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La Terre fredonne en si bémol
Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Date de parution : 24/03/2011
Éditeurs :
Nil

La Terre fredonne en si bémol

Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Date de parution : 24/03/2011

« Un soupçon de magie, de conte, de polar et de roman d'apprentissage. Un régal. »
Financial Times

Agée d'une dizaine d'années, Gwenni Morgan grandit dans un petit village du pays de Galles. Friande de romans policiers, elle se pose beaucoup de questions sur sa famille et la...

Agée d'une dizaine d'années, Gwenni Morgan grandit dans un petit village du pays de Galles. Friande de romans policiers, elle se pose beaucoup de questions sur sa famille et la petite communauté au sein de laquelle elle évolue. Face aux énigmes et aux secrets du monde adulte, elle décide un...

Agée d'une dizaine d'années, Gwenni Morgan grandit dans un petit village du pays de Galles. Friande de romans policiers, elle se pose beaucoup de questions sur sa famille et la petite communauté au sein de laquelle elle évolue. Face aux énigmes et aux secrets du monde adulte, elle décide un jour de lancer son enquête, comme les détectives de ses livres préférés. Où est donc passé Ifan Evans, ce berger au visage tout rouge dont elle s'est toujours méfiée ? Pourquoi son épouse, la douce Mme Evans, semble-t-elle si mystérieuse et si troublée depuis quelque temps ? Et que veulent dire ses filles, la petite Catrin et sa sœur Angharad, lorsqu'elles répètent que leur père est parti avec un gros chien noir ?
Lorsque le corps d'Ifan Evans est retrouvé, flottant dans le réservoir d'eau, c'est toute la petite communauté qui est soudain en émoi. S'agit-il d'un drame passionnel ou d'un crime commis par Guto, l'idiot du village ? Les langues commencent à se délier. Alwenna, la meilleure amie de Gwenni, bien « trop délurée » aux yeux de tous, semble disposer d'informations cruciales au sujet de sa grand-mère.
Le soir, portée par le murmure de la Terre, Gwenni s'envole de son lit pour parcourir la campagne, et alors certaines réponses se dessinent.
À travers le regard fantaisiste d'une enfant un peu précoce, Mari Strachan nous montre combien il est difficile de construire son histoire dans un monde où tout se sait mais rien ne se dit. Lorsque la vérité éclate enfin au grand jour, les secrets de famille brisent l'harmonie apparente du petit village paisible de l'après-guerre. Mais Gwenni a compris depuis longtemps qu'il faut sortir des sentiers battus pour créer la carte géographique de sa propre vie...

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EAN : 9782841114061
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782841114061
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

REVUE DE PRESSE

À propos de La Terre fredonne en si bémol :

« On serait tenté de voir La Terre fredonne en si bémol comme la rencontre de Under Milk Wood et de What Was Lost, mais Mary Strachan a une voix et une vision bien à elle. »
The Independant


« Ce roman métaphorique et plein de suspense brosse le portrait richement détaillé d’une communauté au bord d’un bouleversement dramatique. »The List

« En dépit de sa noirceur, c’est un roman merveilleusement divertissant, marqué par un sens aigu de l’observation et éclairé par une sorte d’imagination furieusement poétique. C’est un thriller, mais l’un des plus étranges que vous lirez avant des années. » Arran Voice


« Délicieux, captivant et admirablement écrit, c’est un roman bourré de personnages imaginatifs et d’intrigues trépidantes. Brillantissime. »
Suffolk Free Press


« Strachan s’empare habilement d’un sujet sombre avec autant de sobriété que de brio. »
The Saturday Guardian


« Le doigté délicat de l’auteur rend l’histoire atypique et surprenante. »
Publisher’s Weekly


« Un soupçon de magie, de conte, de polar et de roman d’apprentissage. La première œuvre de Mary Strachan est empreinte d’un charme suranné… un régal. »
Financial Times

