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Des clientes pour la morgue
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Des clientes pour la morgue

Date de parution : 28/10/2010

Si je voulais l'envoyer rejoindre Crâne pelé dans la baille, je n'aurais qu'une bourrade à lui administrer.

Mais je ne tiens pas à procéder ainsi car ce faisant je perdrais le plus important témoin de mon affaire. Et comme ce témoin est par la même occasion le principal inculpé, vous comprendrez sans qu'on vous l'écrive au néon dans la cervelle que je sois enclin à ne pas me séparer de lui. Un inculpé de cette catégorie, je l'aurai payé le prix !

EAN : 9782265091085
Code sériel : 7
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091085
Code sériel : 7
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 31/01/2023
    Et voici mon sixième San Antonio lu. Dans cet exemplaire on voit apparaître un certain Berrurier pour la première fois. Il me semble que c’est un Personnage (je mets une majuscule volontairement) récurrent, du moins par ce que j’en ai entendu parler. Je me suis mis aux San Antonio tout récemment et je les lis dans l’ordre. Pendant longtemps je m’y refusais car ces romans on les trouvait généralement dans les vide-greniers, souvent vieux, sales et tout jaunis ! Et puis pour ne pas mourir idiot je me suis décidé un jour à en lire un exemplaire. Le ton m’a plu très rapidement, dynamique, l’argot, l’humour… Pour ce 6ème numéro, San Antonio voit sa dernière heure venue plusieurs fois mais il s’en sort in extremis. Il y rencontre (encore !) de belles jeunes femmes mais n’en conquiert qu’une seule cette fois ! Il ne s’agit pas d’une enquête officielle, du moins au début, mais juste d’une curiosité qui fait que San Antonio décide de suivre une femme… enfin, un homme. Ça tourne vinaigre et le supérieur de SA décide que cela mérite une enquête approfondie. Un SA pas vraiment différent des 5 premiers mais qui plait toujours autant…
  • TmbM 03/01/2023
    Pour l'anecdote, c'est dans ce roman qu'apparaît pour la première fois l'inspecteur Bérurier - il n'y tient alors pas un rôle très consistant. Il faut dire qu'en 1953, date de publication du septième épisode de la série, le commissaire est encore assez seul à la distribution, à laquelle ne figurent pour l'instant que "Le Vieux" et Félicie. On voit bien que l'auteur se cherche encore un peu. Toutefois, au fil des romans, il met en place les éléments qui seront sa marque de fabrique et, en attendant d'affiner sa personnalité, de constituer son casting et de se distinguer par sa maîtrise de l'argot, il écrit des romans noirs somme toute classiques, efficaces et bien ficelés mais encore assez conventionnels. L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
  • lecassin 24/04/2022
    Au restaurant avec un dénommé Bérurier, dont c’est la première apparition, après une esquisse, le trafiquant de revue porno dans « Des dragées sans baptème », San Antonio, découvre, aux toilettes un étrange client qui entre en homme et ressort en femme . Il n’en faut pas plus à notre commissaire pour se glisser sur les traces de cécoince. Une virée qui le transportera en Suisse… On est vraiment au début de la série, et les ingrédients de la recette ne sont pas encore en place. Certes, il y a bien Béru qui apparaît au début, et à la fin, mais, rien à voir avec l’Alexandre Benoit des années 60/70… Pas de Boss, pas de mission officielle, juste le pif de notre commissaire préféré. Quasiment pas de digressions, d’énumérations baroques, peu de jeux de mots d’argot et de calembours… Frédéric Dard se cherche ; il finira par se trouver et nous trouver… Mais laissons le temps au temps : le meilleur finira bien par arriver.
  • MrVladdy 01/03/2022
