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Les Enquêtes du commissaire Léon T4
Le Silence des canaux
Date de parution : 27/10/2016
Éditeurs :
Pocket

Les Enquêtes du commissaire Léon T4

Le Silence des canaux

Date de parution : 27/10/2016
Riche idée qu’a eue là le commissaire Léon, de remonter le canal de l’Ourcq en péniche ! Ça faisait plaisir à Babelutte, son chien érotomane, et puis… de temps à... Riche idée qu’a eue là le commissaire Léon, de remonter le canal de l’Ourcq en péniche ! Ça faisait plaisir à Babelutte, son chien érotomane, et puis… de temps à autre, s’éloigner de sa mère et logeuse, l’omniprésente Ginette, n’est pas pour lui déplaire. Problème : un cinglé anonyme s’est... Riche idée qu’a eue là le commissaire Léon, de remonter le canal de l’Ourcq en péniche ! Ça faisait plaisir à Babelutte, son chien érotomane, et puis… de temps à autre, s’éloigner de sa mère et logeuse, l’omniprésente Ginette, n’est pas pour lui déplaire. Problème : un cinglé anonyme s’est mis en tête de semer des cadavres (sans visage, qui pis est) sur son itinéraire de vacances. Pas moyen d’être tranquille : soudain, la croisière ne s’amuse plus du tout… Et pompon sur le bonnet : Ginette débarque !

