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Sans même un adieu
Claude Demanuelli (traduit par), Jean Demanuelli (traduit par)
Date de parution : 10/11/2016
Éditeurs :
Sonatine

Sans même un adieu

Claude Demanuelli (traduit par), Jean Demanuelli (traduit par)
Date de parution : 10/11/2016
On ne sait jamais ce que le passé nous réserve.

Le nouveau roman bouleversant du maître du suspense anglais
 
1911, Geoffrey Staddon, jeune architecte plein d’élans et d’espoir, vient de concevoir une magnifique demeure, Clouds Frome. Et il est tombé amoureux fou de la femme de son commanditaire, Consuela... 1911, Geoffrey Staddon, jeune architecte plein d’élans et d’espoir, vient de concevoir une magnifique demeure, Clouds Frome. Et il est tombé amoureux fou de la femme de son commanditaire, Consuela Caswell, une jeune Brésilienne perdue dans un mariage de convenance. Alors qu’il lui a promis de s’enfuir avec elle, il... 1911, Geoffrey Staddon, jeune architecte plein d’élans et d’espoir, vient de concevoir une magnifique demeure, Clouds Frome. Et il est tombé amoureux fou de la femme de son commanditaire, Consuela Caswell, une jeune Brésilienne perdue dans un mariage de convenance. Alors qu’il lui a promis de s’enfuir avec elle, il l’abandonne à son triste sort, préférant se consacrer pleinement à ses ambitions professionnelles.

1923, en lisant le journal, Geoffrey tombe sur un article qui lui glace le sang. Consuela Caswell est accusée de meurtre et risque la peine capitale. Bouleversé par cette nouvelle qui réveille bien des fantômes et ravive son sentiment de culpabilité, il ne peut rester sans rien faire. D’autant plus qu’il est persuadé que Consuela n’a pas pu commettre un crime aussi terrible. Il n’a pas le choix, il doit revenir à Clouds Frome pour savoir ce qu’il s’y est réellement passé. Il ne se doute pas encore des sombres secrets qu’il va y découvrir et qui vont bouleverser son existence.
 
Dans une forme éblouissante, Robert Goddard revient ici à sa période de prédilection, le début du xxe siècle, à ses thèmes favoris, l’Histoire, les non-dits, les secrets de famille, et nous offre un roman formidable, aux multiples révélations.
 
