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San-Antonio met le paquet
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

San-Antonio met le paquet

Date de parution : 28/10/2010

C'est par un petit événement en marge de nos activités professionnelles que démarre cette fois-ci l'aventure. Une aventure vraiment extraordinaire, vous pourrez en juger par la suite si vous avez la patience de poursuivre.

Une aventure comme, à dire vrai, il ne m'en était encore jamais arrivé...

EAN : 9782265091405
Code sériel : 35
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091405
Code sériel : 35
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lehibook 27/10/2023
    Gagner le gros lot n’est pas toujours de tout repos et Pinaud lorsqu’il aménage dans la crèche de ses rêves gagnée à un concours s’en aperçoit illico quand le sous -sol de son jardin se met à ressembler à celui de Verdun ,il regorge de macchabs (bon j’exagère mais deux ce n’est pas si mal) ! Du coup San-A s’embarque dans une enquête assez tordue (malgré une fièvre de cheval) . A remarquer la structure très réaliste de la susdite enquête ,on se croirait dans un vrai polar…Par contre la résolution laisse à désirer à mon goût .
  • alberthenri 11/10/2023
    L'inspecteur principal Pinaud, dit Pinuche gagne une maison dans un concours -il a trouvé un slogan pour une marque de nouilles-. Si c'est pas du bol ça ! Ou pas, car quand Béru, le jour de la pendaison de crémaillère veut planter un sapin dans le jardin de ladite maison, on déterre un squelette... Début d'une enquête, assez classique et cohérente, ce qui est loin d'être toujours le cas dans cette série. C'est bien un peu le problème de cet opus, trop pépère, on croirait lire un Maigret sans la profondeur psychologique des personnages... Ce n'est pas vraiment ce qu'on attend d'un San-Antonio, mais avec ce roman Dard affine la mise en place de ses personnages, Mathias le laborantin par exemple a un rôle un peu plus important, il deviendra un protagoniste vedette dans certains épisodes... Donc, un roman un peu faiblard mais qui annonce la bonne période de la série... PS : Ce livre est dédié par Frédéric Dard à Jean Redon, l'auteur des "Les yeux sans visages", qui est bien un "vrai auteur" et pas un pseudonyme de Dard comme on l'a souvent dit.
  • KiriHara 04/10/2023
    Je poursuis ma lecture de l’œuvre Sanantonienne de Frédéric Dard que j’ai entamée dans l’ordre, depuis le tout premier, pour arriver, après un très long temps d’abstinence à ce 35e épisode : « San-Antonio met le paquet », initialement paru en 1959. Je ne vous ferai pas l’injure de vous présenter San-Antonio, et encore moins son auteur, Frédéric Dard, alors, passons directement à la critique. Pinaud, le subalterne et ami du commissaire San-Antonio, a gagné une maison suite à un concours passé dans un journal. À la pendaison de crémaillère, où sont invités Béru, sa femme, San-Antonio et sa Félicie de mère, Bérurier a la drôle d’idée d’apporter, comme cadeau, un immense sapin. Alors que le trio (Béru, Pinaud, San-Antonio) s’éreinte à creuser un trou dans le jardin pour planter le sapin, ils tombent sur un os, ou, plutôt, les os d’un cadavre féminin enterré dans de la chaux. Désireux de planter l’arbre dans un autre coin, après avoir rebouché le premier trou, afin de ne pas effrayer ces dames, les trois amis découvrent un autre cadavre… Quand on chronique un titre de la série des San-Antonio, on a tendance, naturellement, à vouloir se lancer dans une prose argotique à base de jeux de mots et autres joyeusetés du genre… Mais, tenter de se confronter à l’excellence de la plume gouailleuse de Frédéric Dard, pour parler de Frédéric Dard, ce serait comme vouloir commenter une course d’Usain Bolt en piquant un sprint ou la performance de Rocco Siffredi en… vous voyez ce que je veux dire. Aussi vais-je me contenter d’écrire simplement et, surtout, de ne pas mettre le paquet pour évoquer ce que je pense d’un roman qui ne laissera pas grandes traces dans ma mémoire malgré toute l’affection que j’ai pour la plume de Dard. Je n’évoquerai pas l’intrigue qui ne vole pas bien haut et qui tient sur des hasards, car, après tout, on ne lit pas un San-Antonio pour son intrigue. Mais la plume de Frédéric Dard me semble, ici, à l’image de son héros (San-Antonio a une fièvre de cheval et est malade à crever), un peu fatiguée. Pas de cette fatigue qui vous plonge lentement vers la fin, mais ce genre de fatigue passagère (comme lorsque l’on est malade) qui ne vous empêche pas forcément d’œuvrer, mais qui ne vous permet pas d’exceller. On retiendra quelques tournures de phrases savoureuses (c’est du Frédéric Dard, quand même) et, malheureusement, quelques jeux de mots sur les noms (je n’aime pas trop ça, je trouve que c’est trop facile pour un talent comme Dard) du genre Serge Acquoix ou Simon Persavéça… Mais pas grand-chose de plus même si cela suffit tout de même à maintenir l’intérêt du lecteur jusqu’au bout d’autant plus que, comme tous les San-Antonio, cet épisode est court… Au final, pas le meilleur ni le plus inspiré de ces 35 premiers épisodes de la saga Sanantonienne.Je poursuis ma lecture de l’œuvre Sanantonienne de Frédéric Dard que j’ai entamée dans l’ordre, depuis le tout premier, pour arriver, après un très long temps d’abstinence à ce 35e épisode : « San-Antonio met le paquet », initialement paru en 1959. Je ne vous ferai pas l’injure de vous présenter San-Antonio, et encore moins son auteur, Frédéric Dard, alors, passons directement à la critique. Pinaud, le subalterne et ami du commissaire San-Antonio, a gagné une maison suite à un concours passé dans un journal. À la pendaison de crémaillère, où sont invités Béru, sa femme, San-Antonio et sa Félicie de mère, Bérurier a la drôle d’idée d’apporter, comme cadeau, un immense sapin. Alors que le trio (Béru, Pinaud, San-Antonio) s’éreinte à creuser un trou dans le jardin pour planter le sapin, ils tombent sur un os, ou, plutôt, les os d’un cadavre féminin enterré dans de la chaux. Désireux de planter l’arbre dans un autre coin, après avoir rebouché le premier trou, afin de ne pas effrayer ces dames, les trois amis découvrent un autre cadavre… Quand on chronique un titre de la série des San-Antonio, on a tendance, naturellement, à vouloir se lancer dans une prose argotique à base de jeux de mots et...
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  • mikaelunvoas 11/11/2022
    Une histoire un peu abracadabrante mais qui nous rappelle l'époque des concours dans les journaux et les revues. L'aspect amusant de cet épisode tient dans le fait que San Antonio tient une angine carabinée et il décrit sa fièvre pendant l'enquête. On y voit apparaitre de nouveaux inspecteurs tel que Rigolier.
  • TmbM 22/08/2022
    Qui sont les cadavres ? Comment sont-ils arrivés là ? L'intrigue policière peut se mettre en place. Mais certainement pas le ventre vide. Après tout, nos héros sont venus pour se remplir la panse. Le déjeuner, retranscrit tel un évènement sportif, vaut à lui seul la lecture de ce roman. Les Gravos qui se disputent la blanquette à la manière d'un ballon ovale n'est que la première des images ubuesques qui parsèment ce roman... L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
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