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • domi_troizarsouilles 13/04/2022
    Mais quel titre intriguant, et quelle jolie couverture ! J’avais découvert ce livre lors d’un swap l’an passé, je ne sais même plus trop comment, très certainement un peu par hasard. Je ne me rappelle plus précisément la consigne majeure, mais il me semble me rappeler que l’idée était de choisir l’un ou l’autre livre des îles britanniques. Ainsi, quand je suis tombée sur ce livre d’une autrice inconnue du Pays de Galles, ça a été d’emblée un coup de foudre, avant même de le tenir entre les mains – et je remercie aujourd’hui encore ma swappeuse-swappée, qui se reconnaîtra j’espère, d’avoir si bien choisi ! C’est que ceux qui me suivent le savent : dans une autre vie j’ai joué de la clarinette… instrument en si bémol ! Quant à savoir si la terre fredonne réellement, j’ai un peu de mal à le dire ; ce qui est certain, en revanche, c’est que, dès que j’entends de la musique (de préférence classique, ça ne marche pas trop avec les chansons, variétés etc.), j’entends non seulement un air ou une mélodie, mais réellement une suite de notes qui chantent dans ma tête… pas forcément justes, et on s’en fout un peu ! Ce qui est remarquable, en revanche, c’est que j’entends systématiquement ces airs en si bémol, comme si j’allais pouvoir les jouer à la clarinette dans l’instant ! Je sais que les musiciens comprendront ce que je veux dire par là ; je m’excuse auprès des autres pour qui ça pourrait sembler obscur… Je leur dirai alors seulement que cette idée de « fredonner en si bémol » est quelque chose qui me touche énormément, intimement, car c’est toute ma vie qui en est remuée – une vie depuis toujours empreinte de musique, à travers ma maman avant que je m’y mette moi-même, puis j’ai commencé la clarinette à 10 ans, et même si je n’ai quasi plus guère joué ces dernière années, ça fait quand même une quarantaine d’années que « tout cela » me fait vibrer. Mais penchons-nous maintenant sur le livre même, avec sa jolie couverture au titre reliéfé – ce qui ajoute au plaisir. Il nous conte une histoire qui touche à beaucoup, beaucoup de sujets, sans que l’autrice donne jamais l’air de se disperser, car c’est aussi, tout simplement, le quotidien d’une jeune fille de presque 13 ans (12 ans et demi, dit-elle elle-même) à l’imagination débordante, ce qui n’est pas forcément ni bien vu ni très « habituel » dans un petit village du Pays de Galles, on suppose dans les années 1950 (puisque la petite Gwenn, notre héroïne, serait née vers la fin de la Guerre). C’est un petit village où tout le monde se connaît depuis toujours et où tout se sait sur les uns et les autres ; c’est une époque où la vie paroissiale est prépondérante, avec son « école du dimanche » où l’on va en famille et où l’on se retrouve divisé par tranches d’âge, et les sermons de « la Voix de Dieux », surnom bien opportun du révérend ! C’est un village gallois typique, aussi : la mer toute proche fait partie du décor au même titre que les moutons sur les collines herbeuses ; à l’école il faut parler anglais mais le gallois reste la langue vernaculaire que tout le monde utilise partout, au grand dam des quelques Anglais installés là et qui ne parviennent pas à s’intégrer complètement. Un double événement va bouleverser à tout jamais la vie de Gwenni, notre jeune héroïne. D’une part, sa meilleure amie de toujours, de tous ses jeux et de tant d’instants partagés, s’éloigne insensiblement, trouvant un intérêt soudain aux garçons, que les deux petites filles avaient toujours rejetés jusque-là, comme des êtres étranges. C’est que Gwenni et son amie Alwenna sont à cet âge magique où on a encore un pied dans l’enfance, mais où on se sent implacablement tiré.e vers l’adolescence, qui n’a peut-être pas l’intérêt démesuré qu’on lui donne aujourd’hui, mais qui n’en est pas moins un passage, ouvrant peu à peu une autre façon de voir et considérer la vie, sa famille ou ses amis. Et cela se ressent très fort à travers tout le livre, car Gwenni garde encore et toujours son côté un peu naïf et enfantin, un peu ingénu même parfois, tout en tombant peu à peu, presque malgré elle, dans une toute nouvelle maturité de très jeune adulte… D’autre part, la mort du mari de l’institutrice, jeune femme cultivée dont Gwenni était très proche, va projeter tout le village dans une autre dimension. Il apparaîtra très vite que la mort n’était pas accidentelle, et le ou la coupable sera identifié.e (très rapidement dans la tête du lecteur, beaucoup plus tard dans le livre) sans qu’il y ait de réelle enquête, c’est vraiment un aspect très secondaire et dont l’apparente non-résolution n’est pas un obstacle au reste de l’histoire. Car ce meurtre (car c’en est un) va surtout servir de déclencheur, en réveillant (et faisant éclater) des secrets enfouis que certains voudraient taire à jamais, mais il est des silences qui créent plus de malheur que la vérité… Il est difficile de dire à travers une telle tentative de résumé à