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John meurt à la fin
Charles Bonnot (traduit par)
Date de parution : 16/10/2014
Éditeurs :
Super 8

John meurt à la fin

Charles Bonnot (traduit par)
Date de parution : 16/10/2014
Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.
 
Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.

Sans doute, il existe des gens qui ont déjà fait des...
Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.

Sans doute, il existe des gens qui ont déjà fait des trucs plus tarés qu’essayer de résumer ce bouquin. Le souci, c’est que personne ne sait ce qu’ils sont devenus.
Ça commence...
Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.

Sans doute, il existe des gens qui ont déjà fait des trucs plus tarés qu’essayer de résumer ce bouquin. Le souci, c’est que personne ne sait ce qu’ils sont devenus.
Ça commence avec deux potes, John et Dave, deux losers fans de ciné travaillant plus ou moins dans un club vidéo. À un concert, John rencontre un type passablement déglingué, le « Jamaïcain », qui lui fait essayer une nouvelle drogue. Les effets sont radicaux. En plein « bad trip », John hallucine sévèrement. Peu rassuré, Dave le conduit à l’hôpital. À la suite de quoi la police leur fait subir un interrogatoire en règle. Il semblerait en effet que tous ceux qui ont pris ce soir-là la drogue du Jamaïcain soient morts ou se soient évaporés. Ensuite, autant vous prévenir : ça devient vraiment chelou. Un téléphone-hot-dog, une balle qui aurait dû tuer mais ne tue pas, une conférence apocalyptique sur le paranormal à Las Vegas, une télé qui vous regarde et tout un tas de rencontres que l’on aimerait qualifier autrement que de « non euclidiennes »…
« Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi. »

