N'oublie rien en chemin

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Depreading 14/10/2021

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  Avant de l'acheter, à première vue, la quatrième de couverture, plus précisément, le résumé, très concis, a attiré mon attention. Il résume en tout points le roman du début à la fin sans spoiler. Pour en venir au roman à proprement parler, le fil de l'histoire repose sur le contexte historique qu'est la seconde Guerre Mondiale, mais plus exactement sur les Moleskines (carnets) de la grand-mère de Sandra, Rivka. Au décès de Rivka, Sandra, âgée de 40 ans, se voit léguer les carnets de sa grand-mère où cette dernière y a écrit tout au long de sa vie même dans les moments les plus difficiles tels que l'arrestation des Juifs en 1942. Ce décès va faire remonter à la surface tous les souvenirs qu'ils soient joyeux ou malheureux. Sandra devra retourner à Paris là où tout a commencé pour toutes les deux, des décennies d'écart entre leurs histoires. En allant à Paris, Sandra a un devoir de mémoire envers sa grand-mère. Chaque page lue émeut encore un peu plus Sandra qui ne peut pas s'empêcher pendant la lecture, à penser à son passé romantique le petit-fils (ce dont elle ignorait), dont les ancêtres familiaux de ce dernier, plus précisément, son grand-père, sont à l'origine des malheurs de la famille de Rivka. Sandra subira aussi la tristesse par un membre de cette famille, mais Alexandre et Sandra n'y sont pour rien, car les liens entre leurs familles y sont pour quelques choses, notamment sur les choix amoureux et les sacrifices. Enfin dans ce roman aux connotations historiques, l'écriture est fluide, on comprend très vite la différence entre les lettres, les carnets et le récit. On y ressent complètement l'émotion et ce qu'a pu vivre Rivka de son départ de Paris à Lyon avec une fin de roman plus qu'inattendue et forte en émotions. Pour terminer, le pari est réussi pour un premier roman d'Anne-Sophie Moszkowicz, lecture fortement recommandée !Avant de l'acheter, à première vue, la quatrième de couverture, plus précisément, le résumé, très concis, a attiré mon attention. Il résume en tout points le roman du début à la fin sans spoiler. Pour en venir au roman à proprement parler, le fil de l'histoire repose sur le contexte historique qu'est la seconde Guerre Mondiale, mais plus exactement sur les Moleskines (carnets) de la grand-mère de Sandra, Rivka. Au décès de Rivka, Sandra, âgée de 40 ans, se voit léguer les carnets de sa grand-mère où cette dernière y a écrit tout au long de sa vie même dans les moments les plus difficiles tels que l'arrestation des Juifs en 1942. Ce décès va faire remonter à la surface tous les souvenirs qu'ils soient joyeux ou malheureux. Sandra devra retourner à Paris là où tout a commencé pour toutes les deux, des décennies d'écart entre leurs histoires. En allant à Paris, Sandra a un devoir de mémoire envers sa grand-mère. Chaque page lue émeut encore un peu plus Sandra qui ne peut pas s'empêcher pendant la lecture, à penser à son passé romantique le petit-fils (ce dont elle ignorait), dont les ancêtres familiaux de ce dernier, plus précisément, son grand-père, sont...

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• readbylaurie 27/04/2021

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  En 2017, à la mort de sa grand-mère Rivka, Sandra reçoit en héritage des carnets noircis de la main de son aïeule. Dans ses carnets elle y raconte sa vie, ses pensées et ses tourments, depuis ce jour de 1942. -- A cette époque des policiers sont arrivés chez Rivka et Aaron, elle a réussi à s'enfuir mais lui a été emmené. En 1997 lorsque Sandra fait ses études à Paris elle rencontre un jeune homme Alexandre mais que vient il faire dans l'histoire et qui est il au juste ? -- C'est très simple et toute les réponses se trouvent dans les carnets de Rivka, la où elle a consignés tous ses secrets. Alexandre va être la clé du dénouement et de la réparation des tords causés à la famille en 1942.
• Rosedesforets 10/01/2021

