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En avant la moujik
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

En avant la moujik

Date de parution : 28/10/2010

Je connais plusieurs centaines de milliers de femmes qui vont avoir un sérieux pincement au cœur, en lisant les premières lignes de cette histoire : imaginez un peu, mes belles,...

Je connais plusieurs centaines de milliers de femmes qui vont avoir un sérieux pincement au cœur, en lisant les premières lignes de cette histoire : imaginez un peu, mes belles, l'unique, celui qui vous fait tourner les têtes, le commissaire San Antonio vient de se marier ! Et pour mettre...

Je connais plusieurs centaines de milliers de femmes qui vont avoir un sérieux pincement au cœur, en lisant les premières lignes de cette histoire : imaginez un peu, mes belles, l'unique, celui qui vous fait tourner les têtes, le commissaire San Antonio vient de se marier ! Et pour mettre un comble à votre désappointement, sachez que sa légitime n'est autre que la fille d'un célèbre savant russe… Mais sachez aussi qu'elle pèse deux cents livres et qu'à côté d'elle Berthe Bérurier est une starlette d'Hollywood ! Rassurez-vous, il y a gros à parier qu'avant la fin de ce chef d'œuvre, le magnifique commissaire sera de nouveau disponible…

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EAN : 9782265090996
Code sériel : 72
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265090996
Code sériel : 72
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JML38 17/02/2023
    Un San-Antonio qui démarre sur une hérésie. le commissaire convole en justes noces. L'heureuse élue étant nettement moins sexy que Berthe Bérurier – c'est dire –, il y a lieu de se poser de sérieuses questions. Lorsqu'on découvre que le maire de cérémonie est Pinaud en personne, il y a alors vraiment anguille sous roche. Tout s'explique évidemment par la raison d'état à laquelle San-Antonio est prêt à tous les sacrifices. Natacha, l'épousée, est la fille de Boris Bofstrogonoff, un savant russe dont les travaux représentent un enjeu national pour l'humanité – il n'y a jamais d'exagération chez Frédéric Dard et je me mets au diapason. Après les nuits de noces, le pluriel s'expliquant par le fait que le commissaire la passe avec Anastasia, l'amie et interprète de Natacha, et Béru avec la jeune mariée en lieu en place de son supérieur hiérarchique, tout ce beau monde s'envole pour l'URSS. Prévoir de se vêtir chaudement pour lire la suite, qui se déroule par grand froid dans un milieu hostile, désertique et blanc à perte de vue, où la végétation est surtout constituée de résineux du genre « Mordicus » – détail important outre son intérêt purement botanique. Un jeu de dupes complexe s'installe et les péripéties s'enchaînent dans une sorte de huis clos glaciaire, dans lequel seul Béru est capable de se retrouver en belle compagnie dans un « claque » en pleine immensité blanche. Un opus qui tient la route, sans atteindre des sommets par rapport à d'autres de la même période. Un San-Antonio qui démarre sur une hérésie. le commissaire convole en justes noces. L'heureuse élue étant nettement moins sexy que Berthe Bérurier – c'est dire –, il y a lieu de se poser de sérieuses questions. Lorsqu'on découvre que le maire de cérémonie est Pinaud en personne, il y a alors vraiment anguille sous roche. Tout s'explique évidemment par la raison d'état à laquelle San-Antonio est prêt à tous les sacrifices. Natacha, l'épousée, est la fille de Boris Bofstrogonoff, un savant russe dont les travaux représentent un enjeu national pour l'humanité – il n'y a jamais d'exagération chez Frédéric Dard et je me mets au diapason. Après les nuits de noces, le pluriel s'expliquant par le fait que le commissaire la passe avec Anastasia, l'amie et interprète de Natacha, et Béru avec la jeune mariée en lieu en place de son supérieur hiérarchique, tout ce beau monde s'envole pour l'URSS. Prévoir de se vêtir chaudement pour lire la suite, qui se déroule par grand froid dans un milieu hostile, désertique et blanc à perte de vue, où la végétation est surtout constituée de résineux du genre « Mordicus » – détail important outre son intérêt purement botanique. ...
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  • lecassin 14/03/2022