OK, vous voulez savoir ce que serait Le Livre sans nom si Hunter S. Thompson l’avait cauchemardé dans la baignoire d’une chambre d’hôtel ? À quoi ressemblerait un roman écrit par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez si ces malheureux se servaient de l’humour comme un épileptique d’une mitraillette et se défonçaient à l’acide en pensant gober des smarties ? Vous avez envie de crever de rire en essayant de tourner les pages et de devenir un genre de zombie livrophage ? Bienvenue dans le monde de John : le mec qui risque fort de mourir à la fin.
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EAN : 9782370560070
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782370560070
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Gabylarvaire 27/01/2023
    Je viens de relire John meurt à la fin dans le but de faire une critique parce que j'adore ce roman. ... ... ... (Les petits points témoignent du vide intersidéral qui règne dans mon cerveau après la lecture de ce roman ). Voilà : Si un jour, vous croisez dans un bar, un faux Jamaïcain magicien, qui devine vos rêves, qui porte un béret coloré et qui vous propose de la sauce Soja, il faut refuser et partir. Et si vous êtes curieux de savoir pourquoi, vous pouvez lire ce livre... Mais si vous êtes sain d'esprit vous n'aimerez pas la réponse.
  • Ben1984 28/02/2022
    Un truc de fou que cette histoire. Du non sens avec beaucoup de sens, du n’importe quoi qui tient la route. À côté, « Las Vegas Parano » c’est de la roupille de sansonnet. Ce texte aurait pu être le résultat d’une soirée arrosée entre les Monty Pythons, Sam Raimi et William Burroughs. Un seul conseil: à lire! Et après, continuer en regardant la fabuleuse adaptation cinématographique de Don Coscarelli.
  • Sonore 29/12/2021
    Je ne conseillerais pas ce livre à des gens qui veulent commencer à lire ou même à ceux qui veulent arrêter. Si un jour vous rencontrez un Jamaïcain à dread qui vous propose de la SAUCE SOJA, n'en prenez pas, surtout refusez, cela pourrait changer votre vision du monde à tout jamais. Si vous en avez déjà pris alors vous savez que ce livre est vraiment Barré et qu'il vous faudra beaucoup de SAUCE pour aller jusqu'à la fin du livre. J'ai passé des supers moments ainsi que de très mauvais moments de lectures. Quand c'est bon, c'est très bon, c'est drôle et je me suis marré plusieurs fois sans forcer, c'est aussi bien écrit et c'est bourré de métaphores qui font marrer ou sourire. L' histoire peut être vraiment prenante par moment. Ou d'autres fois je me suis totalement perdue dans ses délires (dédicace au monstre à perruque avec ses petites mains d'enfants et son bec d'oiseau avec des dents acérées ( ladescriptiondumonstren'estpasterminécarilyatropd'éléments)) Vas y prend un peu de sauce, ça ira mieux. Certaines scènes ou monstre sont vraiment difficile à imaginer, on peut se perdre dans des descriptions totalement loufoque ou trop riche. Pour moi cet aspect n'est pas vraiment maîtrisée et je me suis demandé si j'allais terminer ce livre. Et pourtant, le chapitre d'après je prenais mon pied. J'ai cru comprendre qu'il avait écrit son livre tout seul et qu'il l'avais mis en ligne sur Internet et seulement après repéré par une maison d'édition. Ce qui explique sûrement cette inconstance. Ça a même été repris en film apparemment. Malgré tout ça, j'ai quand même décidé de reprendre un peu de sauce soja et de lire le tome 2 (peut-être que je suis accro finalement) Je n'en suis qu'au début mais on sent que son travail est beaucoup mieux maîtrisée, que des personnes relisent ces textes et qu'il y a une équipe derrière. Pour l'instant j'adore. Enfin bref à vos risques et périls. Je ne conseillerais pas ce livre à des gens qui veulent commencer à lire ou même à ceux qui veulent arrêter. Si un jour vous rencontrez un Jamaïcain à dread qui vous propose de la SAUCE SOJA, n'en prenez pas, surtout refusez, cela pourrait changer votre vision du monde à tout jamais. Si vous en avez déjà pris alors vous savez que ce livre est vraiment Barré et qu'il vous faudra beaucoup de SAUCE pour aller jusqu'à la fin du livre. J'ai passé des supers moments ainsi que de très mauvais moments de lectures. Quand c'est bon, c'est très bon, c'est drôle et je me suis marré plusieurs fois sans forcer, c'est aussi bien écrit et c'est bourré de métaphores qui font marrer ou sourire. L' histoire peut être vraiment prenante par moment. Ou d'autres fois je me suis totalement perdue dans ses délires (dédicace au monstre à perruque avec ses petites mains d'enfants et son bec d'oiseau avec des dents acérées ( ladescriptiondumonstren'estpasterminécarilyatropd'éléments)) Vas y prend un peu de sauce, ça ira mieux. Certaines scènes ou monstre sont vraiment difficile à imaginer, on peut se perdre dans des descriptions totalement loufoque ou trop riche. Pour moi cet aspect n'est pas vraiment maîtrisée et je me suis demandé...
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  • Bobby_The_Rasta_Lama 08/09/2018
    "We're all mad here..." ...disait le Cheshire Cat dans "Alice au pays des merveilles" avec un sourire carnassier. Pauvre minou, va ! Tu n'as encore rien vu ! Je suis tombée sur le livre de Wong tout à fait par hasard dans une librairie d'occase; et rien qu'en lisant la devinette noire du début, qui commence par "Disons que vous avez une hache...", je savais que je vais repartir avec. Attention, c'est spécial ! C'est un peu comme si Graham Masterton était possédé par l'esprit de William Burroughs, en nous resservant une sorte de "Nova Express" à la "sauce monstre". Soit on accepte les règles du jeu dès le début, et on s'amuse royalement, soit on referme le livre au bout de quelques pages. Vous-est-t-il déjà arrivé que, la nuit, vous passez à côté d'un miroir, et le visage que vous y apercevez n'est pas le vôtre ? Que vous voyez une ombre bizarre qui ressemble à un monstre ou une créature