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Les enquêtes du commissaire Léon 2
La Nuit des coquelicots
Date de parution : 20/06/2013
Éditeurs :
Belfond

Les enquêtes du commissaire Léon 2

La Nuit des coquelicots

Date de parution : 20/06/2013

Redécouvrez une histoire du commissaire Léon, le flic qui tricote en cachette depuis qu’il a arrêté de fumer, qui confectionne des paletots ringards pour son chien Babelutte, qui a son QG au Colibri, un bistrot de Montmartre, et qui vit chez sa mère Ginette, adepte des concours en tous genres. Du Nadine Monfils dans toute sa splendeur !

Drôle de flic que le commissaire Léon ! Belge, il vit à Montmartre avec maman, a son QG au bistrot du coin, et depuis qu’il a arrêté de fumer il...

Drôle de flic que le commissaire Léon ! Belge, il vit à Montmartre avec maman, a son QG au bistrot du coin, et depuis qu’il a arrêté de fumer il tricote des paletots ringards pour son chien Babelutte… Mais il mène ses enquêtes tambour battant, entouré de personnages hauts en...

Drôle de flic que le commissaire Léon ! Belge, il vit à Montmartre avec maman, a son QG au bistrot du coin, et depuis qu’il a arrêté de fumer il tricote des paletots ringards pour son chien Babelutte… Mais il mène ses enquêtes tambour battant, entouré de personnages hauts en couleur. Au menu, des aventures loufoques et grinçantes, pimentées d’humour noir. Pas étonnant que Frédéric Dard ait parrainé la série lors de sa première parution…

La nuit des coquelicots démarre sur les chapeaux de roue… Après une grosse fête, trois amies rentrent en voiture. Un moment de distraction, et elles renversent une petite fille qui traversait la route, un bouquet de coquelicots à la main. Panique à bord ! La vie de ces trois femmes va basculer. Heureusement, entre deux mailles de tricot, Léon va dénouer les fils de cette diabolique histoire de vengeance…

