Entre la vie et la morgue

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• lehibook 28/10/2023

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  San-A file le train ( dans un train) à une charmante houri, le train-train quoi …mais c’est en service commandé car elle est soupçonné de noires activités .Or voilà que la susdite s’éjecte du train et se fait transformer en hachis … Du coup , le Vieux passe un savon au Commissaire fileur qui a déraillé et voilà celui-ci embarqué avec ses acolytes habituels sur des rails semés d’embuches à la poursuite d’une mystérieuse organisation anti-américaine . Originalité , il est question de terrorisme mais le récit est assez poussif plus tortillard que TGV .
• AlexandreAllamanche 28/05/2023

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  Un petit San-Antonio pour la route, avec une intrigue une nouvelle fois échevelée dont on se demande bien par quel bout notre cher commissaire va pouvoir la démêler. La jeune femme qu'il doit surveiller meurt sous son nez, manifestement jetée du wagon lancé plein fer... Le Vieux, nom du boss de S-A, charge son meilleur élément de rectifier le tir, et c'est évidemment avec Pinuche et Béru' que Tonio va tenter de rassembler le peu de morceaux à sa disposition. Dans la parfaite lignée de la saga de Frédéric Dard.
• MrVladdy 19/05/2023

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  Dès les premières pages, j’ai eu un peu de mal avec « Entre la vie et la morgue ». Pourtant Frédéric Dard utilise la recette habituelle mais son introduction à ce récit ne m’a pas convaincu. J’étais sceptique et j’avais peur de ne pas accrocher à cette enquête mais très vite, j’ai retrouvé la route et j’ai pris du plaisir à lire cette nouvelle aventure. Passé cette scène d’ouverture, je me suis nettement plus amusé par la suite. C’est assez plaisant de voir notre ami San Antonio dépassé par les événements et même si on a l’habitude qu’ils soient des faire valoir, j’ai apprécié que cette fois-ci, Béru et Pinaud aient plus d’importance. Pour ce dernier, on peut même dire que ça avance grandement grâce à lui et si on a de la tendresse pour nos pieds nickelés, j’ai aimé le fait que San Antonio admette leurs importances et son attachement à ses comparses. Pour le reste, rien de bien nouveau. De nombreuses facilités, de la légèreté et de grosses ficelles pour nous vendre une histoire qui m’a fait rire et divertit. Concernant le final, il est une nouvelle fois tiré par les cheveux mais il s’intègre bien au texte. Maintenant, je dois être habitué au style (normal après 36 enquêtes) car je n’ai pas été surpris. Je m’attendais même à ce genre de fin. Ca n’a gâché en rien mon plaisir c’est le principal. « Entre la vie et la morgue » se lit facilement le temps d’une soirée. C’est loin d’être l’enquête la plus mauvaise et malgré son départ, je pense même qu’elle fait parti de ceux qui m’ont le plus plu à ce jour.Dès les premières pages, j’ai eu un peu de mal avec « Entre la vie et la morgue ». Pourtant Frédéric Dard utilise la recette habituelle mais son introduction à ce récit ne m’a pas convaincu. J’étais sceptique et j’avais peur de ne pas accrocher à cette enquête mais très vite, j’ai retrouvé la route et j’ai pris du plaisir à lire cette nouvelle aventure. Passé cette scène d’ouverture, je me suis nettement plus amusé par la suite. C’est assez plaisant de voir notre ami San Antonio dépassé par les événements et même si on a l’habitude qu’ils soient des faire valoir, j’ai apprécié que cette fois-ci, Béru et Pinaud aient plus d’importance. Pour ce dernier, on peut même dire que ça avance grandement grâce à lui et si on a de la tendresse pour nos pieds nickelés, j’ai aimé le fait que San Antonio admette leurs importances et son attachement à ses comparses. Pour le reste, rien de bien nouveau. De nombreuses facilités, de la légèreté et de grosses ficelles pour nous vendre une histoire qui m’a fait rire et divertit. Concernant le final, il est une nouvelle fois tiré par les cheveux mais il s’intègre bien au texte. Maintenant, je dois être...

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• mikaelunvoas 04/12/2022

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  Un San Antonio avec un ton un peu plus sérieux que les autres. Une enquête liée au terrorisme assez difficile se profile et elle commence par un voyage en train et la description de la gare de Montparnasse et des wagons cabines. Le reste de l'aventure se déroule en région parisienne et à Rambouillet. Béru devient progressivement le bras droit du commissaire. Les acolytes tombent sur une affaire peu ordinaire qui s'en prend aux intérêts américains et le boss leur met la pression. Ils obtiennent carte blanche et usent parfois de méthodes peu orthodoxes mais efficaces....
• DrOdR 20/07/2019

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  Un Sana parmi d'autres Une histoire un peu plus tordue qu'à l'habitude dont on retient surtout effectivement les codes habituels de San Antonio. Pas de scène d'anthologie à rire aux éclats ( la partie de dames dans "Vas-y Béru" par exemple), mais les apparitions de Béru ou de Pinaud déclenchent souvent un sourire. Le style reste bien sûr inimitable, mais je ne peux pas être objectif puisque je place F Dard très haut dans la galaxie des écrivains ( ...mouais, moi je n'y suis pas en tous cas...).