quel point ce livre foisonnant entraîne le lecteur au cœur de ce village comme si on en faisait partie, en suivant toujours les événements à travers les yeux de Gwenni, dans un langage toujours juste, très imagé et parfois même onirique. On retiendra longtemps les pichets Toby qui ornent la cheminée, et à qui l’imagination de Gwenni prête vie en fonction des événements ; on verra Gwenni « voler » la nuit dans ses rêves et on suivra presque avec tristesse ses essais infructueux d’y parvenir aussi en journée quand elle est éveillée ; on aime sa candeur face à l’idiot du village aussi innocent que l’agneau qui vient de naître. On a ainsi une galerie de personnages pas toujours sympathiques, mais qui suscitent des sentiments indéniablement forts chez le lecteur. Outre Gwenni, on s’attache à son père, qu’elle n’appelle jamais autrement que « Pa’ », ouvrier maçon follement amoureux de sa femme et tendre avec ses filles, mais bien impuissant face au pire ; car justement, on comprendra peu à peu que « Ma’ » souffre d’une dépression sévère (mot jamais prononcé toutefois, n’oublions pas que tout est vu par le regard de Gwenni, à une époque où, en plus, on ne parlait guère de telles maladies…), dépression qu’elle combat tant bien que mal à coup de médicaments mais sans y parvenir tout à fait, et ce meurtre au village va la précipiter dans plus sombre encore, au point de rejeter violemment sa propre fille, qui reste malgré tout aimante et ne rêve rien d’autre que voir sa mère aller mieux… J’ai vraiment apprécié cette présentation ciselée et réaliste, toute en subtilité et sensibilité, des personnages même les moins sympathiques, ce qui donne en plus un sentiment de grande sincérité. Par exemple, j’ai lu certains commentaires très durs envers la mère de Gwenni, qui n’est certes pas un personnage agréable… mais moi, plus que tout, j’admire cette façon de la présenter, tellement travaillée l’air de rien et terriblement juste : j’ai rarement vu une approche aussi touchante des affres de la dépression, sans minimiser pour autant les souffrances qu’un tel état peut provoquer chez les proches de la personne atteinte. Bref, c’est là un livre magnifique, qui présente une tranche de vie typique d’un village gallois dans les années 1950, vue par une jeune fille de pas tout à fait 13 ans, à cheval entre enfance et adolescence, et surtout débordante d’imagination. Pour autant, elle conte son histoire sans fioritures ni sans faux-semblant, quand des secrets enfouis éclatent au grand jour. La langue est ciselée, toujours juste, souvent imagée, parfois onirique ou même poétique. Un véritable régal pour le lecteur, et mon cœur en vibre encore… en si bémol ! Mais quel titre intriguant, et quelle jolie couverture ! J’avais découvert ce livre lors d’un swap l’an passé, je ne sais même plus trop comment, très certainement un peu par hasard. Je ne me rappelle plus précisément la consigne majeure, mais il me semble me rappeler que l’idée était de choisir l’un ou l’autre livre des îles britanniques. Ainsi, quand je suis tombée sur ce livre d’une autrice inconnue du Pays de Galles, ça a été d’emblée un coup de foudre, avant même de le tenir entre les mains – et je remercie aujourd’hui encore ma swappeuse-swappée, qui se reconnaîtra j’espère, d’avoir si bien choisi ! C’est que ceux qui me suivent le savent : dans une autre vie j’ai joué de la clarinette… instrument en si bémol ! Quant à savoir si la terre fredonne réellement, j’ai un peu de mal à le dire ; ce qui est certain, en revanche, c’est que, dès que j’entends de la musique (de préférence classique, ça ne marche pas trop avec les chansons, variétés etc.), j’entends non seulement un air ou une mélodie, mais réellement une suite de notes qui chantent dans ma tête… pas forcément justes, et on s’en fout un peu...
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  • collectifpolar 09/06/2021
    Le cadavre d'Ifan Evans est retrouvé dans un petit village du pays de Galles et brise l'harmonie apparente de cette communauté. Gwenni Morgan, petite fille précoce, mène l'enquête. Voici un premier roman surprenant où c’est une petite fille précoce aimant et lisant des romans policiers qui mène l'enquête. Vous avouerez que ce n’est pas banal ! Si l’intrigue est classique et assez bon enfant, nous somme là à la croisée du conte et du polar. Un roman initiatique de l'enfance et du crime. « La terre fredonne en si bémol » est une virée ensorcelante, fraîche et poétique au cœur du pays gallois des années 1950. L’auteur nous offre un monde où le livre à une place prédominante et où il nous révèle celui-ci. C’est une sacrée belle découverte.
  • tantquilyauradeslivres 17/09/2018