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EAN : 9782714456328
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714456328
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lyoko 14/10/2022
    J'ai moins apprécié l'histoire de ce tome 2, sans doute parce qu'il est un un peu plus glauque. Néanmoins l'écriture de Nadine Monfils est un régal. J'adore sa plume, son humour et son côté déjanté. Les personnages sont incroyables, loufoques à souhait, Et puis tous les petits à côté : le chien, et sa nouvelle relation avec le chien du voisin c'est déjà tout un univers a l'intérieur du roman . C'est le style de roman qui se lit bien, avec sa touche d'humour. Il faut quand même que je sois honnête je préfère la série des Magritte a celle-ci, mais rien ne m'empêchera de suivre la suite des aventures de ce commissaire qui tricote.
  • Sharon 19/10/2019
    Sanglant, saignant, et rappelons-nous : les coquelicots sont les premières fleurs à repousser sur un champ de Bataille. Ici, au départ, il n’y avait pas de bataille, non, seulement trois amies qui revenaient d’une soirée entre filles, soirée trop arrosée. Elles ont renversé une petite fille. Elles n’ont pas prévenu les secours, non, elles ont prévenu la police, plus tard, parce qu’elles sont de bonnes personnes, des personnes qui avaient peur de voir leur vie détruite par cette accident, des personnes qui n’ont pas pensé, qui ne pensent toujours pas à la douleur de la famille de cette petite fille. Des mois ont passé, chacun réagit à sa manière. Le mari de Maura n’est plus qu’indifférence envers sa femme, il utilise les services d’une prostituée, qu’il paie pour pouvoir l’humilier et coucher avec elle, Catherine vit une relation torride et violente avec un homme qui n’en a strictement rien à faire d’elle, pas même qu’elle soit la fille du maire de Neuilly, un copain de régiment du commissaire Léon. Héléna, la troisième personne présente dans la voiture, vit entre sa mère et sa fille, mère qui a élevé sa fille plus qu’elle-même. Et la famille de la victime ? La mère est internée en hôpital psychiatrique, elle est persuadée que sa fille va revenir, un bouquet de coquelicots à la main, et le lecteur de se dire que c’est peut-être mieux ainsi pour elle. Le père est parti, retourné dans son pays, ne supportant plus de porter cette famille à lui tout seul. La fille aînée, Lara (oui, comme dans le docteur Jivago) vit chez Jacob, son grand-père, résigné, ayant déjà presque quitté ce monde tant il se réfère à Dieu. De l’autre côté, nous avons le sympathique petit monde du commissaire Léon, avec Irma, l’inénarrable travelo ménagère, Nina Tchitchi, surnommée « Charlotte aux fraises » par Babelutte, le seul chien policier gay, qui doit subir les caprices vestimentaires tricotés de son maître. Un univers drôle, lumineux, qui se trouve pourtant confronté à l’horreur. Oui, les agressions, les crimes, tous plus sanglants les uns que les autres, vont se succéder autour de ses trois femmes, qui avaient pourtant juré de ne plus se revoir, de ne plus se parler, après l’accident, qu’elles ont tout fait pour occulter. Ce ne sont pas des coquelicots qui seront répandus, mais des mares de sang, dans un objectif qui se dessine lentement : les faire souffrir le plus possible. Tant pis pour les victimes. Ce deuxième volume des aventures du commissaire Léon est très sombre, très violent, et nous questionne en même temps, notamment sur les relations parents/enfants. Prenons Héléna, par exemple : elle n’apprécie pas que sa mère ait été très amis avec des jeunes gens très très gays, qui l’adoraient, et pourtant Clara, par son ouverture d’esprit, ses goûts littéraires, en ressort bien plus lumineuse que sa fille. Héléna admet aussi ressentir nettement moins d’amour pour sa fille Carole que quand celle-ci était bébé – parce qu’elle était bébé, justement, et parce qu’un bébé, on en fait ce qu’on veut. Un garçon aurait été tellement mieux. Ce ne sont pas des zones d’ombre, ces fameuses zones d’ombre dont certains critiques font leur chou gras, non, ce sont littéralement des abîmes, des pulsions inavouables, qu’ils cherchent pourtant à satisfaire. Oui, nous basculons dans un univers bien glauque, et au milieu, seule Lily, la petite fille aux coquelicots, et Loulou, le fils de Maura, sont des innocents victimes de jeux d’adultes.Sanglant, saignant, et rappelons-nous : les coquelicots sont les premières fleurs à repousser sur un champ de Bataille. Ici, au départ, il n’y avait pas de bataille, non, seulement trois amies qui revenaient d’une soirée entre filles, soirée trop arrosée. Elles ont renversé une petite fille. Elles n’ont pas prévenu les secours, non, elles ont prévenu la police, plus tard, parce qu’elles sont de bonnes personnes, des personnes qui avaient peur de voir leur vie détruite par cette accident, des personnes qui n’ont pas pensé, qui ne pensent toujours pas à la douleur de la famille de cette petite fille. Des mois ont passé, chacun réagit à sa manière. Le mari de Maura n’est plus qu’indifférence envers sa femme, il utilise les services d’une prostituée, qu’il paie pour pouvoir l’humilier et coucher avec elle, Catherine vit une relation torride et violente avec un homme qui n’en a strictement rien à faire d’elle, pas même qu’elle soit la fille du maire de Neuilly, un copain de régiment du commissaire Léon. Héléna, la troisième personne présente dans la voiture, vit entre sa mère et sa fille, mère qui a élevé sa fille plus qu’elle-même. Et la famille de la victime ? La mère est internée...
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  • CarolinaBouquine 07/05/2019
    La nuit des coquelicots est un roman où l’humour, certes toujours présent, est mis de côté afin de faire la lumière sur les meurtres ainsi que l’enquête policière. C’est donc un tome moins drôle et plus trash mais il reste, pour moi, tout aussi efficace. La plume de l’auteure est également beaucoup plus crue dans ce tome-ci, donc âmes sensibles s’abstenir ! J’ai personnellement préféré ce deuxième tome. Je vous conseille cette saga si vous souhaitez sortir du polar traditionnel. C’est drôle, addictif, attrayant et gore à la fois. Moi, en tout cas, Nadine Monfils ne cessera pas de m’étonner et j’ai hâte de me plonger dans le troisième tome.
  • Radadoune 14/02/2018
    Bien sympa le style de Nadine. On à l'impression de lire du San A. Elle écrit comme un homme, c'est assez drôle, les personnages collent au style: le commissaire Léon qui tricote et vit encore avec sa mère et son chien qui s'adonne aux joies de l'homosexualité canine. Malgré l'humour, l'histoire est bien menée. Un bon moment à passer. Je ne connais pas encore bien cette auteure. Mais je vais me lancer dans ses autres romans. C'est chouette, elle en a écrit plein !!
  • Fabh64 24/12/2017
    Un livre franchement "gore et sexe" qui me ferait presque peur, pour une fois, d'entendre qu'il sort en film ! Peut-être, que je me suis trop plongée dedans, mais cette narration m'a bouleversée. Bonne ou mauvaise chose => si j'arrive à m'immerger autant dans un livre, c'est qu'il en vaut le coup, conformément à son écriture, tant pis pour le côté machiavélique, il suffit de s'accrocher ! [masquer]Trois femmes revenant d'une soirée renversent accidentellement une petite fille qui rapportait des coquelicots à sa mère. de communs accords, elles se jurent de ne rien dévoiler et consciemment font un délit de fuite. Comme suite à la mort de sa fillette, la maman est internée... et ne pense plus qu'à une chose : se venger ![/masquer] A lire les critiques précédentes, je regrette n'avoir pas pris la peine de chercher le premier volet ... tant pis j'en ferais l'impasse. Bref : j'ai adoré ... même avec les passages écoeurants ;-)
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