Veiller sur elle - Prix Goncourt 2023

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Francoise36 27/04/2024

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  Roman très bien écrit mais selon moi il manque de souffle : je ne suis pas sentie « happée » par cette histoire, laquelle est peut être trop longue et un brin touffue. Malgré le Lyrisme de certains passages et la belle écriture de l’auteur, je n’ai pas réussi à m’attacher ni à l’histoire ni aux personnages.
• christinethivel 27/04/2024

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  Un roman magnifique et une ode à la différence, à l'amitié et à l'amour. Un histoire qui parcourt le temps et l'Italie depuis l'inquiétante Sacra di San Michele (qui a inspiré l'auteur de l'excellent "Le nom de la rose"). Un livre qui se dévore. Magistral !
• marcdu38 26/04/2024

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  Comme j'ai aimé ce roman historique ! Le début m'a fait penser à du Marcel Pagnol, de par sa poésie, ses paysages ensoleillés et parfumés. La suite fut du calibre de Ken Follet et ses piliers de la Terre. C'est ma première lecture de Jean-Baptiste Andréa, mais j'ai déjà réservé les autres à la bibliothèque. Il y a là matière à un très bon film, ou une série. J'espère que ce sera le cas.
• LISAINES 26/04/2024

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  Un véritable coup de coeur pour ce roman. J'avais hâte de découvrir les aventures italiennes du protagoniste et je n'ai pas été déçue mais happée par cette lecture. Qu'est-ce qui m'a plu ? le côté roman d'apprentissage digne d'un roman du 19e siècle, l'Italie, ses paysages et son soleil, la relation particulière et indéfectible entre le narrateur Michelangelo Vitaliani, dit Mimo et Viola Orsini, fille d'une grande famille, l'histoire des arts et le monde de la sculpture, l'autodérision du personnage sur lui-même, le mystère autour de son oeuvre capitale, le vocabulaire riche. L'histoire : Mimo va mourir, on est en 1986 dans un monastère. Avant de rendre son dernier souffle, il se remémore sa vie : son nanisme, la mort de son père, l'envoi chez un oncle alcoolique et caractériel qui lui apprend le métier de sculpteur, ses débuts, sa rencontre avec Viola, sa percée dans le monde de la sculpture, son oeuvre capitale La Pietà auréolée de mystère et cachée dans ce même monastère dans lequel il se trouve. Toute une vie ayant pour panorama le village italien, Pietra d'Alba, Florence, Milan ; toute une vie sous fond de nazisme. A la fin et seulement à la fin, nous saurons quel est le véritable mystère autour de sa magnifique et terrible oeuvre, La Pietà. Régalez-vous : ce livre se savoure comme une glace itralienne !Un véritable coup de coeur pour ce roman. J'avais hâte de découvrir les aventures italiennes du protagoniste et je n'ai pas été déçue mais happée par cette lecture. Qu'est-ce qui m'a plu ? le côté roman d'apprentissage digne d'un roman du 19e siècle, l'Italie, ses paysages et son soleil, la relation particulière et indéfectible entre le narrateur Michelangelo Vitaliani, dit Mimo et Viola Orsini, fille d'une grande famille, l'histoire des arts et le monde de la sculpture, l'autodérision du personnage sur lui-même, le mystère autour de son oeuvre capitale, le vocabulaire riche. L'histoire : Mimo va mourir, on est en 1986 dans un monastère. Avant de rendre son dernier souffle, il se remémore sa vie : son nanisme, la mort de son père, l'envoi chez un oncle alcoolique et caractériel qui lui apprend le métier de sculpteur, ses débuts, sa rencontre avec Viola, sa percée dans le monde de la sculpture, son oeuvre capitale La Pietà auréolée de mystère et cachée dans ce même monastère dans lequel il se trouve. Toute une vie ayant pour panorama le village italien, Pietra d'Alba, Florence, Milan ; toute une vie sous fond de nazisme. A la fin et seulement à la fin, nous saurons quel est...

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• CallieTourneLesPages 26/04/2024

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  C'est un beau et bon roman mais mon avis est mitigé. La construction du roman est intéressante mais elle manque parfois de rythme. Je me suis parfois dit que c'était un peu long notamment lors de la première séparation des protagonistes. Les personnages de Viola et Mimo sont attendrissants et s'inscrivent dans l'histoire italienne du XXe siècle avec force et fragilité, réalisme et onirisme. J'ai parfois été perdue dans le récit du Mimmo veilli. L'écoute audio à deux voix a été plutôt agréable mais en comparaison j'ai préféré lire Des diables et des saints du même auteur. Je félicite l'auteur pour son prix et je continuerai à lire ses livres car il sait raconter des histoires intimes qui touchent à l'universelle.