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Si on dansait
Rémi Bonnard (traduit par)
Date de parution : 02/05/2019
Éditeurs :
Pocket

Si on dansait

Rémi Bonnard (traduit par)
Date de parution : 02/05/2019
À Londres, au bout d’une impasse délabrée, Frank n’est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes,... À Londres, au bout d’une impasse délabrée, Frank n’est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie.
Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d’un regard pour savoir quelle musique...
À Londres, au bout d’une impasse délabrée, Frank n’est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie.
Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d’un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. C’est ainsi qu’il fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Lui qui ne croit plus en l’amour sent son coeur vibrer à nouveau. Jusqu’au jour où il découvre le secret de Lisa…

« Un roman tendre, sensible et plein de vitamines. » Version Femina
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EAN : 9782266291552
Code sériel : 17427
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266291552
Code sériel : 17427
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman tendre, sensible et plein de vitamines. » Version Femina
« Un plaidoyer pour le vivre ensemble, malgré les galères et les coups du sort. » Cosmopolitan
« Avec une sensibilité magnifique, Rachel Joyce célèbre le courage de gens ordinaires, la force de l'amour, mais aussi la puissance de la musique qui, parfois, peut sauver des vies. » La Presse de la Manche Dimanche
« Un joli roman célébrant le courage, l'amour et la puissance de la musique. » Le Progrès
« Voilà un livre feel good qui ne pourra que vous faire du bien. Pourquoi s’en priver ? » Nice Matin Week-end
« Une incroyable capacité à saisir l’espoir. » The Observer
« Une écriture réconfortante, drôle et délicate. » Daily Telegraph
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Beasaaa 11/09/2022
    Dans nos vies, il arrive de rencontrer des hommes et femmes animés par le feu ardent d’une passion. Frank est l’une de ces personnes, il est tellement féru de musique qu’il donne l’envie de se plonger à corps perdu dans cette même passion ! Frank est un vieux garçon, électrisé par la musique il ne jure que par le son des 33 et 45 tours, sa boutique fait le bonheur de son quartier et de ses clients. Plusieurs représentants de disque se présentent à lui, afin de lui faire prendre conscience que les disques vinyles vivent leurs derniers instants, nous sommes alors en 1988. Frank ne veut rien entendre, les vinyles sont sacrés pour lui, le son de ces disques est unique et ne peut être comparable à un nouveau CD. Le super pouvoir de Frank est de trouver la musique dont vous avez besoin, lorsque vous poussez la porte de son magasin, il trouve la musique qui soignera une blessure, un sentiment de peur ou l’envie de retrouver un être aimé. Ses clients lui parlent parfois d’un air de musique vaguement entendu et BINGO Frank retrouve le titre tant recherché en quelques minutes. Un jour une cliente, Lisa Brauckmann rentre dans son magasin, son manteau vert attire son regard et le déstabilise, Kit son employé décalé, Anthony l'ancien prêtre et Maud la tatoueuse remarquent que Frank est totalement sous son charme. Le hic, Lisa va bientôt se marier ! La boutique de Frank va-t-elle résister à l’arrivée des CD ? Est-ce que son destin sera bouleversé par Lisa Brauckmann ? Si on dansait est mon coup de cœur littéraire 2022, La passion débordante du héro principal, Frank m’a totalement entraîné dans cette mélodie humoristique/romantique. Les personnages sont tous charismatiques, par exemple Kit est un employé avec un grain de folie, il rêve d’avoir son propre uniforme de travail. Lisa Brauckmann est vraiment mystérieuse, pourquoi porte-t-elle toujours des gants ? Rachel Joyce a dû vraiment se renseigner intensément sur le monde de la musique afin d’écrire « Si on dansait ». L’histoire est entrainante par la passion dévorante de ce mélomane qu’est Frank. L’histoire peut paraître lente par moment, le récit se dévoile petit à petit au lecteur et conserve le mystère de l’attirance entre Lisa et Frank. Le quartier où se trouve la boutique de Frank se nomme Unity street, cette rue est unie, les commerçants se connaissent tous et se serrent les coudes afin de survivre et que leurs commerces de proximité tiennent le coup. On sent qu’un esprit de famille émane de cette bourgade so british. La playlist très variée de ce livre est un vrai délice pour les amoureux de pop-rock ; à chaque chapitre, une chanson introduit un chapitre et apporte un plus au récit. Je recommande « Si on dansait » à chaque curieux petit ou grand amateur de musique. Dans nos vies, il arrive de rencontrer des hommes et femmes animés par le