquet. La tête tranchée d’un gars que Tommy avait chargé de pister un des dealers… Les détectives privés de l’Agence de Louis Langlois vont enquêter simultanément sur ces affaires. La recherche d’un sérial killer mettant en scène ses meurtres avec cruauté et esthétisme. Une guerre entre dealers qui enflamme la banlieue parisienne et sème ses premiers morts à l’intérieur même de la capitale. Mais une autre affaire conduit une partie de l’équipe à Cannes, pendant le festival, pour y protéger un cinéaste entretenant des liens étroits avec la mafia… Lorsque des attentats ensanglantent la Croisette, la piste islamique est néanmoins privilégiée… Elle était nue. Et morte. Mais pas depuis longtemps. Le sang n’avait pas encore séché sur son ventre ouvert à la verticale. C’est ce que le clochard constata à la lueur d’un éclair trouant la nuit. Il était entré dans la maison en démolition pour s’abriter de l’orage… Et il venait d’y trouver l’horreur. La lumière d’un nouvel éclair lui permit d’identifier un sac à main. Il le ramassa. Le fouillant, ses doigts sentirent un bout de carton. Une carte de visite. Il s’en empara et lu : « Détectives Associés – Enquêtes ». La foule se massait dans les jardins du Trocadéro. Elle était composée d’une majorité de jeunes, tous vêtus de noir, avec des piercings sur le visage ou des scarifications impressionnantes sur les bras ou les joues. Une projection d’extraits de films faisait patienter le public venu écouter sa rock star GJK. Nosferatu, Dracula, des plans gore de séries Z. Une musique accompagnait ce fatras, celle du film « Rosemary’s Baby » de Roman Polanski. Il passait en boucle, repris à bouche fermée par tous les spectateurs. La musique s’arrêta. Un glas frappa les douze coups de minuit. La projection de films cessa. Les spectateurs...
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