D'entre les morts

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• romaincolli 12/04/2024

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  Fin de lecture du dernier Alexis Laipsker « D’entre les morts ». J’ai adoré ce thriller totalement machiavélique ! Heureux d’avoir retrouvé le binôme Venturi-Menthe-à-l’eau. Dès le début, j’ai été désarçonné. La découverte faite par Venturi nous plonge directement dans le bain, dans une enquête qui sera haletante comme addictive. Au fil des chapitres, l’enquête poursuit son court au point de le retrouver dans des réflexions à la limite de sortir un paper-board. 😂 J’ai cru devenir dingue à force de me faire des noeuds au cerveau et le pire c’est que j’aime ça dans la lecture de ce type de roman. Mais cela vaut le coup! Car c’est bien mené. Alexis Laipsker, spécialiste du poker, nous montre encore comment il peut nous bluffer, que de soit dans l’écriture et l’efficacité de son intrigue et de l’art de nous manipuler. Si avec cela vous avez pas envie de le lire ! J’entends déjà Venturi vous dire « Bon, vous venez !! »
• Paw_Breizh 12/04/2024

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  • Toutes ces femmes mortes. C'était à cause d'Elle. C'était pour Elle qu'il faisait ça. Pour qu'Elle vive. Pour qu'Elle revive. Pour qu'Elle revienne... D'entre les morts. • Très contente d'enquêter de nouveau avec Venturi et Montalvert sur une affaire de dingue. Dès les premières pages, l'atmosphère est anxiogène, le ton est donné. • Très psychologique, le récit est machiavélique. On change de point de vue à chaque nouveau chapitre, qui sont courts, ce qui rend la lecture attractive, fluide, rythmée et encore une fois, complètement addictive. La tension monte crescendo, l'auteur nous retourne complètement le cerveau. • Et j'ai halluciné de constater à quel point l'auteur est parti très très très loin dans le délire. Ma tête ne ressemblait plus à rien tellement qu'elle essayait d'assembler ce puzzle. Un beau casse-tête ! • La fin ? Je ne sais pas si je dois dire que la fin est une pépite ou si c'est carrément tirée par les cheveux. A la fois, je suis assez satisfaite et en même temps le tout dernier chapitre qui relate d'un interrogatoire me torture l'esprit. Est-ce le début d'une potentielle future enquête ? • Une nouvelle fois, pas déçue. Je trouve que chaque nouvelle sortie littéraire d'Alexis Laipsker est meilleure que la précédente. #x1f44c Belle soirée #xNaN• Toutes ces femmes mortes. C'était à cause d'Elle. C'était pour Elle qu'il faisait ça. Pour qu'Elle vive. Pour qu'Elle revive. Pour qu'Elle revienne... D'entre les morts. • Très contente d'enquêter de nouveau avec Venturi et Montalvert sur une affaire de dingue. Dès les premières pages, l'atmosphère est anxiogène, le ton est donné. • Très psychologique, le récit est machiavélique. On change de point de vue à chaque nouveau chapitre, qui sont courts, ce qui rend la lecture attractive, fluide, rythmée et encore une fois, complètement addictive. La tension monte crescendo, l'auteur nous retourne complètement le cerveau. • Et j'ai halluciné de constater à quel point l'auteur est parti très très très loin dans le délire. Ma tête ne ressemblait plus à rien tellement qu'elle essayait d'assembler ce puzzle. Un beau casse-tête ! • La fin ? Je ne sais pas si je dois dire que la fin est une pépite ou si c'est carrément tirée par les cheveux. A la fois, je suis assez satisfaite et en même temps le tout dernier chapitre qui relate d'un interrogatoire me torture l'esprit. Est-ce le début d'une potentielle future enquête ? • Une nouvelle fois, pas déçue. Je trouve que chaque nouvelle...