feu ardent d’une passion. Frank est l’une de ces personnes, il est tellement féru de musique qu’il donne l’envie de se plonger à corps perdu dans cette même passion ! Frank est un vieux garçon, électrisé par la musique il ne jure que par le son des 33 et 45 tours, sa boutique fait le bonheur de son quartier et de ses clients. Plusieurs représentants de disque se présentent à lui, afin de lui faire prendre conscience que les disques vinyles vivent leurs derniers instants, nous sommes alors en 1988. Frank ne veut rien entendre, les vinyles sont sacrés pour lui, le son de ces disques est unique et ne peut être comparable à un nouveau CD. Le super pouvoir de Frank est de trouver la musique dont vous avez besoin, lorsque vous poussez la porte de son magasin, il trouve la musique qui soignera une blessure, un sentiment de peur ou l’envie de retrouver un être aimé. Ses clients lui parlent parfois d’un air de musique vaguement entendu et BINGO Frank retrouve le titre tant recherché en quelques minutes. Un jour une cliente, Lisa Brauckmann rentre dans...
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  • LaVieenLivresdeFrancoise 24/08/2022
    J'avais découvert Rachel Joyce via son roman "La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi..." et j'ai eu envie d'approfondir son univers. Le titre "Si on dansait" n'est pas révélateur de l'histoire, on n'y danse pas, on y écoute de la musique ou plutôt on apprend à l'écouter via 1001 anecdotes sur les compositeurs et leurs titres, qu'ils aillent de Aretha Franklin à Vivaldi, Bach, les Beatles, Beethoven, les Beach Boys, Duke Ellington... On découvre tout cela avec bonheur grâce à Franck, propriétaire de son magasin de disques vinyle dans Unity Street. Franck qui vit pour la musique, dont la maman, Peg, l'a abreuvé de mille anecdotes depuis sa plus tendre enfance. S'allonger sur le sol, placer religieusement le disque vinyle sur le tourne disque, et écouter, tout ce qui transparaît à travers la musique. Franck a ce don de découvrir quelle musique fera du bien au coeur et à l'âme des gens. C'est un pourvoyeur de bonheur qui pense aux autres avant de penser à lui. Vous rentrez pour du Chopin dans sa boutique? Vous ressortez avec Aretha Franklin avec le sentiment d'avoir été compris, aidé, percé à jour et cela vous fait sacrément du bien au coeur! Franck, fervent défenseur du vinyle contre les CD qui font leur apparition. Chaque chanson, chaque morceau, chaque titre raconté est un vrai bonheur! Autour de lui vaquent les habitants de Unity Street, une tatoueuse, un assistant gaffeur, un prêtre à la retraite, deux croquemorts jumeaux, un boulanger.. Tout ce petit monde porte bien la bannière du nom de sa rue parce que dans ce quartier abandonné, un peu malfamé de Londres, on est unis, on s'entraide, on forme une communauté, on est une grande famille. Malgré quelques longueurs, j'ai aimé toute l'humanité qui se dégage de ce roman! Toute la bienveillance, l'entraide, la chaleur humaine. On n'a parfois pas grand sou en poche mais quelqu'un qui vous tend la main, qui vous écoute, ça vaut tout l'or du monde. Franck et ses amis vont vivre diverses péripéties que vous découvrirez au fil de l'histoire, rencontrer Lisa, cette mystérieuse dame au manteau vert, et vous feront croire que oui, il est encore possible que ce genre de boutiques, que ce genre d'humains, que ce genre de rues existent de par le monde. Quant au final de l'histoire, grandiose, l'émotion est vraiment au rendez vous! Une belle lecture qui sort des sentiers battus et qui est un mélange doux amer de sensibilité, d'humour, d'humanité, d'émotion à fleur de peau, de bienveillance, un patchwork de la vie tout simplement... 🙏J'avais découvert Rachel Joyce via son roman "La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi..." et j'ai eu envie d'approfondir son univers. Le titre "Si on dansait" n'est pas révélateur de l'histoire, on n'y danse pas, on y écoute de la musique ou plutôt on apprend à l'écouter via 1001 anecdotes sur les compositeurs et leurs titres, qu'ils aillent de Aretha Franklin à Vivaldi, Bach, les Beatles, Beethoven, les Beach Boys, Duke Ellington... On découvre tout cela avec bonheur grâce à Franck, propriétaire de son magasin de disques vinyle dans Unity Street. Franck qui vit pour la musique, dont la maman, Peg, l'a abreuvé de mille anecdotes depuis sa plus tendre enfance. S'allonger sur le sol, placer religieusement le disque vinyle sur le tourne disque, et écouter, tout ce qui transparaît à travers la musique. Franck a ce don de découvrir quelle musique fera du bien au coeur et à l'âme des gens. C'est un pourvoyeur de bonheur qui pense aux autres avant de penser à lui. Vous rentrez pour du Chopin dans sa boutique? Vous ressortez avec Aretha Franklin avec le sentiment d'avoir été compris, aidé, percé à jour et cela vous fait sacrément du...
