Moi, vous me connaissez ?

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• TmbM 24/04/2023

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  En ce qui concerne l'intrigue, il n'y a pas matière à s'éterniser. Elle est classique. En revanche, il y a quelques éléments intéressants à noter, en particulier le fait qu'apparaisse pour la première fois le personnage d'Antoine, bientôt fils adoptif de San-Antonio. En effet, au terme d'une nuit agitée et parsemée de macchabées, nos héros découvrent un bébé, fraîchement orphelin. Le roman se termine d'ailleurs sur l'image du commissaire tendant à Félicie, sa mère, "un chouette blondinet, rose et dodu, avec des fossettes partout" en guise de cadeau d'anniversaire. Entretemps, il place des figures de style à gogo et des notes de bas de page en pagaille, il commente à sa sauce une incroyable bagarre générale et arpente les rues de Paris le nourrisson sous le bras, il écluse les bars de nuit, malmène quelques malfrats et partage sa stupéfaction face à une Berthe décidément incroyable, ici dans l'un de ses rôles les plus mémorables. Touchez mon blog, Monseigneur...
• Tans78 23/01/2023

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  Un cadavre est retrouvé sur le toit d’un appartement par une jeune femme qui s’arrange pour le montrer à San-Antonio. Suit une enquête avec de nombreux cadavres. L’originalité de cette enquête est d’être menée avec Berthe! Ce qui provoque des situations très drôles et des dialogues pittoresques. Un très bon San-Antonio de la meilleure époque (écrit en 1971). A noter la première apparition de Toinet, bébé dont les parents sont tués et qui deviendra le fils adoptif de San-Antonio.
• lecassin 30/10/2022

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  " Lui, vous le connaissez ? ". Il aura suffi d'une rencontre inopinée dans les couloirs de la maison pébroque, Rebecca pour ne pas la nommer, pour que la soirée de notre commissaire préféré commence au restau, se poursuive chez elle et finisse avec un macchabée sur le toit. Je sais, c'est pas pire qu'un boeuf, mais c'est emmerdant quand même ; d'autant qu'il cocotte sévère cecoince. Vladimir Kelloustik qu'y s'appelle... On appelle Béru en renfort, et Pinaud. C'est la fête ! Sauf que leur contribution à l'enquête va s'arrêter sur la scène de crime. Nous aurons Mme Pinaud et BB comme enquêtrices auxiliaires... Je vous vois d'ici, les copains : non pas celle de la Madrague, l'autre, la pétillante, la plantureuse, la délicieuse, la merveilleuse, la langoureuse, la pulpeuse... J'ai nommé Berthe Bérurier, alias BB. The initials, the initials BB... Elle se révélera une aide de premier choix : sens de l'observation, sens de la déduction, sens unique, sens gêner. Une première dans la série. Que dire de plus, si ce n'est que l'opus est plutôt moyen dans ce qui me plait d'habitude dans la série : tout y est ou presque, a minima, jusqu'à l'intrigue pas terrible ; rien compris (mais ça, on a l'habitude, pas grave...) et la fin bâclée. Ah, si : arrivée d'Antoine Jr qui deviendra plus tard Toinet, le fils adoptif du commissaire ; ou de Félicie, comme vous voudrez... nota : depuis le précédent volume, illustré en couverture par Jacono, celui-ci et les trois suivants le seront par Carl Brenders. Fini, Bourdon ! Quel dommage ! et la photo arrive bientôt..." Lui, vous le connaissez ? ". Il aura suffi d'une rencontre inopinée dans les couloirs de la maison pébroque, Rebecca pour ne pas la nommer, pour que la soirée de notre commissaire préféré commence au restau, se poursuive chez elle et finisse avec un macchabée sur le toit. Je sais, c'est pas pire qu'un boeuf, mais c'est emmerdant quand même ; d'autant qu'il cocotte sévère cecoince. Vladimir Kelloustik qu'y s'appelle... On appelle Béru en renfort, et Pinaud. C'est la fête ! Sauf que leur contribution à l'enquête va s'arrêter sur la scène de crime. Nous aurons Mme Pinaud et BB comme enquêtrices auxiliaires... Je vous vois d'ici, les copains : non pas celle de la Madrague, l'autre, la pétillante, la plantureuse, la délicieuse, la merveilleuse, la langoureuse, la pulpeuse... J'ai nommé Berthe Bérurier, alias BB. The initials, the initials BB... Elle se révélera une aide de premier choix : sens de l'observation, sens de la déduction, sens unique, sens gêner. Une première dans la série. Que dire de plus, si ce n'est que l'opus est plutôt moyen dans ce qui me plait d'habitude dans la série : tout y est ou presque, a minima, jusqu'à l'intrigue pas terrible ; rien compris (mais...

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• Beathi 10/09/2015

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  76ème roman de San-Antonio publié le 14/05/1971. L'histoire se déroule à Paris et Saint-Franc-la-Père pendant le printemps 1971. Histoire : San-Antonio raccompagne une jeune fille chez elle en espérant passer une bonne soirée. Mais il va vite déchanter. Exceptionnellement, San-Antonio est aidé de mesdames Pinaud et Bérurier dans cette enquête officieuse qui va se révéler être une double enquête. Le roman se déroule sur une nuit donc les événements s’enchaînent très vite. Ce n’est pas un grand San-Antonio : l’intrigue est un peu tirée par les cheveux, Berthe Bérurier a le même comportement que son mari. Dans ce roman apparait pour la première fois un personnage (encore bébé) qui se nomme Antoine.
• Belem 19/05/2013

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  Dans ce bouquin, Frédéric Dard met en scène une intrigue multiple. En plus, un duo de choc constitué du « vieux débris » (l'inspecteur Pinaud) et de Berthe Bérurier, (qui a mis son mari hors-service), va aider San-Antonio à mener son enquête..., et avec quel brio ! Cela donne quelques scènes épiques, et des dialogues bien savoureux. Ce numéro 76 fait parti de mes San-Antonio à relire, car j'ai eu l'impression de rater quelques éléments posés ça et là dans le bouquin. En effet, on découvre à la fin le rôle joué par Rebecca, dont il faut avoir conscience pour apprécier pleinement certains passages, il me semble. Mais je n'en dis pas plus, houlala... Un des meilleurs San-Antonio à mon avis !