dangereuse ? Il suffit alors d'allumer la lumière, et tout redevient normal. Pour vous... ... mais pas pour John et Dave. Mais est-ce que ce sont vraiment John et Dave, ou d'abord - John, qui doit "mourir à la fin", n'est-il pas déjà mort au début ? Et Dave ? A force de les voir tourner entre les dimensions comme sur un manège cassé qu'on ne maîtrise plus, difficile à dire ! Tout commence par une rencontre avec Robert Marley, un Jamaïcain contorsionniste en lévitation, amateur de "sauce soja" qui ouvre les portes des dimensions parallèles. Vous savez bien qu'il y a des portes qu'il vaut mieux de ne pas ouvrir - il peut être trop tard pour les refermer... Et cela peut libérer un sacré paquet de monstres : des scorpions à perruque, des méduses au plafond, des gorilles qui chevauchent les crabes géants... et Korrok, bien sûr ! Car c'est le chef. Vous avez l'impression de vous retrouver dans un monde surréaliste de Dali ou de Jérôme Bosch. Et l'idée que la survie de l'humanité est entre les mains de deux loosers, fans de films B et de jeux vidéo (qui jouent aux ghostbusters en utilisant la Bible collée au scotch sur une batte de base-ball, les vieux standards de rock des années 80, et les lance-flammes fabriqués avec les pistolets à eau) fait positivement flipper. Chez Burroughs, parfois le drogué s'exprime comme s'il était déjà mort, tout en sachant qu'il est encore vivant - le souci de John et Dave, c'est qu'ils ne le savent pas : - Dave ? C'est John. - Est-ce que t'es... (vivant) ... dans une ambulance, ou quelque chose ? - Oui et non. T'es toujours au commissariat ? - Ouais. On était tous deux... - Est-ce que je suis déjà mort ? C'est une bonne parodie des films et des livres d'horreur, pleine d'humour absolument décalé; un grand "n'importe quoi" assez intelligemment écrit. Mais il faut peut-être doser la lecture, car maintenant on sait que toute overdose peut être dangereuse. En tout cas, si désormais je reçois un coup de fil par un biais d'un hot-dog ou d'un chien poilu qui sait conduire, je serai moins déstabilisée... A lire à vos risques et périls ! "We're all mad here..." ...disait le Cheshire Cat dans "Alice au pays des merveilles" avec un sourire carnassier. Pauvre minou, va ! Tu n'as encore rien vu ! Je suis tombée sur le livre de Wong tout à fait par hasard dans une librairie d'occase; et rien qu'en lisant la devinette noire du début, qui commence par "Disons que vous avez une hache...", je savais que je vais repartir avec. Attention, c'est spécial ! C'est un peu comme si Graham Masterton était possédé par l'esprit de William Burroughs, en nous resservant une sorte de "Nova Express" à la "sauce monstre". Soit on accepte les règles du jeu dès le début, et on s'amuse royalement, soit on referme le livre au bout de quelques pages. Vous-est-t-il déjà arrivé que, la nuit, vous passez à côté d'un miroir, et le visage que vous y apercevez n'est pas le vôtre ? Que vous voyez une ombre bizarre qui ressemble à un monstre ou une créature dangereuse ? Il suffit alors d'allumer la lumière, et tout redevient normal. Pour vous... ... mais pas pour John et Dave. Mais est-ce que ce sont vraiment John et Dave, ou d'abord - John, qui doit "mourir à la...
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  • Davpunk 08/04/2018
    Je vous avais déjà parlé du film John dies at the end. mais avant d'ne être un, c'était un roman. Ce roman. Et il est particulièrement réussit ! John et Dave sont deux types quelconques, qu'on ne remarque pas vraiment. L'un chante dans un groupe, l'autre fait à peine partie de la mise en scéne d'intro du groupe. Rien de grandiose. Un jour, John part avec Robert, un jamaïcain, et d'autres amis faire la fête. mais aprés avoir goûté à une drogue, la "sauce soja", ils disparaissent. Sauf John, qui semble être le seul en vie. Bon, là je vous ai vaguement résumé les bases de cette histoire qui démarre d'emblée sur un affrontement avec und émon fait de... viande et de charcuterie ! Ce qui met d'emblée dans le ton de ce roman qui enchaine avec un coup de fil à travers le temps par le biais d'une saucisse et d'autres événements assez improbable. Tout cela pour nous transporter, par le point de vue de Dave (de son nom complet David Wong... l'auteur donc !) à travers les dimensions et le temps. Narré avec beaucoup d'humour, de fausses vérités assumés (le point de vue choisit expliquant les approximations) et pas mal de référence à l'univers de Lovecraft, John meurt à la fin est passionnant malgré quelques longueurs, notamment en fin de parcours. mais on s'attache aux personnages, que ce soit John, Dave, Amy ou encore Molly. Oui, même le chien Molly ! Et on a hâte de les retrouver dans de nouvelles aventures. En espérant un même nivreau de folie !Je vous avais déjà parlé du film John dies at the end. mais avant d'ne être un, c'était un roman. Ce roman. Et il est particulièrement réussit ! John et Dave sont deux types quelconques, qu'on ne remarque pas vraiment. L'un chante dans un groupe, l'autre fait à peine partie de la mise en scéne d'intro du groupe. Rien de grandiose. Un jour, John part avec Robert, un jamaïcain, et d'autres amis faire la fête. mais aprés avoir goûté à une drogue, la "sauce soja", ils disparaissent. Sauf John, qui semble être le seul en vie. Bon, là je vous ai vaguement résumé les bases de cette histoire qui démarre d'emblée sur un affrontement avec und émon fait de... viande et de charcuterie ! Ce qui met d'emblée dans le ton de ce roman qui enchaine avec un coup de fil à travers le temps par le biais d'une saucisse et d'autres événements assez improbable. Tout cela pour nous transporter, par le point de vue de Dave (de son nom complet David Wong... l'auteur donc !) à travers les dimensions et le temps. Narré avec beaucoup d'humour, de fausses vérités assumés (le point de vue choisit expliquant les approximations) et pas mal...
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