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  • Bibiofeel 05/03/2022
    Un roman joliment écrit et constellé de morceaux de musique de grands compositeurs de tous styles. Les personnages sont attachants. Un récit enrichissant, vivifiant, divertissant. " La musique, c'est une histoire de silence. La musique sort du silence et elle y retourne toujours. C'est un voyage. " " Le jazz, c'est une histoire d'entre les notes. C'est ce qui se passe quand vous écoutez vos silences et vos fêlures. Car c'est là que les choses arrivent, quand vous avez le courage de sauter sans filet de sécurité. "
  • Derfuchs 17/11/2019
    Si on dansait, le titre est tout à fait inapproprié car on ne danse pas dans ce bouquin, rien, jamais, pas un paso, pas un tango, pas de pas de danse, en revanche de la musique il y en a, plein de musique et, alors, on chante! C'est mieux de chanter l'Alleluia du Messie de Haendel plutôt que de le danser, si, quand même! Frank est disquaire dans une petite rue d'une ville, Unity street, la rue de l'unité qui donne dans High street, la grande rue, là où se passe la vie dense et intense. Dans l'unité quelques commerces de gens qui se connaissent bien, qui se soutiennent contre les gros de la grande rue. Il y a aussi une tatoueuse, amoureuse de Frank, une ancien prêtre en retraite vendeur d'objets religieux, un boulanger, des jumeaux croque-morts et un bistrot où chacun échoue seul ou en groupe pour partager sa solitude. Frank vend des vinyles, que des vinyles, pas de CD, c'est pas de la musique les CD's. Il est aidé par un jeunot, Kit qui range les disques que Frank dérange ayant son propre classement. Frank a ouvert sa boutique quand Peg, sa mère est morte. Peg lui a appris tout ce que l'on peut savoir sur la musique, toute la musique tous genres confondus, sacré, baroque, moderne, jazz, rock, etc. Les yeux de Bach, les silences de Beethoven et beaucoup d'autres anecdotes qui s'accompagnent d'un disque écouté sur la "dansette". Franck a un talent, il sait quelle musique va avec qui, ainsi quand tel client vient choisir un disque et qu'il déclare n'aimer que Chopin, Frank le regarde et lui choisit un vinyle d'Aretha Franklin. Ebloui, le client ne jure plus que par Aretha et achète tous ses disques. Lisa est une jolie dame qui vient voir le disquaire. En apercevant Frank elle tombe en pâmoison, coup de foudre, elle s'écroule sur le trottoir. Réveillée elle s'enfuit oubliant son sac. Elle repassera, c'est sûr. A force de non-dits, ces deux là, fait l'un pour l'autre, enfermés dans leurs secrets, vont se défaire avant que de s'être connus. A qui la faute, Lisa qui a trop parlé, Frank pas assez ? Un peu des deux certainement et la route destinée à être parallèle, s'écartera pour les perdre. Définitivement ? Ce livre est extrêmement rafraîchissant, quatre actes, pardon quatre faces A,B,C et D qui se tiennent bien dans ce lieu utopique où rester soudés ne sera pas suffisant pour arrêter le rouleau compresseur des promoteurs. J'ai beaucoup appris sur les compositeurs, les musiciens et les interprètes avec ces chapitres intercalés dans le récit où maman Peg raconte la/sa musique. Il y a une ambiance très sympathique et la prose de Joyce est vraiment chantante, elle est pénétrante, parfois envoutante quand Peg dit le fait du Beata viscera de Pérotin ou le King of blue de Miles Davis. Un voyage en musique et en amitié réjouissant. Le final est un feu d'artifice. La playlist de Peg se trouve à la fin du bouquin. Si on dansait, le titre est tout à fait inapproprié car on ne danse pas dans ce bouquin, rien, jamais, pas