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Les anges se font plumer
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Les anges se font plumer

Date de parution : 28/10/2010

Une lettre et un chiffre rédigés hâtivement sur un petit bout de papier : K 2. Ça pouvait vouloir dire beaucoup de choses... Ça pouvait ne rien signifier du tout......

Une lettre et un chiffre rédigés hâtivement sur un petit bout de papier : K 2. Ça pouvait vouloir dire beaucoup de choses... Ça pouvait ne rien signifier du tout... Mais moi je ne crois pas qu'on puisse écrire deux signes, comme ça, sans que quelque chose ne se trame...

Une lettre et un chiffre rédigés hâtivement sur un petit bout de papier : K 2. Ça pouvait vouloir dire beaucoup de choses... Ça pouvait ne rien signifier du tout... Mais moi je ne crois pas qu'on puisse écrire deux signes, comme ça, sans que quelque chose ne se trame quelque part. K 2 ? Une marque de détachant... Il manque le R. Un morceau de jeu de bataille navale ? Pas sérieux... Le nom du deuxième sommet du monde, le Kapa Due ? Pourquoi pas... K 2 ? Ça ne vous dit rien, à vous ? Moi si... aujourd'hui... Aujourd'hui... que j'ai rassemblé tous les éléments du puzzle.

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EAN : 9782265091306
Code sériel : 25
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091306
Code sériel : 25
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 14/12/2023
    Episode 25 !Nous sommes toujours dans les années ’50. Dans un San Antonio, l’enquête policière passe souvent au second plan. Ce qui plaît principalement au lecteur c’est la narration amusante de l’histoire, l’ambiance, l’emploi de l’argot, les jeux de mots, le comportement désinvolte d’Antoine, ses aventures « amoureuses »… Avec « Les anges se font plumer » l’enquête est pourtant d’une qualité supérieure. Dès la première page on se retrouve dans le bureau du « chef » et l’ordre de mission est expliqué avec le plus grand sérieux par ce dernier. Un voyage en Italie avec, pour une fois, la participation active de maman Félicie ! Béru et Pinaud font relâche. J’ai beaucoup apprécié cette 25ème aventure d’une grande qualité. L’humour est toujours bien présent avec des calembours et des contrepèteries à pleurer (de rire !). Je me suis plus d’une fois demandé « mais où va-t-il chercher tout ça » ??!! Exemple d’humour Dardesque : « …/… je précise que Christophe Colomb a également découvert l’Amérique. C’est un détail que beaucoup de gens ignorent ; …/…, indirectement, Colomb est donc le père du Coca-Cola, du chewing-gum et de Marilyn Monroe. C’est de cette triple découverte qu’est née l’expression : « Ben mon Colomb ! » Bref, un très bon moment passé avec ce nouvel épisode ! :o) Episode 25 !Nous sommes toujours dans les années ’50. Dans un San Antonio, l’enquête policière passe souvent au second plan. Ce qui plaît principalement au lecteur c’est la narration amusante de l’histoire, l’ambiance, l’emploi de l’argot, les jeux de mots, le comportement désinvolte d’Antoine, ses aventures « amoureuses »… Avec « Les anges se font plumer » l’enquête est pourtant d’une qualité supérieure. Dès la première page on se retrouve dans le bureau du « chef » et l’ordre de mission est expliqué avec le plus grand sérieux par ce dernier. Un voyage en Italie avec, pour une fois, la participation active de maman Félicie ! Béru et Pinaud font relâche. J’ai beaucoup apprécié cette 25ème aventure d’une grande qualité. L’humour est toujours bien présent avec des calembours et des contrepèteries à pleurer (de rire !). Je me suis plus d’une fois demandé « mais où va-t-il chercher tout ça » ??!! Exemple d’humour Dardesque : « …/… je précise que Christophe Colomb a également découvert l’Amérique. C’est un détail que beaucoup de gens ignorent ; …/…, indirectement, Colomb est donc le père du Coca-Cola, du chewing-gum et de Marilyn Monroe. C’est de cette triple découverte qu’est née l’expression : « Ben mon Colomb ! » Bref, un très bon moment passé avec ce nouvel épisode...
