Les Finlandais sont des gens heureux

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Ladybirdy 12/08/2022
  Voici un témoignage hautement dynamisant et survitaminé ! Lu d’une traite tant le sujet m’a passionné et éveillé ma conscience collective et individuelle. Katja Pantzar suite à une dépression décide de quitter le Canada et de retourner en Finlande, le pays de ses parents. Là-bas, elle va découvrir pourquoi il est dit que Les finlandais sont des gens heureux. Malgré qu’ils ne soient pas très souriants ni loquaces, ils portent en eux un bien être propre aux gens du Nord. L’auteure nous parle du sisu (prononcé : cissou), l’art de renverser chaque épreuve de la vie pour en faire une opportunité. Être dans l’action, le mouvement, ne pas abandonner, ne pas reculer devant l’adversité. Le sisu est inscrit dans le quotidien et les mentalités des finlandais. Depuis petits, ils apprennent à ne pas lâcher prise, ils apprennent la volonté, la combativité. S’inscrire dans le sisu, c’est changer son mode de vie. Expérimenter par exemple les baignades d’hiver où le corps en hypothermie va développer un réseau électrique et endorphique générateur de bien être. Profiter après d’un bon sauna (plus de 3 millions de saunas en Finlande pour 5 millions d’habitants). Renouer avec la nature est hautement salutaire. Faire profiter les... Voici un témoignage hautement dynamisant et survitaminé ! Lu d’une traite tant le sujet m’a passionné et éveillé ma conscience collective et individuelle. Katja Pantzar suite à une dépression décide de quitter le Canada et de retourner en Finlande, le pays de ses parents. Là-bas, elle va découvrir pourquoi il est dit que Les finlandais sont des gens heureux. Malgré qu’ils ne soient pas très souriants ni loquaces, ils portent en eux un bien être propre aux gens du Nord. L’auteure nous parle du sisu (prononcé : cissou), l’art de renverser chaque épreuve de la vie pour en faire une opportunité. Être dans l’action, le mouvement, ne pas abandonner, ne pas reculer devant l’adversité. Le sisu est inscrit dans le quotidien et les mentalités des finlandais. Depuis petits, ils apprennent à ne pas lâcher prise, ils apprennent la volonté, la combativité. S’inscrire dans le sisu, c’est changer son mode de vie. Expérimenter par exemple les baignades d’hiver où le corps en hypothermie va développer un réseau électrique et endorphique générateur de bien être. Profiter après d’un bon sauna (plus de 3 millions de saunas en Finlande pour 5 millions d’habitants). Renouer avec la nature est hautement salutaire. Faire profiter les enfants du grand air, des grands espaces verts. Manger sainement même si ça va de soi. Bouger, que ce soit en prenant le vélo pour aller travailler ou faire son ménage. Le Do it Yourself regorge de bienfaits valorisants pour tout un chacun. Le livre est tout à fait attrayant car nourri de l’expérience vécue de l’auteure, parsemé de témoignages variés et riches de sens, c’est un véritable coup de fouet pour repenser son mode de vie. Délaisser nos habitudes d’hyper consommateurs, de sédentaires, de spectateurs pour accueillir la vie sous un autre jour bien plus profitable et inspirant.

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• AmbreBo 22/08/2019
  Ne connaissant absolument rien sur le culture finlandaise, j'ai trouvé ce livre très intéressant, malgré quelques passages un peu longs, sans trop d'intérêts d'après moi. L'ensemble du livre est tout de même ciblé développement personnel, ce qui est très interessant je trouve que cela donne envie de découvrir le mode de vie finlandais plus en détail ! Par contre j'ai trouvé le livre assez peu agréable à lire par sa forme, l'écriture est très petite et serrée, ce qui a rendu ma lecture assez compliqué. Le petit plus de la mise en page est la présence d'encart récapitulatif sur certains thèmes ce qui est plutôt pratique pour en retenir l'essentiel !
• Rose1912 15/07/2019
  On peut voir fleurir dans les librairies de nombreux livres sur différentes philosophies de vies et notamment celles venant des pays scandinaves. Ce documentaire m'intéressait donc car j'avais déjà lu des livres sur le Lykke, le Hygge ,le Lagom et dernièrement sur l'Ikigaï (qui comme son nom l'indique n'est pas scandinave mais japonais). J'étais donc intriguée de voir ce qu'il se passait en Finlande. A travers le témoignage de l'auteure, une journaliste mi-américaine mi-finlandaise et qui, suite à une dépression récurrente, décide de retourner à ses origines finlandaises, nous découvrons un courant appelé le SISU. Alors, qu'est-ce que c'est le Sisu ? Je suis allée voir la vraie définition et voici ce que j'ai trouvé :" le mot « sisu » a pour racine sis- que l'on retrouve dans sisä-, « intérieur » et sisus « entrailles », « tripes ». Il renvoie à la notion archaïque et commune à bien des civilisations que le courage se situe dans le ventre, dont témoignent notamment les expressions « en avoir dans le ventre » en français, ou « he's got guts » en anglais. le verbe ganbaru en japonais a un sens similaire au terme sisu. Apparemment, il s'agirait du coeur... On peut voir fleurir dans les librairies de nombreux livres sur différentes philosophies de vies et notamment celles venant des pays scandinaves. Ce documentaire m'intéressait donc car j'avais déjà lu des livres sur le Lykke, le Hygge ,le Lagom et dernièrement sur l'Ikigaï (qui comme son nom l'indique n'est pas scandinave mais japonais). J'étais donc intriguée de voir ce qu'il se passait en Finlande. A travers le témoignage de l'auteure, une journaliste mi-américaine mi-finlandaise et qui, suite à une dépression récurrente, décide de retourner à ses origines finlandaises, nous découvrons un courant appelé le SISU. Alors, qu'est-ce que c'est le Sisu ? Je suis allée voir la vraie définition et voici ce que j'ai trouvé :" le mot « sisu » a pour racine sis- que l'on retrouve dans sisä-, « intérieur » et sisus « entrailles », « tripes ». Il renvoie à la notion archaïque et commune à bien des civilisations que le courage se situe dans le ventre, dont témoignent notamment les expressions « en avoir dans le ventre » en français, ou « he's got guts » en anglais. le verbe ganbaru en japonais a un sens similaire au terme sisu. Apparemment, il s'agirait du coeur de l'âme finlandaise, l'acharnement patient qui permet aux Finlandais d'affronter toutes les situations et de mener à bien leurs objectifs. Comment fait-on pour y parvenir et bien en entrant en communion avec la nature, l'auteure découvre la joie de se baigner dans l'eau glacée après le travail, de se retrouver juste après cette expérience dans un sauna avec d'autres personnes, de se poser, d'être simplement là et de profiter du moment présent. De reconnecter avec son vrai "soi", de manger sainement, de se balader, de bouger, de faire attention à tout ce qui nous entoure au niveau naturel, d'essayer de se contenter du nécessaire et de laisser tomber le superflu. De se fabriquer à partir de la nature une énergie nous permettant d'affronter toutes les tempêtes. Un très beau témoignage qui me donne vraiment envie de découvrir ces pays scandinaves qui semblent toujours en avance sur nous pour tout ce qui est du social, de l'humain, de la personne, la vraie qui est en chacun de nous ! Merci à Masse Critique et aux éditions Belfond de m'avoir permis de découvrir ce livre !