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  C’est le résumé du livre qui m’a conquise : L’histoire d’une femme de 40 ans, qui, à la mort de sa grand-mère, retourne vers un temps de son passé, tout en suivant les carnets que cette grand-mère adorée lui laisse. C’était le moment. Un livre sur les souvenirs, personnels mais aussi de l’humanité, notre devoir de mémoire. Un livre sur l’amour, ou plutôt les amours, et les choix. Un livre sur les secrets de famille, et les liens intergénérationnels. L’écriture est douce et belle, tout comme l’histoire et la fin, plutôt inattendue. Tout cela, dans un roman de moins de 200 pages. Une agréable parenthèse.
• Isa0409 21/04/2020

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  📒 Lyon. Été 2017. Après la mort de sa grand-mère, Sandra reçoit de son père une lettre, ainsi que de nombreux carnets tenus par son aïeule. Rivka est une survivante de la Shoah, pourtant elle n’en a jamais parlé, elle a toujours tu ce douloureux passé, considérant que ce qui n’est pas dit n’existe pas... n’existe plus. En livrant par écrit tous ses secrets, son quotidien sous l’occupation, ses craintes et ses peurs, mais aussi ses espoirs, Rivka amène sa petite-fille à Paris. 📒 Paris. Automne 1997. Sandra, alors âgée de 20 ans, quitte sa ville natale pour se rendre à la capitale afin d’y étudier le droit. Elle y rencontre Alexandre , avec qui elle vivra trois mois de passion intense, de fougue, il arrive tel une tornade dans le paysage si calme de la vie de Sandra. Et de Paul, son amoureux. Que faire ? Écouter son coeur ou sa raison ? Suivre l’instinct ou réfléchir ? Sandra n’aura pas à prendre de décision. Alexandre la quitte. 📒 N’oublie rien en chemin est un roman d’une délicatesse et d’une élégance inouïes. Comment vivre avec son passé, avec celui de sa famille, que l’on porte parfois à bout de bras, que l’on traîne parfois sans le savoir, ou que l’on découvre par hasard, après une question innocente ? 📒 Le passé définit le présent, et l’on ne peut s’en détourner. Et quand bien même on tenterait d’y échapper, il nous rattrape, impossible à fuir, telle une ombre malveillante. Qu’il prenne la forme d’une lettre ou d’un banal coup de téléphone ... 📒 Lyon. Été 2017. Après la mort de sa grand-mère, Sandra reçoit de son père une lettre, ainsi que de nombreux carnets tenus par son aïeule. Rivka est une survivante de la Shoah, pourtant elle n’en a jamais parlé, elle a toujours tu ce douloureux passé, considérant que ce qui n’est pas dit n’existe pas... n’existe plus. En livrant par écrit tous ses secrets, son quotidien sous l’occupation, ses craintes et ses peurs, mais aussi ses espoirs, Rivka amène sa petite-fille à Paris. 📒 Paris. Automne 1997. Sandra, alors âgée de 20 ans, quitte sa ville natale pour se rendre à la capitale afin d’y étudier le droit. Elle y rencontre Alexandre , avec qui elle vivra trois mois de passion intense, de fougue, il arrive tel une tornade dans le paysage si calme de la vie de Sandra. Et de Paul, son amoureux. Que faire ? Écouter son coeur ou sa raison ? Suivre l’instinct ou réfléchir ? Sandra n’aura pas à prendre de décision. Alexandre la quitte. 📒 N’oublie rien en chemin est un roman d’une délicatesse et d’une élégance inouïes. Comment vivre avec son passé, avec celui de sa famille, que l’on porte parfois à bout de...

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• gromit33 12/08/2019

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  Droit et/ou devoir de mémoire, il n'est pas facile de connaître le passe de membres de familles, des grands parents qui se taisent, des parents qui ne cherchent ni ne veulent savoir, alors quelquefois c'est la troisième génération qui veulent savoir, comprendre et quelquefois corriger, atténuer les faits de leurs aïeuls. Mais est ce possible, facile, souhaitable. Avec une belle écriture, qui décrit les sentiments, les questionnements d'une femme qui essaie de comprendre, d'analyser ses remords, regrets après une rupture amoureuse entre deux êtres. Une rupture qui peut faire surgir des histoires familiales du passé. Un livre étrange car il nous "balade" et on ne sait pas trop où et vers quel dénouement l'auteure va nous entraîner. Une façon singulière de nous parler des spoliations, des possibles et éventuelles indemnisations. Peux t on réparer les faits des années 40, comment se souvenir mais continuer d'avancer.