    'avais bien aimé ce livre, lu il y a quelques années, et c'est avec plaisir que je m'y suis replongée. Gwenni est une fillette de douze ans pleine d'imagination. Entre le mystère qui entoure la mort du mari de son ancienne institutrice et les lourds secrets de famille qu'elle déterre au fur et à mesure de l'histoire, Gwenni nous entraîne dans le Pays de Galles des années 1950. au fild e l'histoire, Gwenni va découvrir que le monde des adultes est parfois bien cruel et on comprend bien son envie de se réfugier dans ses rêves. A travers Gwenni, nous revisitons le monde de l'enfance et de son imagination sans borne. les thèmes abordés ne sont pas particulièrement gais : ainsi, Gwenni est rejetée par sa mère, dépressive, souvent considérée comme "bizarre" par les gens du village, la mort d'Ifan Evans révèle un triste secret et les secrets de famille que vont découvrir Gwenni sont bien lourds à porter. Et pourtant, il y a une grande poésie dans ce livre, un parfum d'enfance, d’espièglerie et de mystère. Il y a un mélange de fraîcheur et de noirceur dans ce livre et le tout est si savamment dosé que l'on passe un excellent moment. Un livre en subtilité qui nous montre qui permet de retrouver un peu le chemin de l'enfance même si celui-ci, Gwenni le découvrira, est parsemé de cruauté... mais aussi de la puissante magie de l'imagination ! 'avais bien aimé ce livre, lu il y a quelques années, et c'est avec plaisir que je m'y suis replongée. Gwenni est une fillette de douze ans pleine d'imagination. Entre le mystère qui entoure la mort du mari de son ancienne institutrice et les lourds secrets de famille qu'elle déterre au fur et à mesure de l'histoire, Gwenni nous entraîne dans le Pays de Galles des années 1950. au fild e l'histoire, Gwenni va découvrir que le monde des adultes est parfois bien cruel et on comprend bien son envie de se réfugier dans ses rêves. A travers Gwenni, nous revisitons le monde de l'enfance et de son imagination sans borne. les thèmes abordés ne sont pas particulièrement gais : ainsi, Gwenni est rejetée par sa mère, dépressive, souvent considérée comme "bizarre" par les gens du village, la mort d'Ifan Evans révèle un triste secret et les secrets de famille que vont découvrir Gwenni sont bien lourds à porter. Et pourtant, il y a une grande poésie dans ce livre, un parfum d'enfance, d’espièglerie et de mystère. Il y a un mélange de fraîcheur et de noirceur dans ce livre et le tout est si savamment dosé que l'on passe...
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  • sabine59 19/07/2017
    Jolie découverte ( enfin si on peut dire car ce livre est dans ma pal depuis un moment et j'ai eu tort de le laisser en attente si longtemps!) que ce roman d'une auteure galloise, se situant dans les années 50. Attachante Gwenni, narratrice hésitant encore entre enfance et adolescence, petit lutin que son entourage, sauf Pa' et mémé, juge bizarre parce qu'elle a beaucoup d'imagination et des idées originales...Elle se voit voler la nuit au-dessus de son village, les objets ont pour elle des attitudes humaines... Poignante Gwenni, rejetée par sa mère dépressive, peu aimée de sa soeur Bethan, et découvrant des secrets familiaux difficiles à entendre... Curieuse Gwenni, menant l'enquête pour savoir qui a tué Ivan Evans. Mais cet aspect policier est vraiment secondaire. On préfère écouter le récit de la malicieuse et tendre fillette, entre humour et émotion. Et découvrir, à travers elle, la campagne galloise et ses personnages hauts en couleur, toujours en train de boire un thé réconfortant ou d'affronter les averses soudaines... Avec elle, la terre fredonne, les fenêtres des maisons sont, la nuit, quand elle vole" pétrifiées par le sommeil", les renards en fourrure ont une âme...Un livre poétique et d'une grande finesse psychologique. A découvrir! Jolie découverte ( enfin si on peut dire car ce livre est dans ma pal depuis un moment et j'ai eu tort de le laisser en attente si longtemps!) que ce roman d'une auteure galloise, se situant dans les années 50. Attachante Gwenni, narratrice hésitant encore entre enfance et adolescence, petit lutin que son entourage, sauf Pa' et mémé, juge bizarre parce qu'elle a beaucoup d'imagination et des idées originales...Elle se voit voler la nuit au-dessus de son village, les objets ont pour elle des attitudes humaines... Poignante Gwenni, rejetée par sa mère dépressive, peu aimée de sa soeur Bethan, et découvrant des secrets familiaux difficiles à entendre... Curieuse Gwenni, menant l'enquête pour savoir qui a tué Ivan Evans. Mais cet aspect policier est vraiment secondaire. On préfère écouter le récit de la malicieuse et tendre fillette, entre humour et émotion. Et découvrir, à travers elle, la campagne galloise et ses personnages hauts en couleur, toujours en train de boire un thé réconfortant ou d'affronter les averses soudaines... Avec elle, la terre fredonne, les fenêtres des maisons sont, la nuit, quand elle vole" pétrifiées par le sommeil", les renards en fourrure ont une âme...Un livre poétique et d'une grande...
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  • thisou08 10/03/2017
    Rien que le titre invite à la lecture ! J'ai trouvé ce livre charmant, poétique, plein de fraîcheur, et ce, malgré le crime commis. Et Gwenni est adorable...
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