    Le « petit » San-Antonio mensuel, tiens… « En avant la moujik ». Dans mes souvenirs d'adolescent, ce titre correspond à un bon cru. Même si c'est cuit pour les groupies du commissaire… Pensez donc : d'entrée, nous voilà invités au mariage de San-Antonio ! Oui, les filles, notre célibataire endurci convole en justes noces. Avec qui ? Natacha Bofstrogonof. Vous connaissez ? Moi non plus. Il reste que Natacha n'est autre que la fille d'un éminent savant Russe, dont le collègue Français, le professeur Poreux de la Coiffe, vient de succomber à une crise cardiaque douteuse qui laisse penser que Bofstrogonof aurait bien engourdi les travaux du binôme sur une bactérie végétalo-foisonnante pour le compte de l'URSS… Ouf ! C'est dit ! San-Antonio marié… Quoique … A y regarder d'un peu plus près, même si Félicie, Mme Berthe Bérurier, Marie-Marie, Mathias, Béru lui-même, le témoin de cecoinsse, et Pinaud, le maire, on sent bien qu'il pourrait s'agir d'un mariage de raison (d'état). Après un laborieux « Faut-il vous l'envelopper ? » F. Dard nous propose en ces années soixante finissantes, un opus plus abouti : tous les ingrédients sont bien là, même si Béru semble un peu sur la retenue. Une intrigue un peu confuse qui ne manque pas de rebondissements, mais limitée au seuls San-A . et Béru. Dommage. Mais un bon cru, tout de même. Même si le « politiquement correct » actuel ne manquerait pas de souligner quelques dérapages sexistes, grossophobes, j'en passe.. . Alors que Frédéric Dard, précurseur des temps actuels nous sert : « Autrefois, comme on ignorait l'allergie, personne n'en souffrait. Maintenant tout un chacun et toute une chacune s'en paye à tour de bras. C'est beau comme du Macron… Ou de l'Antique, allez savoir… Au suivant de ces messieurs, si j'ose dire… « Ma langue au Chah » dont je n'ai que peu de souvenirs… Le « petit » San-Antonio mensuel, tiens… « En avant la moujik ». Dans mes souvenirs d'adolescent, ce titre correspond à un bon cru. Même si c'est cuit pour les groupies du commissaire… Pensez donc : d'entrée, nous voilà invités au mariage de San-Antonio ! Oui, les filles, notre célibataire endurci convole en justes noces. Avec qui ? Natacha Bofstrogonof. Vous connaissez ? Moi non plus. Il reste que Natacha n'est autre que la fille d'un éminent savant Russe, dont le collègue Français, le professeur Poreux de la Coiffe, vient de succomber à une crise cardiaque douteuse qui laisse penser que Bofstrogonof aurait bien engourdi les travaux du binôme sur une bactérie végétalo-foisonnante pour le compte de l'URSS… Ouf ! C'est dit ! San-Antonio marié… Quoique … A y regarder d'un peu plus près, même si Félicie, Mme Berthe Bérurier, Marie-Marie, Mathias, Béru lui-même, le témoin de cecoinsse, et Pinaud, le maire, on sent bien qu'il pourrait s'agir d'un mariage de raison (d'état). Après un laborieux « Faut-il vous l'envelopper ? » F. Dard nous propose en ces années soixante finissantes, un opus plus abouti : tous les ingrédients sont bien là, même si Béru semble un peu sur la retenue. Une intrigue...
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  • Newwavebac 09/09/2021
    C’est le premier San Antonio que je lis. Et je ne suis pas déçu; la verve est là, les trouvailles sémantiques, les jeux de mot, le tout dans une histoire qui se tient. Ce livre est remarquable. Évidemment, il fatigue beaucoup car il faut au maximum de sa vigilance pour suivre les pérégrinations du Commissaire et de Bérurier. Et je pense que cela doit être toujours un peu la même chose…mais là, je m’avance, il faudra que j’en lise un autre pour le savoir…pas tout de suite quand même !
  • TmbM 29/04/2021
    Menacés de toutes parts et seuls contre tous, le commissaire et son subalterne vont parcourir du pays à la poursuite du physicien. C'est l'occasion d'assister à une scène hautement régressive dans les toilettes d'un avion... un véritable son et odeur et lumière scatologique... des onomatopées comme s'il en pleuvait... des points d'exclamation comme s'ils étaient gratuits... L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
  • RChris 11/03/2020
    Je n'avais pas lu un bon vieux San A depuis longtemps. Celui-ci date de 1969, le soixante douzième de la série avec sa couverture à l'ancienne dessinée par Michel Gourdon, le frère d'Aslan. Très vite, j'ai ri en retrouvant les descriptions de Frédéric Dard qui ne seraient plus politiquement correctes aujourd’hui. Je ne vous narrerai pas celle sur sa femme car je serais attaqué pour grossophobie ou alors en l'équilibrant avec une plus soft! Plonger dans le style plutôt que dans l'histoire fut jubilatoire.
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