 
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EAN : 9782355843822
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782355843822
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • pasiondelalectura 08/12/2023
    Sans même un adieu est un roman à énigmes avec une histoire d’amour et de trahison, un pavé de 660 pages qui se lit bien car il est bien écrit (et bien traduit !), il tient le lecteur en haleine avec une trame diablement compliquée, pleine de rebondissements, mais dont tout est empreint de lenteur explicative. Il y règne une ambiance très british, ce qui rajoute du charme. Tout dans ce livre sera expliqué et il faudra attendre la fin pour démêler tout l’écheveau. Geoffrey Sttadon est un jeune architecte très prometteur qui aura la chance d’être retenu pour construire une belle demeure à Victor Caswell qui revient du Brésil avec une immense fortune et une belle épouse brésilienne, Consuela. Geoffrey Staddon et Consuela Caswell auront une liaison et ce sera le début de tous les problèmes. Des années plus tard, lorsqu’elle sera accusée de tentative de meurtre sur son mari, toutes les preuves l’accablent. Seul Staddon est persuadé qu’elle ne peut pas être coupable, mais cela ne suffit pas et l’on doit fournir les preuves de cette innocence. Il y a dans ce livre une partie que j’ai trouvé très intéressante, c’est le procès fait à Consuela que le lecteur suivra pas à pas. C’est fascinant de complexité et d’horreur. Comment affronter une justice qui ne rend pas justice ? C’est à mon avis, le point majeur développé dans ce livre. Page 475, on peut lire un passage édifiant : …Avant le début de ce procès, j’étais prêt à déclarer que les juges des tribunaux de grande instance étaient des êtres rationnels, éclairés et intelligents, à l’abri des préjugés et de l’illogisme qui sont le lot du commun des mortels. Je suis d’avis aujourd’hui qu’ils ne valent pas mieux que le reste d’entre nous. Leur formation les arme pour masquer leurs préjugés, mais ne réussit pas à les effacer. Mieux, la fonction qu’ils exercent leur fournit toute latitude pour leur donner libre cours. Ma foi, il était peut-être naïf de ma part de les croire capables de résister à la tentation. Une lecture addictive par moments, lassante par d’autres et un pavé si lourd, qu’il déclenche des douleurs de tendinite si l’on ne prend pas garde. J’ai pris en grippe le personnage principal, Geoffrey Staddon, le trouvant atrocement veule, long à se décider; j’ai ressenti aussi que la belle Consuela manquait d’épaisseur humaine et tout lui glissait dessus.Sans même un adieu est un roman à énigmes avec une histoire d’amour et de trahison, un pavé de 660 pages qui se lit bien car il est bien écrit (et bien traduit !), il tient le lecteur en haleine avec une trame diablement compliquée, pleine de rebondissements, mais dont tout est empreint de lenteur explicative. Il y règne une ambiance très british, ce qui rajoute du charme. Tout dans ce livre sera expliqué et il faudra attendre la fin pour démêler tout l’écheveau. Geoffrey Sttadon est un jeune architecte très prometteur qui aura la chance d’être retenu pour construire une belle demeure à Victor Caswell qui revient du Brésil avec une immense fortune et une belle épouse brésilienne, Consuela. Geoffrey Staddon et Consuela Caswell auront une liaison et ce sera le début de tous les problèmes. Des années plus tard, lorsqu’elle sera accusée de tentative de meurtre sur son mari, toutes les preuves l’accablent. Seul Staddon est persuadé qu’elle ne peut pas être coupable, mais cela ne suffit pas et l’on doit fournir les preuves de cette innocence. Il y a dans ce livre une partie que j’ai trouvé très intéressante, c’est le procès fait à Consuela que le lecteur suivra pas à...
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  • Philios 02/03/2023
    Un épais pavé de presque 800 pages (en poche) proportionnel au bonheur de lecture qu’il procure. Autant le dire de suite, ce titre est pour moi l’un des meilleurs de l’auteur. On s’y immerge comme dans un feuilleton captivant. En 1911, Geoffrey Staddon, un jeune architecte ambitieux et prometteur, réalise pour le compte d’un jeune couple fortuné, Victor Caswell et son épouse Consuela, la maison de leurs rêves, Clouds Frome, idéalement située, qui combine charme et élégance avec le confort le plus moderne. Le jeune architecte, lors des travaux de construction de la demeure, apprend à mieux connaître le jeune couple : d’emblée, le mari, qui a belle allure, lui a semblé froid et arrogant alors que son épouse, Consuela, d’origine brésilienne, belle et discrète, gagne son empathie et semble apprécier sa compagnie. Une empathie qui évoluera en amour partagé gardé secret. Jusqu’au jour où les deux amoureux projettent de vivre ensemble. Mais, au dernier moment, Geoffrey va abandonner la jeune femme à son sort, préférant la sacrifier à l’autel de son ambition professionnelle, alors qu’on lui propose la réalisation d’un hôtel de prestige. Décision qu’il regrettera amèrement par la suite, notamment lorsque, une dizaine d’années plus tard, il apprend par la presse que Consuela, accusée de meurtre, a été arrêtée… Il n’est plus question de l’abandonner une seconde fois (elle risque la peine capitale) et Geoffrey est profondément convaincu que la jeune femme est innocente. L’art de Robert Goddard fait merveille dans ce roman, sorte de thriller, qui nous transporte de l’humide et froide Angleterre à la Côte d’Azur radieuse des années folles. L’auteur sait diluer le suspense, dessiner des personnages très divers, tantôt attachants ou repoussants, chacun avec une épaisseur et une personnalité propre (le major Turnbull est un modèle de truculence mauvaise). Les dialogues, un régal de naturel, sont parfaitement écrits, révélant empathie, dignité, lâcheté ou cynisme des personnages. La connaissance technique des rouages de la justice à cette époque