Trois vies par semaine

« Avec Trois vies par semaine l'auteur normand nous entraîne avec succès dans les méandres de la quête d'identités. »

« Portée par une écriture plus acérée qu’à l’accoutumée, les ressorts sont implacables, révélant toujours plus de mobiles, de vengeances, de secrets »

« Conteur hors pair, l'ex-géographe normand s'en donne à coeur joie pour brouiller les pistes, croiser les récits, varier les points de vue et changer de décors »

« Bussi est un illusionniste qui attend d’être démasqué et a la sournoiserie jouissive de nous faire rôtir dès le prologue : "Méfiez-vous de tout ce que vous lirez, méfiez-vous de tout ce que vous apprendrez, méfiez-vous des fils invisibles, méfiez vous de celui ou de celle qui tire les ficelles." »

Un cadavre est retrouvé dans les Ardennes. Le problème c'est qu'il possède trois identités différentes. Michel Bussi nous emmène sur les traces de ce cadavre mystérieux et tire les ficelles pour mieux nous emmêler. Un suspense mêlant les thèmes de la vengeance, de l'exil, des vies multiples.

Après avoir rendu hommage à Saint-Exupéry dans Code 612 - Qui a tué le Petit Prince, Michel BUSSI fait ici une "ode" à Rimbaud. Quand poésie et intrigue policière s'entremêlent....
Dans ce roman à 3 v(o)ies, il tire avec doigté les ficelles d'un scénario énigmatique, labyrinthique et au final, diabolique.
Une histoire de FILS et de marionett(ist)es.... qu'on a du mal à lâcher ! 

« C’est un bonheur de plonger dans une histoire et dans un décor, et de ne pas vouloir en sortir. Faites ce test révélateur : lâcher le roman quelques heures...Et votre esprit nepeut pasle quitter, il vous commande d’y revenir. C’est cela l’effet Bussi. »

Un homme peut-il avoir trois vies distinctes sans que l'on s'en aperçoive jusqu'à sa mort brutale ?... Vous le saurez en lisant ce nouveau polar très bien ficelé de Michel Bussi ! Une vraie réussite !

Un cadavre retrouvé au fond d’un gouffre et trois permis de conduire dans la boite à gants de la voiture. Trois personnes nés le même jour et aux photos d’identités strictement identiques. Qui sont-ils ?

Le grand retour de Michel Bussi, le roi du twist ! Après avoir emprunté des chemins de traverse avec Nouvelle Babel et Code 612 Qui a tué le Petit Prince, Michel Bussi revient aux sources du thriller. Trois vies par semaine regorgent de rebondissements et de surprises pour le lecteur. Comment un homme est-il parvenu à mener une triple vie sans qu’aucune de ses épouses ne s’en rendent compte ? C’est l’énigme inextricable que doit résoudre la capitaine Katel Marelle et ses équipes de la gendarmerie nationale. Michel Bussi prend un malin plaisir à disséminer indices et fausses pistes. Il joue avec son lecteur tout en le faisant voyager à travers la France – de Charleville Mézière (capitale de la marionnette) à Bourg Fidèle dans les Ardennes en passant par la Meuse, et à travers l’Histoire. Il côtoie le monde de l’art en plongeant le lecteur dans l’univers des marionnettes, personnage à part entière dans le roman. Il intrigue avec l’omniprésence de Arthur Rimbaud et certaines apartés familiales. « Les plus grands secrets du monde ne se cachent-ils pas là ? Dans notre tête ? le seul et le dernier coffre -fort véritablement inviolable, dans un monde où tout est filmé, espionné, commenté. ». Il fait souffrir avec les « deux visages d’épouvante ! Deux gueules cassées ! » d’Amos l’aveugle et Kristof le sourd. Le lecteur est embarqué, manipulé et pris au piège. Rythme haletant, intrigue entraînante, Michel Bussi convainc avec cette histoire hors du commun pour laquelle il tire les fils à la perfection. Son talent de marionnettiste n’est plus à démontrer. Son esprit retors fait de nouveau des merveilles.