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Nouveauté
La Maison noire - Toujours plus culte! Après La Leçon du mal, le retour du plus sombre des auteurs japonais
Diane Durocher (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Éditeurs :
Belfond
Nouveauté

La Maison noire - Toujours plus culte! Après La Leçon du mal, le retour du plus sombre des auteurs japonais

Diane Durocher (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Toujours plus sombre, toujours plus dérangeant, toujours plus culte ! Après La Leçon du mal, une nouvelle plongée horrifique et jubilatoire dans les méandres de la psyché humaine, avec en arrière-plan une vision acide de la société japonaise.  
Dans le cabinet d’assurances où il travaille, Shinji Wakatsuki fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès. Car Wakatsuki le sait :... Dans le cabinet d’assurances où il travaille, Shinji Wakatsuki fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès. Car Wakatsuki le sait : nombre d’assurés sont prêts à faire de fausses déclarations pour obtenir un dédommagement.
Jusqu’au jour où un certain Komoda le sollicite...
Dans le cabinet d’assurances où il travaille, Shinji Wakatsuki fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès. Car Wakatsuki le sait : nombre d’assurés sont prêts à faire de fausses déclarations pour obtenir un dédommagement.
Jusqu’au jour où un certain Komoda le sollicite pour un constat dans sa maison.
Sur place, le choc. Le corps d’un enfant de douze ans se balance au bout d’une corde. Suicide ? L’instinct de Wakatsuki lui dicte qu’il s’est passé autre chose dans cette demeure lugubre où flotte l’odeur de la mort.
 
Wakatsuki n’a jamais laissé un dossier sans réponse. Mais celui-ci pourrait bien le mener aux confins de la noirceur de l’âme humaine…   
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EAN : 9782714499646
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 304
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782714499646
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 304
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

"Un polar vénéneux sur les dérives de la société nippone. Hors norme, étrange et addictif."
L'Express