un paso, pas un tango, pas de pas de danse, en revanche de la musique il y en a, plein de musique et, alors, on chante! C'est mieux de chanter l'Alleluia du Messie de Haendel plutôt que de le danser, si, quand même! Frank est disquaire dans une petite rue d'une ville, Unity street, la rue de l'unité qui donne dans High street, la grande rue, là où se passe la vie dense et intense. Dans l'unité quelques commerces de gens qui se connaissent bien, qui se soutiennent contre les gros de la grande rue. Il y a aussi une tatoueuse, amoureuse de Frank, une ancien prêtre en retraite vendeur d'objets religieux, un boulanger, des jumeaux croque-morts et un bistrot où chacun échoue seul ou en groupe pour partager sa solitude. Frank vend des vinyles, que des vinyles, pas de CD, c'est pas de la musique les CD's. Il est aidé par un jeunot, Kit qui range les disques que Frank dérange ayant son propre classement. Frank a ouvert sa boutique quand Peg, sa mère est morte. Peg lui a appris...
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  • jelismesenvies 06/11/2019
    Envie de musique, de passion, de douceur ? Ce roman est fait pour vous. Voici ma dernière lecture. Un roman tout en douceur où l'on suit Frank, un disquaire à la fin des années 80. Passionné de vinyles, il se fait la promesse de ne jamais renoncer à en vendre. Il n'a pas voulu des cassettes alors il ne veut encore moins des CD. Sa vie, ce sont les vinyles. Le seul moyen de ressentir la musique, comme sa mère Peg l'a initié. Il fait parti d'une communauté, celle de Unity Street. Tout le monde se connait. Les voisins, les commerçants, une seconde famille. Frank a la réputation de soigner les maux, il vous écoute et son diagnostic musical sera à coup sûr le bon ! Il est touchant, attachant, le coeur sur la main ! Je pense aussi à son assistant très maladroit, Kit, qui vous fera sourire sans peine. Et puis un jour, une femme s'évanouit devant sa boutique. Lisa Brauchmann. Mystérieuse, un passé qu'elle ne dévoile pas, son manteau vert toujours sur le dos accompagné de ses gants. Lisa est imprévisible, on ne sait jamais quand elle va apparaître, cela la rend à mon avis un peu agaçante. Mais Frank ne serait pas d'accord avec moi, son âme a été emportée par les yeux couleur vinyle de la belle. Le livre est divisé en 4 faces, toutes très fluides, je n'ai pas senti de longueurs et j'ai particulièrement apprécié la face finale !Envie de musique, de passion, de douceur ? Ce roman est fait pour vous. Voici ma dernière lecture. Un roman tout en douceur où l'on suit Frank, un disquaire à la fin des années 80. Passionné de vinyles, il se fait la promesse de ne jamais renoncer à en vendre. Il n'a pas voulu des cassettes alors il ne veut encore moins des CD. Sa vie, ce sont les vinyles. Le seul moyen de ressentir la musique, comme sa mère Peg l'a initié. Il fait parti d'une communauté, celle de Unity Street. Tout le monde se connait. Les voisins, les commerçants, une seconde famille. Frank a la réputation de soigner les maux, il vous écoute et son diagnostic musical sera à coup sûr le bon ! Il est touchant, attachant, le coeur sur la main ! Je pense aussi à son assistant très maladroit, Kit, qui vous fera sourire sans peine. Et puis un jour, une femme s'évanouit devant sa boutique. Lisa Brauchmann. Mystérieuse, un passé qu'elle ne dévoile pas, son manteau vert toujours sur le dos accompagné de ses gants. Lisa est imprévisible, on ne sait jamais quand elle va apparaître, cela la rend à mon avis un peu agaçante. Mais Frank ne serait...
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