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• latina 12/07/2019
  J'ai appris un nouveau mot : le sisu. Non, ce n'est pas une nouvelle forme de sudoku, haïku ou autre. Ce n'est pas japonais, mais finlandais ! C'est un concept très ancien de la Finlande, qui signifie que l'on puise dans ses ressources, dans son énergie pour avancer, pour ne pas rester immobile devant l'obstacle. Accepter le changement, et tout faire pour que cela soit positif. Force de caractère, force du corps. Energie. Courage. Optimisme. Acceptation de l'aide d'autrui. Communication. Séduisant, n'est-ce pas ? L'auteure est partie de son expérience personnelle pour nous expliquer comment elle a pu s'en sortir. Dépressive chronique, elle végétait aux USA. Puis elle s'est rendue en Finlande pour son travail, et là sa vie a changé au contact de gens heureux, disponibles, généreux, pleins d'enthousiasme et de force. Alors, comment permettre au sisu de se développer ? En se plongeant dans la mer en hiver, en partageant le sauna avec d'autres (si possible tout nus…), en mangeant sainement, en se rendant au travail, au magasin etc. à vélo, en se baladant dans la forêt, en privilégiant le minimalisme dans son cadre de vie, que ce soit pour les vêtements ou la décoration, en faisant confiance aux... J'ai appris un nouveau mot : le sisu. Non, ce n'est pas une nouvelle forme de sudoku, haïku ou autre. Ce n'est pas japonais, mais finlandais ! C'est un concept très ancien de la Finlande, qui signifie que l'on puise dans ses ressources, dans son énergie pour avancer, pour ne pas rester immobile devant l'obstacle. Accepter le changement, et tout faire pour que cela soit positif. Force de caractère, force du corps. Energie. Courage. Optimisme. Acceptation de l'aide d'autrui. Communication. Séduisant, n'est-ce pas ? L'auteure est partie de son expérience personnelle pour nous expliquer comment elle a pu s'en sortir. Dépressive chronique, elle végétait aux USA. Puis elle s'est rendue en Finlande pour son travail, et là sa vie a changé au contact de gens heureux, disponibles, généreux, pleins d'enthousiasme et de force. Alors, comment permettre au sisu de se développer ? En se plongeant dans la mer en hiver, en partageant le sauna avec d'autres (si possible tout nus…), en mangeant sainement, en se rendant au travail, au magasin etc. à vélo, en se baladant dans la forêt, en privilégiant le minimalisme dans son cadre de vie, que ce soit pour les vêtements ou la décoration, en faisant confiance aux enseignants (hem, en Belgique, on ne pratique pas beaucoup le sisu), en exaltant la persévérance et l'opiniâtreté tout en conseillant de lâcher prise au bon moment, en faisant part de ses soucis au lieu de les garder jalousement enfermés dans sa petite tête, en bougeant, enfin. Bref, vous l'aurez compris, tout ceci nous garantit une énergie pour que l'on soit apte à affronter tous les aléas du quotidien. L'auteure explique bien, donne de nombreuses références de personnes pratiquant le sisu, donc je la crois. Mais elle a tendance à se répéter, et à faire croire que les Finlandais sont quasi les seuls à avoir trouvé la solution miracle à tous les maux de notre société. La politique sociétale finlandaise est à l'écoute des gens, ça oui (je n'ai pas oublié les12 mois de congé de maternité ! Ni les nombreuses semaines de congé octroyées à tous ! Ni les espaces aménagés dans toutes les villes, dans tous les villages, pour les familles etc. ) Moi-même, je me dis que je cultive mon sisu, finalement (bon, à part les bains glacés, le sauna et les trajets à vélo). Alors, si vous jugez que votre vie doit changer, prenez comme exemple les Finlandais. Je vous souhaite tout le sisu possible dans votre vie ! Merci aux éditions Belfond pour ce livre offert à l'occasion de Masse Critique non-fiction.

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