Une rose pour loyer

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Nitocris2021 08/11/2023

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  Une lecture rafraîchissante dans l'Angleterre médiévale au temps de la guerre entre le roi Etienne et l'impératrice Mathilde. L'arrière plan politique est presque absent mais la sociologie médiévale est prégnante. Une aventure de Frère Cadfael pas particulièrement marquante mais non dénuée de poésie et qui se lit avec plaisir.
• Rhodopsine 27/08/2023

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  Ce qu'il y a bien avec Frère Cadfaël, c'est qu'on sait à quoi s'attendre. Un meurtre, une enquête, une solution. En prime, un petit dépaysement dans le temps et l'espace, c'est parfait pour lire dans un train, un transat ou un bon fauteuil avec chat ronronnant et tasse de thé. Dans cet opus, pas de surprise, le coupable est bien celui qu'on pense (c'est-à-dire, et je ne divulgache rien tant la ficelle est un cordage de paquebot, le moins suspect des personnages) , l'honneur sauf et la justice rendue. Un Cadfaël annuel pour le plaisir, pour le confort d'une lecture tranquille, pour retrouver Shrewsbury, son cloître, son jardin et son moine apothicaire: cela ne se refuse jamais.
• Crazynath 28/02/2022

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  Et voilà, les aventures de frère Cadfael se suivent mais ne se ressemblent pas forcement. J’ai toujours autant de plaisir à suivre les enquêtes de ce moine bénédictin pas ordinaire, herboriste , mais surtout enquêteur à ses heures perdues, pour mon plus grand plaisir et surtout celui de la justice, incarné par son ami, le shérif Hugh Beringar. Une jeune femme, la veuve Perle, loue une de ses propriétés à l’abbaye pour un loyer tout à fait symbolique incarné en une rose annuelle. Cette jeune femme désintéressée qui envisage sérieusement de rentrer dans les ordres est cependant, de par sa fortune, l’objet de bien des convoitises et il faut dire que les prétendants ne manquent pas. Cependant, c’est au pied du rosier pourvoyeur des fleurs attendues chaque année qu’est commis un meurtre inexplicable puisque la victime ne faisait pas partie des hommes qui tournent assidument autour de la jeune femme. Au vu de l’identité de la victime, l’abbaye va se trouver impliquée dans cette histoire et l’abbé Radulphe va charger Cadfael de mener sa propre enquête et de prêter main forte à Hugh Beringar. Cette fois ci, la guerre civile, même si elle continue de faire des ravages dans cette Angleterre du deuxième siècle, est reléguée à l’arrière-plan. Une histoire placée sous le signe du deuil, mais aussi de la résilience, et c’est aussi pour cela que je trouve cet épisode particulièrement touchant. Challenge Mauvais Genres 2022 Challenge A travers l’Histoire 2022 Challenge Multi-Défis 2022 Et voilà, les aventures de frère Cadfael se suivent mais ne se ressemblent pas forcement. J’ai toujours autant de plaisir à suivre les enquêtes de ce moine bénédictin pas ordinaire, herboriste , mais surtout enquêteur à ses heures perdues, pour mon plus grand plaisir et surtout celui de la justice, incarné par son ami, le shérif Hugh Beringar. Une jeune femme, la veuve Perle, loue une de ses propriétés à l’abbaye pour un loyer tout à fait symbolique incarné en une rose annuelle. Cette jeune femme désintéressée qui envisage sérieusement de rentrer dans les ordres est cependant, de par sa fortune, l’objet de bien des convoitises et il faut dire que les prétendants ne manquent pas. Cependant, c’est au pied du rosier pourvoyeur des fleurs attendues chaque année qu’est commis un meurtre inexplicable puisque la victime ne faisait pas partie des hommes qui tournent assidument autour de la jeune femme. Au vu de l’identité de la victime, l’abbaye va se trouver impliquée dans cette histoire et l’abbé Radulphe va charger Cadfael de mener sa propre enquête et de prêter main forte à Hugh Beringar. Cette fois ci, la guerre civile, même si elle continue de faire des ravages dans cette Angleterre du deuxième siècle,...

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• gaby33370 13/05/2014

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  Il est inutile de présenter Ellis Peter.C'est avec beaucoup de finesse, que l'auteur nous explique, le pourquoi de ce loyer, qui n'est pas si minime qu'il y parait.Une belle aventure, qui parfois flirte avec le fantastique.Agréable à lire,sans se prendre la tête.Relaxation assurée,contre les jours moroses. bonne lecture