« Nadine Monfils est une surdouée de l'humour noir, la reine de l'incongru. On ne rit pas, on hoquette, on s'étouffe... La fille d'Audiard et de Lautner. » Gérard Collard – « Le Magazine de la santé », France 5
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EAN : 9782266256483
Code sériel : 16245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266256483
Code sériel : 16245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • varysoasoa 08/08/2020
    Une nouvelle enquête durant les vacances sur le Canal de l'Ourcq du Commissaire Léon, belge d'origine, qui ne manque pas d'humour "noir". C'est déjanté, drôle et efficace 😁 Léon est toujours entouré de sa mère, ses collègues, ses amis, sa prostituée attristée et son chien Babelutte. Des dialogues délirants, merci Nadine Monfils !
  • lau2810 14/02/2020
    Fidèle à elle-même, Nadine Monfils, se pose en maîtresse du polar léger. Plus qu'une enquête criminelle, c'est tout ce petit univers qui tourne autour du commissaire Léon que l'on retrouve avec plaisir. Sa mère, pénible à souhait, ses collègues, ses amis et sa prostituée attitrée et sans oublier Babelutte. Tout ce petit monde qui donne le sel de ce roman et qui en fait ce qu'il est justement, plaisant à lire, plein d'humour, particulier, je l'admets mais si on est trop "prude", on n'ouvre pas les romans de Nadine Monfils.
  • paulmaugendre 09/02/2020
    Pour une fois qu’il peut prendre des vacances, le commissaire Léon ne va pas se priver. Et tant pis si sa mère, la possessive et encombrante Ginette, n’est pas satisfaite. Elle n’est pas invitée au voyage en péniche sur le canal de l’Ourcq tandis que Babelutte, son chien, va lui tenir compagnie. Mais même les promenades sur un canal calme en apparence peuvent réserver des surprises. Et cette balade aquatique ne sera pas de tout repos pour le commissaire Léon qui sera forcé de travailler malgré lui et d’embaucher ses adjoints. Toutefois cela ne l’empêchera pas de continuer ses tribulations. Au départ, tout va bien. Le commissaire Léon se repose les oreilles, n’entend plus les récriminations et les jérémiades maternelles. Parti de Paris à bord du Bateau d’Emile, le commissaire Léon bifurque à Sevran, muni des papiers nécessaires et de la clé adéquate qui permet d’ouvrir les écluses sans pour autant écluser. Ne voilà-t-il pas que ce ballot de Babelutte balance sa bottine en caoutchouc, son jouet préféré, à la baille, et le commissaire n’écoutant que son bon cœur et son courage se dépêche d’essayer de la récupérer. Il remonte à l’aide d’une gaffe par la même occasion une touffe d’algue de couleur rougeâtre. Ce sont des cheveux appartenant à une jeune fille rousse qui ne pourra plus se plaindre de son indéfrisable fichu car elle est morte. Et si son visage n’exprime aucun mécontentement, c’est parce que justement elle n’a plus de visage. Le néo-batelier en informe sa mère et ses adjoints, Bornéo et Pinchon qui se dépêchent de se rendre sur place. C’est l’émoi au café chez Jeannot, le bar attitré du commissaire, les consommateurs habituels lisant les informations, dans leur canard préféré, concernant ce repêchage exceptionnel. Les langues parlent, déjà déliées par les boissons ingurgitées. Et ils auront d’autres trouvailles à se mettre sous les yeux et à commenter car d’autres sans visages mais pas sans dents seront découverts comme s’il s’agissait d’une course aux trésors pour le commissaire qui commence à se dire qu’il fait le plein de cadavres. Le commissaire Léon va trouver également une gamine, un ancien condisciple de bahut, et sa femme, et faire la connaissance d’autres personnages de plus ou moins bonne fréquentation. Alors sans m’esclaffer, ni hoqueter, comme déclare l’avoir fait Gérard Collard le libraire à la coiffure pseudo tintinesque, j’ai souvent souri en lisant ces tribulations nautiques. De très nombreux personnages atypiques évoluent dans cette intrigue rose et noire, mais le plus émouvant est bien cette petite Aurélie. La gamine qui vit chez sa grand-mère dans une cabane, pas au fond du jardin mais du bois, est mutique. Elle implore souvent sa mère décédée et quand elle parle, c’est celle-ci qui s’exprime par la bouche de la petite fille. Entre délire et émotion, Nadine Monfils joue avec le lecteur, dans une intrigue débridée. Je suppose qu’elle s’est autant amusée à écrire cette nouvelle aventure du commissaire Léon, que le lecteur prend plaisir à la lire. D’ailleurs, outre quelques références cinématographiques, elle invite quelques-uns de ses confrères à participer, les intégrant avec subtilité. Notamment un certain Thierry et un certain Mouloud, que les lecteurs avertis ne manqueront pas de reconnaître.Pour une fois qu’il peut prendre des vacances, le commissaire Léon ne va pas se priver. Et tant pis si sa mère, la possessive et encombrante Ginette, n’est pas satisfaite. Elle n’est pas invitée au voyage en péniche sur le canal de l’Ourcq tandis que Babelutte, son chien, va lui tenir compagnie. Mais même les promenades sur un canal calme en apparence peuvent réserver des surprises. Et cette balade aquatique ne sera pas de tout repos pour le commissaire Léon qui sera forcé de travailler malgré lui et d’embaucher ses adjoints. Toutefois cela ne l’empêchera pas de continuer ses tribulations. Au départ, tout va bien. Le commissaire Léon se repose les oreilles, n’entend plus les récriminations et les jérémiades maternelles. Parti de Paris à bord du Bateau d’Emile, le commissaire Léon bifurque à Sevran, muni des papiers nécessaires et de la clé adéquate qui permet d’ouvrir les écluses sans pour autant écluser. Ne voilà-t-il pas que ce ballot de Babelutte balance sa bottine en caoutchouc, son jouet préféré, à la baille, et le commissaire n’écoutant que son bon cœur et son courage se dépêche d’essayer de la récupérer. Il remonte à l’aide d’une gaffe par la même occasion une touffe d’algue de couleur...
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  • StephG54 28/01/2020
    C'est un bon roman policier efficace, déjanté avec beaucoup d'humour ( noir). Les chapitres sont très courts. L'intrigue est rythmée , prenante. J'adore le personnage du Commissaire Léon et aussi sa mère Ginette. Leurs dialogues du style d'Audiard sont savoureux. J'ai passé un bon moment de lecture
  • Sharon 19/10/2019
    Le plus difficile pour le commissaire ? Partir en vacances sans sa mère ! Il faut dire qu'elle est inquiète : il part en croisière sur un paquebot. Pas tout à fait cependant : il a loué un bateau et navigue sur le canal de l'Ourcq. Mais une maman s'inquiète toujours. Le commissaire Léon, lui, laisse le commissariat et Montmartre entre de bonnes mains, et emmène chien et tricot pour un bon moment de détente. Enfin... presque. Les policiers ne peuvent pas réellement prendre de vacances, c'est bien connu, et il semble qu'un tueur se plait à parsemer le canal de l'Ourcq. Dans ce roman, j'ai retrouvé des thématiques qui me semblent chères à l'autrice : l'importance de la famille, et de l'amour qui est donné, ou refusé aux enfants, et les conséquences pour eux. J'ai aimé l'atmosphère qui se dégageait de ce roman, qui est loin d'être un roman policier traditionnel. J'ai eu l'impression, parfois, d'être à deux doigts de basculer, comme Alice (ou Violette, dans le tome précédent), de l'autre côté du miroir. Oui, nous sommes dans un conte de fée noir, sanglant, et il faut toute la ténacité du commissaire, le fait aussi, qu'il veuille bien mettre ses vacances entre parenthèses et suivre son intuition, pour empêcher que le pire n'ait lieu. Il reste cependant à définir ce qu'est ce "pire", et se dire que ce qui est déjà survenu est du domaine de l'horreur.Le plus difficile pour le commissaire ? Partir en vacances sans sa mère ! Il faut dire qu'elle est inquiète : il part en croisière sur un paquebot. Pas tout à fait cependant : il a loué un bateau et navigue sur le canal de l'Ourcq. Mais une maman s'inquiète toujours. Le commissaire Léon, lui, laisse le commissariat et Montmartre entre de bonnes mains, et emmène chien et tricot pour un bon moment de détente. Enfin... presque. Les policiers ne peuvent pas réellement prendre de vacances, c'est bien connu, et il semble qu'un tueur se plait à parsemer le canal de l'Ourcq. Dans ce roman, j'ai retrouvé des thématiques qui me semblent chères à l'autrice : l'importance de la famille, et de l'amour qui est donné, ou refusé aux enfants, et les conséquences pour eux. J'ai aimé l'atmosphère qui se dégageait de ce roman, qui est loin d'être un roman policier traditionnel. J'ai eu l'impression, parfois, d'être à deux doigts de basculer, comme Alice (ou Violette, dans le tome précédent), de l'autre côté du miroir. Oui, nous sommes dans un conte de fée noir, sanglant, et il faut toute la ténacité du commissaire, le fait aussi, qu'il veuille bien mettre ses...
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