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• ilmeresteunepage 12/04/2024

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  Encore un grand Laipsker ! On retrouve avec bonheur Menthe à L’Eau et Venturi ainsi que leurs joutes verbales délectables (cet humour cynique c’est exactement ma came), dans une affaire qui s’approche du surnaturel. Dans sa dédicace, @alexis_laipsker m’écrit qu’il va « me retourner le cerveau ». La promesse est tenue ! Chaque chapitre finit par un cliffhanger (sans qu’il soit poussif) et nous fait un peu plus avancer dans l’enquête. Pas de temps mort, mais des indices qui partent dans tous les sens et nous font élaborer les théories les plus improbables ! C’est le genre de page-turner que j’adore dévorer. Les 400 pages passent à une vitesse folle et on en vient presque à regretter que la fin approche (même si le prologue - qui est en fait la scène finale - nous a tout de suite mis sous tension). Alexis Laipsker a encore réussi son coup de poker !
• Cindy13 10/04/2024

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  Un corps d'une femme retrouvé, mais voilà ce n'est pas seulement une victime, mais bien huit qui reconstituent un seul corps. Qui sont les victimes ? Une scène abominable l'auteur est machiavélique et n'a aucunement peur de choquer ses lecteurs. Le commandant Victor Venturi dit le Coboy et sa partenaire Montalvert sa psy préférée qu'il surnomme Menthe à l'eau vont devoir s'armer de patiente pour cette affaire hors du commun. Un humour propre à eux qui nous délectent. On les adores. L'auteur nous met dans le bain dès la première page, il commence par la fin et là, c'est le choc pendant quelques secondes, trop spectaculaire pour être vrai en mon sens. L'histoire est diabolique, un vrai page turner angoissant, le stress monte de pages en pages avec de nombreux cliffhangers à couper le souffle. Une plume incroyablement fluide et des chapitres très courts ne nous laissent aucun répit. Le récit est extrêmement complexe, je m'y suis perdu par moments pourtant, je connais les petites manies de l'auteur. Pour moi, l'histoire est poussée à son extrême, un peu trop qui ne la rend que peu crédible sous de nombreux points. Un véritable sac de nœuds qui retourne littéralement le cerveau. Alors le suspense est à son comble effectivement, je n'ai rien vu se tramer, le final m'a stupéfaite, je l'avoue. Une très bonne lecture qui se dévore, mais avec beaucoup top d'exagération qui m'a procuré une sensation déstabilisante, un peu capharnaüm malheureusement. J'attends quand même avec grande impatience le prochain.Un corps d'une femme retrouvé, mais voilà ce n'est pas seulement une victime, mais bien huit qui reconstituent un seul corps. Qui sont les victimes ? Une scène abominable l'auteur est machiavélique et n'a aucunement peur de choquer ses lecteurs. Le commandant Victor Venturi dit le Coboy et sa partenaire Montalvert sa psy préférée qu'il surnomme Menthe à l'eau vont devoir s'armer de patiente pour cette affaire hors du commun. Un humour propre à eux qui nous délectent. On les adores. L'auteur nous met dans le bain dès la première page, il commence par la fin et là, c'est le choc pendant quelques secondes, trop spectaculaire pour être vrai en mon sens. L'histoire est diabolique, un vrai page turner angoissant, le stress monte de pages en pages avec de nombreux cliffhangers à couper le souffle. Une plume incroyablement fluide et des chapitres très courts ne nous laissent aucun répit. Le récit est extrêmement complexe, je m'y suis perdu par moments pourtant, je connais les petites manies de l'auteur. Pour moi, l'histoire est poussée à son extrême, un peu trop qui ne la rend que peu crédible sous de nombreux points. Un véritable sac de nœuds qui retourne littéralement le cerveau. Alors le suspense est à son comble effectivement, je...

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• thebensbookoflife 09/04/2024