    Si j'avais apprécié "Des dragées sans baptême", cette aventure de San Antonio ne m'avait pas spécialement emporté avec elle. Avec "Des clientes pour la morgue", septième enquête policière de San Antonio, je suis reparti du bon pied. Dès le début, je me suis laissé happé par la filature de notre célèbre commissaire. Il y a toujours des facilités dans la construction de l'histoire mais c'est aussi un peu ce que je recherche dans ma lecture. Plus c'est gros et plus ça passe et cette histoire est vraiment bien passé. Dans ce récit, j'ai retrouvé aussi de nombreux passages qui m'ont beaucoup fait rire, des extraits que je m'amusais même à relire plusieurs fois tant ils étaient efficace sur moi (ce qui ne fut pas le cas pour l'aventure précédente). Au delà de l'intrigue légère dont l'auteur assume le fait de s'amuser avec elle et les codes du genre, c'est surtout une nouvelle fois la façon qu'à Frédéric Dard de jouer avec la langue française qui me plait. Son vocabulaire ne cesse de s'enrichir, on a le droit à des punchlines à chaque pages et égoïstement, je jalouse même notre cher San Antonio d'avoir ce langage fleuri naturel que j'aimerais avoir. L'ensemble est en tout cas fluide et se lit avec une facilité déconcertante. On a beau être dans des situations qui peuvent faire sourire dans notre époque actuelle, ça sonne si naturel que je me laisse prendre au jeu. Comme toujours avec San Antonio, il faut rentrer dans cet univers. Si l'on accroche pas, il n'y a rien de nouveau dans "Des clientes pour la morgue". En revanche, pour les amateurs qui se font un plaisir de découvrir ses aventures, c'est du pur plaisir. Le cahier des charges est respecté, on trouve tous les ingrédients de la recette et plus je lis San Antonio, plus je comprends les fans qui prennent du plaisir à relire ses aventures tout en me disant que de mon côté, j'ai de la chance d'être encore au stade de la découverte.Si j'avais apprécié "Des dragées sans baptême", cette aventure de San Antonio ne m'avait pas spécialement emporté avec elle. Avec "Des clientes pour la morgue", septième enquête policière de San Antonio, je suis reparti du bon pied. Dès le début, je me suis laissé happé par la filature de notre célèbre commissaire. Il y a toujours des facilités dans la construction de l'histoire mais c'est aussi un peu ce que je recherche dans ma lecture. Plus c'est gros et plus ça passe et cette histoire est vraiment bien passé. Dans ce récit, j'ai retrouvé aussi de nombreux passages qui m'ont beaucoup fait rire, des extraits que je m'amusais même à relire plusieurs fois tant ils étaient efficace sur moi (ce qui ne fut pas le cas pour l'aventure précédente). Au delà de l'intrigue légère dont l'auteur assume le fait de s'amuser avec elle et les codes du genre, c'est surtout une nouvelle fois la façon qu'à Frédéric Dard de jouer avec la langue française qui me plait. Son vocabulaire ne cesse de s'enrichir, on a le droit à des punchlines à chaque pages et égoïstement, je jalouse même notre cher San Antonio d'avoir ce langage fleuri naturel que j'aimerais avoir. L'ensemble est en...
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  • AlexandreAllamanche 16/10/2021
    Alors qu'il est au restaurant avec Bérurier (que l'on rencontre donc pour le première fois et très rapidement) pour un repas bien arrosé, San-Antonio se rend aux toilettes où son éternelle curiosité l'amène à réaliser que l'homme qui vient de s'enfermer dans une cabine en ressort grimé en femme... Ni une ni deux, et voilà que notre commissaire se lance dans le sillage du travesti qui l'emmène en Suisse, où d'étranges appels téléphoniques et un suicide achèveront de le convaincre qu'il a bel et bien flairé quelque chose de sérieux. Un objet minuscule mais attisant manifestement toutes les convoitises se retrouve bientôt en sa possession, et s'il a déjà eu maille à partir avec pas mal de vilains redoutables, ce Muller est à coup sûr un des plus dangereux... Un nouvel épisode dans la parfaite lignée des précédents, sans tomber dans le déjà-vu ni susciter aucun sentiment de lassitude pour moi. Toujours le même style accrocheur, les mêmes propos acérés, bref, du grand, du bon, du vrai San-Antonio!
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