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • veziris 07/04/2024
    Dans ce roman noir, un employé d'une compagnie d'assurances est confronté à des clients qui réclament des paiements d'assurance-vie, à un suicide d'enfant et à des cauchemars issus de son enfance. Ses angoisses vont se concrétiser dans une déluge horrifique. L'intrigue est à la fois invraisemblable et efficace, on ne lâche pas le livre. Dénouement un peu paresseux à mon goût mais ça reste une lecture plaisante.
  • McAdam 05/04/2024
    L'histoire Kyoto 1996, employé dans une compagnie d'assurances, Shinji Wakatsuki effectue son travail avec rigueur, traquant les fausses déclarations, fréquentes par appât du gain ! Sa vie personnelle est un peu chaotique, il dispose de peu de temps libre pour voir sa petite amie Megumi. En outre, perturbé par un événement lié à son enfance, une fois seul, il s'adonne aisément à la boisson... Un jour, le jeune homme est appelé pour un constat dans la maison de la famille Komora. C'est le début d'une véritable descente aux enfers ! Mon avis Un thriller psychologique japonais original, qui sort des sentiers battus. J'ai eu un peu de mal au début avec les noms propres et les explications concernant le monde des assurances. Dans la seconde partie, le suspense est au rendez-vous, le côté psychologique est spécialement développé, on ressent une tension évoluant crescendo, vers une fin en cliffhanger. L'auteur nous entraîne dans la noirceur que peut revêtir l'âme humaine, nous montrant ce dont certains sont capables par cupidité... C'est donc un avis en demi-teinte, je n'ai pas retrouvé le côté horrifique qui était annoncé, je m'attendais à tresaillir comme dans certains films japonais de la fin des années '90. Même si l'histoire est intéressante, j'ai trouvé le rythme très lent. Mais avouons que planter le décor d'un thriller dans une société d'assurances, c'était une gageure !L'histoire Kyoto 1996, employé dans une compagnie d'assurances, Shinji Wakatsuki effectue son travail avec rigueur, traquant les fausses déclarations, fréquentes par appât du gain ! Sa vie personnelle est un peu chaotique, il dispose de peu de temps libre pour voir sa petite amie Megumi. En outre, perturbé par un événement lié à son enfance, une fois seul, il s'adonne aisément à la boisson... Un jour, le jeune homme est appelé pour un constat dans la maison de la famille Komora. C'est le début d'une véritable descente aux enfers ! Mon avis Un thriller psychologique japonais original, qui sort des sentiers battus. J'ai eu un peu de mal au début avec les noms propres et les explications concernant le monde des assurances. Dans la seconde partie, le suspense est au rendez-vous, le côté psychologique est spécialement développé, on ressent une tension évoluant crescendo, vers une fin en cliffhanger. L'auteur nous entraîne dans la noirceur que peut revêtir l'âme humaine, nous montrant ce dont certains sont capables par cupidité... C'est donc un avis en demi-teinte, je n'ai pas retrouvé le côté horrifique qui était annoncé, je m'attendais à tresaillir comme dans certains films japonais de la fin des années '90. Même si l'histoire est intéressante, j'ai trouvé le...
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  • Eve-Yeshe 05/04/2024
    Shinji Wakatsuki travaille dans un cabinet d’assurances où il fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès à la recherche d’incohérences pour tenter de dépister d’éventuels profiteurs, lesquels ne sont pas dénués d’imagination. Un jour, il reçoit un appel curieux d’une femme qui lui demande si le suicide est couvert par l’assurance-vie. Pensant qu’elle est sur le point de passer à l’acte il tente de la rassurer et lui démontrer que le suicide n’est pas la meilleure solution, n’hésitant pas à lui parler du suicide de son grand frère, dont il se sent responsable. Pensant l’avoir convaincue il raccroche, en lui laissant son nom. Quelques jours plus tard, alors qu’il a oublié cette communication, il reçoit l’appel d’un certain Komoda qui le sollicite pour un constat à son domicile, insistant sur le fait que Wakatsuki se n en personne se déplace. Il arrive devant « la maison noire » lugubre, assailli par la puanteur lorsqu’il pénètre et constate que le fils de Komoda se balance au bout d’une corde. Le premier choc passé, il trouve le comportement du père étrange, comme s’il faisait semblant d’éprouver du chagrin et celui de ma mère, déconcertant. Wakatsuki va étudier ce dossier de fond en comble pour arriver à prouver qu’il s’agit d’un meurtre, le père ayant déjà sollicité l’assurance après s’être coupé le pouce volontairement (mais jamais prouvé). Ainsi va commencer le cauchemar pour notre ami. Yûsuke Kishi évoque, au travers d’une analyse sans concession de l’escroquerie à l’assurance, les profiteurs, et surtout les criminels qui tentent d’avancer masqués, sur fond de Yakusa aussi, les personnalités perverses, la difficulté de mettre à jour leurs actes, leur mode de pensée… Il nous entraîne sur un faux rythme au départ, où on s’ennuierait presque, pour faire monter un suspense qui devient de plus en plus insoutenable et addictif, multipliant les fausses pistes, avec un final explosif absolument génial. Le récit est entrecoupé par les cauchemars récurrents de Wakatsuki, au cours lesquels une araignée géante le poursuit de son agressivité, qui le laisse trempé de sueurs le matin au réveil, et qu’il tente d’analyser avec son amie Negumi, psychologue. J’ai beaucoup aimé l’opiniâtreté de Wakatsuki, pour rechercher la vérité sur ce qui s’est réellement passé, j’ai aimé sa fragilité apparente, sa culpabilité de ne pas avoir pu sauver son frère, ses relations avec les autres protagonistes. L’auteur ne se contente pas de proposer une intrigue « policière » (en fait les policiers se désintéressent totalement de ce qui peut arriver) mais il étaye son raisonnement avec une analyse psycho-sociologique de ces personnalités : psychopathes, enfance maltraitée… J’ai choisi ce roman parce que j’avais beaucoup aimé « La leçon du mal » de l’auteur, et j’avais très envie de retrouver sa plume ; « La maison noire » est en fait son premier roman, et c’est déjà une réussite, tant son univers glauque est passionnant à explorer. J’attends le prochain de pied ferme. Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m’ont permis de découvrir ce roman et de retrouver la plume de son auteur. #YusukeKishi #NetGalleyFrance ! Shinji Wakatsuki travaille dans un cabinet d’assurances où il fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès à la recherche d’incohérences pour tenter de dépister d’éventuels profiteurs, lesquels ne sont pas dénués d’imagination. Un jour, il reçoit un appel curieux d’une femme qui lui demande si le suicide est couvert par l’assurance-vie. Pensant qu’elle est sur le point de passer à l’acte il tente de la rassurer et lui démontrer que le suicide n’est pas la meilleure solution, n’hésitant pas à lui parler du suicide de son grand frère, dont il se sent responsable. Pensant l’avoir convaincue il raccroche, en lui laissant son nom. Quelques jours plus tard, alors qu’il a oublié cette communication, il reçoit l’appel d’un certain Komoda qui le sollicite pour un constat à son domicile, insistant sur le fait que Wakatsuki se n en personne se déplace. Il arrive devant « la maison noire » lugubre, assailli par la puanteur lorsqu’il pénètre et constate que le fils de Komoda se balance au bout d’une corde. Le premier choc passé, il trouve le comportement du père étrange, comme s’il faisait semblant d’éprouver du chagrin et celui de ma mère,...
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  • carnetdelecture 30/03/2024
    Soyons clairs: je crois que je n’aurais jamais ouvert ce livre si certains blogueurs n’en avaient pas parlé avec autant de passion! Il faut dire que la thématique des assurances n’a rien de palpitant au départ et est plutôt inhabituelle dans le roman policier et encore moins dans le thriller. Pourtant, j’ai été totalement happée par ce roman rythmé et à la tension psychologique palpable. Jusqu’aux derniers chapitres que j’ai lus dans un état proche de l’apnée, tant j’étais prise par l’histoire. Analyse complète sur le blog
  • kristobalone 26/03/2024
    J’ai certainement un penchant pour la littérature japonaise. Toutefois, je ne me rappelle pas avoir déjà lu de polar japonais. Ainsi, découvrir ce genre particulier en commençant par Yûsuke Kishi me semblait une très bonne idée. En réalité il ne s’agit pas d’un polar mais d’un roman noir, comme la Maison du même nom. De prime abord, je me suis réjoui de retrouver ce qui me conquiert dans la littérature japonaise : une certaine forme de sobriété, voire de simplicité apparente. Par ailleurs, l’insignifiance apparente de Wakatsuki, dont une des activités principales consiste à mettre des coups de tampon et signer des dossiers et un contrepied génial quand on considère l’aventure dans laquelle il se retrouve embarqué. Yûsuke Kishi joue avec nos nerfs qu’il lui plait de nous mettre à fleur de peau. La Maison noire n’est pas un page turner, c’est bien pire que ça. C’est le genre de livre que je dois lire en cachant le texte d’une main, le dévoilant au fur et à mesure de ma lecture afin de ne pas aller directement en bas de page voir ce qui s’y trouve. Il y a certes certaines scènes horrifiques mais dont l’horreur est celle, malheureusement déjà banale, des simples faits divers. L’horreur de cette société où l’amour de l’argent a remplacé l’amour du prochain et l’amour des siens. Une société où du fait de cet amour en perdition l’illégalité se multiplie. Une horreur sur laquelle il est donc impossible, impensable et inutile de fermer les yeux. Par le biais de certains personnages, l’auteur nous renseigne et nous fait réfléchir sur les sources de la sociopathie, sur les dérives monstrueuses de la psyché humaine alimentée par ce que le modernisme possède de plus dangereux : un quotidien qu’on ne pense plus à remettre en question : pollutions, violences, avidité, et d’innombrables autres maux dont il parait illusoire de vouloir s’alléger. La Maison noire est un livre aussi glaçant que l’illustration de couverture permet de le supposer, et Yûsuke Kishi indéniablement un maître du roman noir.J’ai certainement un penchant pour la littérature japonaise. Toutefois, je ne me rappelle pas avoir déjà lu de polar japonais. Ainsi, découvrir ce genre particulier en commençant par Yûsuke Kishi me semblait une très bonne idée. En réalité il ne s’agit pas d’un polar mais d’un roman noir, comme la Maison du même nom. De prime abord, je me suis réjoui de retrouver ce qui me conquiert dans la littérature japonaise : une certaine forme de sobriété, voire de simplicité apparente. Par ailleurs, l’insignifiance apparente de Wakatsuki, dont une des activités principales consiste à mettre des coups de tampon et signer des dossiers et un contrepied génial quand on considère l’aventure dans laquelle il se retrouve embarqué. Yûsuke Kishi joue avec nos nerfs qu’il lui plait de nous mettre à fleur de peau. La Maison noire n’est pas un page turner, c’est bien pire que ça. C’est le genre de livre que je dois lire en cachant le texte d’une main, le dévoilant au fur et à mesure de ma lecture afin de ne pas aller directement en bas de page voir ce qui s’y trouve. Il y a certes certaines scènes horrifiques mais dont l’horreur est celle, malheureusement déjà banale, des simples faits divers. L’horreur de...
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