apporte une assise solide au roman. Un bonheur de lecture vous disais-je, de lecture addictive, et pour moi l’un des meilleurs crus du nouveau maître de la "detective novel". Un épais pavé de presque 800 pages (en poche) proportionnel au bonheur de lecture qu’il procure. Autant le dire de suite, ce titre est pour moi l’un des meilleurs de l’auteur. On s’y immerge comme dans un feuilleton captivant. En 1911, Geoffrey Staddon, un jeune architecte ambitieux et prometteur, réalise pour le compte d’un jeune couple fortuné, Victor Caswell et son épouse Consuela, la maison de leurs rêves, Clouds Frome, idéalement située, qui combine charme et élégance avec le confort le plus moderne. Le jeune architecte, lors des travaux de construction de la demeure, apprend à mieux connaître le jeune couple : d’emblée, le mari, qui a belle allure, lui a semblé froid et arrogant alors que son épouse, Consuela, d’origine brésilienne, belle et discrète, gagne son empathie et semble apprécier sa compagnie. Une empathie qui évoluera en amour partagé gardé secret. Jusqu’au jour où les deux amoureux projettent de vivre ensemble. Mais, au dernier moment, Geoffrey va abandonner la jeune femme à son sort, préférant la sacrifier à l’autel de son ambition professionnelle, alors qu’on lui propose la réalisation d’un hôtel de prestige. Décision qu’il regrettera amèrement par la suite, notamment lorsque, une dizaine d’années plus tard, il apprend...
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  • fanfan50 06/10/2022
    Un livre de 659 pages aux éditions Sonatine que j’ai emprunté récemment à ma bibliothèque sur un coup de cœur sûrement au vu de la photo de sa couverture : une femme habillée comme dans les années folles avec un chapeau cloche et un long sautoir en perles qui tient fortement les mains d’un homme encore jeune lui aussi chapeauté et chaudement couvert. Tout est dans le regard qu’ils portent l’un à l’autre qui semble si intense. Et la quatrième de couverture fut aussi très accrocheuse : « On ne sait jamais ce que le passé nous réserve » et aussi « Un pavé à suspense à devenir asocial et insomniaque ». Je l’ai lu assez rapidement et j’ai forcé sur les dernières pages dans mon lit le soir étant avide de connaître le dénouement. Le Whodunit ne s’est dévoilé franchement qu’à la fin et j’avoue avoir soupçonné bien des membres de la famille jusqu’à la condamnée elle-même ! L’acharnement de Geoffrey Stanton à découvrir le véritable criminel m’a paru souvent sans espoir et pourtant ! Beaucoup de flashbacks dans le déroulement d’une action pourtant trépidante car on était en droit de connaître tous les intervenants et ce qui s’était passé avant la découverte dans un journal local de l’empoisonnement de la nièce du riche homme d’affaires du Herefordshire. Qui dit poison dit meurtre féminin et les soupçons se portent sur Consuela, la femme de Victor Caswell. Et ce qui s’ensuit, c’est une cascade de rebondissements dans le style des romans victoriens. Un style très rocambolesque alors que l’intrigue se déroule au début du 20ème. Plusieurs personnes sont vénéneuses et on s’égare à leur trouver des raisons d’empoisonner leur prochain. L’arsenic n’est pas la plus belle façon d’envoyer quelqu’un ad patres. Il faut beaucoup lui en vouloir pour le faire autant souffrir. Pour ma part, ce roman n’est pas vraiment historique mais c’est un bon polar. Et j’ai passé de très agréables moments de lecture. Un livre de 659 pages aux éditions Sonatine que j’ai emprunté récemment à ma bibliothèque sur un coup de cœur sûrement au vu de la photo de sa couverture : une femme habillée comme dans les années folles avec un chapeau cloche et un long sautoir en perles qui tient fortement les mains d’un homme encore jeune lui aussi chapeauté et chaudement couvert. Tout est dans le regard qu’ils portent l’un à l’autre qui semble si intense. Et la quatrième de couverture fut aussi très accrocheuse : « On ne sait jamais ce que le passé nous réserve » et aussi « Un pavé à suspense à devenir asocial et insomniaque ». Je l’ai lu assez rapidement et j’ai forcé sur les dernières pages dans mon lit le soir étant avide de connaître le dénouement. Le Whodunit ne s’est dévoilé franchement qu’à la fin et j’avoue avoir soupçonné bien des membres de la famille jusqu’à la condamnée elle-même ! L’acharnement de Geoffrey Stanton à découvrir le véritable criminel m’a paru souvent sans espoir et pourtant ! Beaucoup de flashbacks dans le déroulement d’une action pourtant trépidante car on était en droit de connaître tous les intervenants et ce qui s’était passé avant...
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  • VeroniquePascual 23/07/2021
    Voilà un roman qui ne se lâche pas. Le héros, un homme ordinaire, terne, qui s'empêtre dans de mauvaises décisions, est exaspérant. Il tente maladroitement de sauver la femme qu'il a aimée et laissée tomber autrefois. J'ai été fascinée par la description du procès, de la justice bornée et injuste. La traduction de Claude et Jean Demanuelli nous offre un texte superbement écrit, d'une fluidité remarquable. Je le précise car je lis maintenant " L'héritage Davenall", traduit par Elodie Leplat et je suis très déçue.
  • Guillaume72 21/06/2021
    Pour une fois, robert Goddard ne nous plonge pas dans la grande histoire, mais dans une histoire de famille, avec une palette de personnages intéressants. Le scénario est centré sur un architecte qui a fait le choix de sa carrière plutôt que celui de son bonheur familial auprès d'une femme dont il est devenu l'amant alors que cette dernière était marié à un aristocrate. L'intrigue est bien ficelée et Goddard comme d'habitude déploie son talent de narrateur avec cette fois, une volet juridique incorporé à l'histoire au travers d'un procès. C'est aussi l'occasion de décortiquer les travers de la société britannique
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