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  On m’a toujours dit :”N’abuse jamais des bonnes choses sinon tu vas ne plus les aimer”. Ayant cette réflexion en tête, j’ai mûrement réfléchi avant d’entamer ce nouveau roman d’Alexis LAIPSKER. En effet, j’ai terminé il y a à peine quelques jours la terrifiante mais enthousiasmante lecture de “HURLEMENTS” du même auteur. Et même celle des POUPÉES encore quelques semaines en arrière. Alors son nouveau bébé littéraire pouvait-il aussi me combler autant que ces prédécesseurs en matière de thriller? Donc, après un long recul émotionnel nécessaire de 30 secondes sur la question"trop tôt ou pas”, je me suis mis en route vers le premier chapitre. Et il commence costaud l’Alexis. Dès les premières pages, on est happé par une ambiance morbide et étouffante. Les situations sordides s’enchaînent à vitesse grand V. Pour les fans de gore et d’esprits tordus, Tonton Alex vous a gâtés. Il nous fait aussi plaisir en mettant de nouveau en scène le COW-BOY, alias le commissaire Venturi (ou l’inverse), ce vieux lascar de la PJ aux méthodes à l’ancienne et plus que magouilleuses. Il sera de nouveau secondé dans cette aventure par la jeune et sémillante Olivia Montalvert alias Menthe-à-l’Eau pour les intimes. Notre jeune psychologue-profileuse sera un solide atout pour ce bourru de commissaire car le tueur de ce roman est retors et assez très fêlé du ciboulot. LAIPSKER se laisse aller allègrement dans les descriptions terrifiantes des scènes de crimes et démontre quasi un côté psychopathe lorsqu’il nous emmène dans la tête de notre serial killer. Alexis repousse encore les limites de la folie et il faut avouer que j’en suis fou. On se creuse les méninges pour deviner ce qu’il va se passer; on relit certains passages comme si on épluchait un P.V de police; il m’est arrivé de me mettre à la place du tueur pour essayer de comprendre et là, merci Alexis de m’avoir donné autant de sensations lors d’une lecture. L’enquête, je l’ai vécu. J’étais comme un troisième homme aux côtés de Venturi et d’Olivia. Et çà, c’est puissant comme lecture. Les chapitres sont courts et donnent le rythme intensif de la traque vécue par les enquêteur. Le style, malgré les détails et les descriptions, est fluide. Un régal de Pageturner. Le psycho des personnages, tant les mauvais que les bons, est très poussée et donne encore plus de profondeur à l’intrigue. Voire elle amplifie l’empathie, surtout pour nos deux acolytes d’investigateurs. La relation entre ce policier typé Old School et cette jeune intellectuelle vegan à la sensibilité à fleur de peau est de plus en plus forte et solide. Ils vivent chacun dans leur sphère privée des événements marquants et cela leur donne une humanité hors norme. Ils sont hyper attachants et on ressent de la tendresse pour eux. On peut y discerner, au delà de la complicité, un échange générationnel, comme un père avec sa fille. Les dialogues entre eux sont magnifiques, emballés avec un humour et une fraîcheur extraordinaires. Comme j’aime à le dire, de l’Audiard moderne. Bravo pour çà aussi Alexis ! Une intrigue abominable; Des twists à la pelle et un final haletant; Une immersion intense dans l’intrigue; Deux limiers au cour tendre dont on rêve d’être leur coéquipier: Ce D’ENTRE LES MORTS est définitivement un coup de coeur et nous prouve que LAIPSKER est assurément un des maîtres du thriller littéraire. Je ne sais pas où l’imagination de ce garçon s'arrêtera et ni jusque quand il aura l'audace de nous la retranscrire sur papier, mais pourvu que cela dure encore longtemps. Et longtemps. Et longtemps. (vite la suite Alex !)On m’a toujours dit :”N’abuse jamais des bonnes choses sinon tu vas ne plus les aimer”. Ayant cette réflexion en tête, j’ai mûrement réfléchi avant d’entamer ce nouveau roman d’Alexis LAIPSKER. En effet, j’ai terminé il y a à peine quelques jours la terrifiante mais enthousiasmante lecture de “HURLEMENTS” du même auteur. Et même celle des POUPÉES encore quelques semaines en arrière. Alors son nouveau bébé littéraire pouvait-il aussi me combler autant que ces prédécesseurs en matière de thriller? Donc, après un long recul émotionnel nécessaire de 30 secondes sur la question"trop tôt ou pas”, je me suis mis en route vers le premier chapitre. Et il commence costaud l’Alexis. Dès les premières pages, on est happé par une ambiance morbide et étouffante. Les situations sordides s’enchaînent à vitesse grand V. Pour les fans de gore et d’esprits tordus, Tonton Alex vous a gâtés. Il nous fait aussi plaisir en mettant de nouveau en scène le COW-BOY, alias le commissaire Venturi (ou l’inverse), ce vieux lascar de la PJ aux méthodes à l’ancienne et plus que magouilleuses. Il sera de nouveau secondé dans cette aventure par la jeune et sémillante Olivia Montalvert alias Menthe-à-l’Eau pour les intimes. Notre jeune psychologue-profileuse sera un solide atout pour...

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