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  • evergreen13 30/03/2023
    Trafic Dard(mes) On est en 1957, l’Afrique du Nord est toujours une colonie française mais certains évènements commençaient à agiter sérieusement les lieux… C’est dans ce contexte que notre beau commissaire est appelé à résoudre une affaire brûlante : intercepter un trafic d’armes « destiné aux rebelles ». Rien de vraiment au dessus des compétences de San A n’est-ce pas ? D’autant qu’il pourra en profiter pour emmener sa brave môman (j’ai nommé Félicie) en Italie, sur la côte Adriatique, où sont présumés se dérouler les (mé)faits. Bien entendu, rien ne se passera comme prévu (si ce n’est l’inévitable rencontre au sommier entre San A et une belle nana), San A devra même laisser Félicie profiter de la « dolce vita » pour aller jusqu’en Suisse (le pays du nerf de la guerre !) histoire de tirer les fils du pourquoi du comment ! Je lis toujours avec plaisir un San Antonio, plus pour le style que pour l’intrigue. Ici, pas de Bérurier (on l’aperçoit furtivement au tout début du roman, « qui amène un prévenu à coup de pompe dans les noix »), San A se suffit à lui-même. Quant à l’enquête, elle est plus proche de celle d’un roman d’espionnage que d’un polar (San A est d’ailleurs équipé d’un gadget à faire pâlir James Bond ! Et non, je ne parle pas de ce à quoi vous pensez !!). En revanche, pour le style, l’auteur l’a soigné, comme à son habitude, il y a quelques énumérations dont il est friand et quelques positions de son kamasoutra perso qui laisse toute la place à l’imagination. Une lecture distrayante, mais pas inoubliable. Trafic Dard(mes) On est en 1957, l’Afrique du Nord est toujours une colonie française mais certains évènements commençaient à agiter sérieusement les lieux… C’est dans ce contexte que notre beau commissaire est appelé à résoudre une affaire brûlante : intercepter un trafic d’armes « destiné aux rebelles ». Rien de vraiment au dessus des compétences de San A n’est-ce pas ? D’autant qu’il pourra en profiter pour emmener sa brave môman (j’ai nommé Félicie) en Italie, sur la côte Adriatique, où sont présumés se dérouler les (mé)faits. Bien entendu, rien ne se passera comme prévu (si ce n’est l’inévitable rencontre au sommier entre San A et une belle nana), San A devra même laisser Félicie profiter de la « dolce vita » pour aller jusqu’en Suisse (le pays du nerf de la guerre !) histoire de tirer les fils du pourquoi du comment ! Je lis toujours avec plaisir un San Antonio, plus pour le style que pour l’intrigue. Ici, pas de Bérurier (on l’aperçoit furtivement au tout début du roman, « qui amène un prévenu à coup de pompe dans les noix »), San A se suffit à lui-même. Quant à l’enquête, elle est plus proche de celle d’un roman...
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  • MrVladdy 18/12/2022
    Une enquête plutôt plaisante qui se réveille surtout vers la fin. Au début, j'ai pas eu l'impression qu'il se passait grand chose même si c'est sympa de voir notre Commissaire partir de rien pour en faire une enquête. Accompagné de Félicie, ça rend en tout cas le voyage plus amusant même si l'intérêt réside comme toujours dans l'art de Frédéric Dard de jouer avec la langue française.
  • cegeglyx 28/09/2022
    Un petit San-Antonio de plus, écrit en 1957. La particularité de celui-ci est que l'opération principale se passe en Italie, et que le célèbre agent est accompagné de sa mère, qui répond au doux nom de Félicie. Pas nécessairement le meilleur du lot, mais toujours très drôle.
  • AlexandreAllamanche 01/07/2022
    Cette fois notre agent secret préféré part en mission avec Félicie, sa bonne môman, afin de ne pas attirer l'attention dans l'hôtel de vacanciers où il doit surprendre une rencontre entre gars douteux... La présence de cette brave femme et d'une fillette apporte une très agréable touche de fraîcheur à l'épisode même si les impondérables restent présents, à savoir les marrons, les coups de flingues et les jolies filles... Un très bon moment une nouvelle fois!
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