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Trilogie de Helsinki – Tome 1 – Le plus petit dénominateur commun
Sébastien CAGNOLI (traduit par)
Date de parution : 11/01/2024
Éditeurs :
Robert Laffont

Trilogie de Helsinki – Tome 1 – Le plus petit dénominateur commun

Sébastien CAGNOLI (traduit par)
Date de parution : 11/01/2024
Iconique en Finlande, l'autrice Pirkko Saisio nous offre un récit sensible, un texte contemporain aux allures de classique.
 
Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu’elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît... Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu’elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît sous un jour nouveau, comme repeinte dans une teinte étrange. De sa maison d’enfance à l’hôpital et la morgue, Le... Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu’elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît sous un jour nouveau, comme repeinte dans une teinte étrange. De sa maison d’enfance à l’hôpital et la morgue, Le plus petit dénominateur commun est le récit de cette femme et de la petite fille enfouie en elle : une petite fille qui a toujours voulu être un garçon, racontant sa propre histoire à la troisième personne.
Ce récit fragmenté qui interroge l’identité, la sexualité, le rapport au monde, est le premier volet d’une trilogie autofictionnelle dans laquelle on peut voir Helsinki, en toile de fond, évoluer au fil des décennies.

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" Si vous avez aimé Deborah Levy, vous adorerez Pirko Saiso. Elle a le même art que Deborah Levy pour nous rendre son monde étrangement familier. On a la sensation de faire la connaissance d’une amie, dans cette Finlande des année 50-60 communiste. Elle raconte  son histoire à hauteur d’enfant et ensuite elle donne le point de vue d’adulte, il y a donc un dédoublement de la narration et en même temps c’est extrêmement fluide.
On fait la connaissance d’une amie, mais surtout d’une écrivaine qui a un style poétique, lumineux, imagé : c’est magnifique !"
Elisabeth Philippe, Le Masque et la plume
 
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EAN : 9782221263068
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221263068
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Vivrelivre 11/02/2024
    Merci à la Masse Critique de Babelio et à Robert Laffont pour m'avoir permis de lire ce livre et de découvrir davantage la littérature finlandaise que je ne connais que trop peu. Premier volet d'une trilogie dans laquelle elle se raconte, Pirkko nous fait ici deux récits. Son enfance jusqu'à ses dix-douze ans en tant qu'enfant unique dans une famille athée et politisée avec l'adhésion au Finlande-URSS, le contexte social et sociétal d'alors, les avancées technologiques, les étés passés chez Papi et Mamie et la perception qu'elle a d'eux et de leurs caractères comme de leur quotidien, la relation à sa mère, aimante, à son père, plus distante, puis son entrée à l'école, dans différentes écoles. Le tout avec ses observations à hauteur d'enfant et ses remarques d'une maturité toute candide et juvénile. Et la genèse de ce récit suite à la mort de son père dont on découvre les derniers jours. Les deux s'entremêlent sans que le passage de l'un à l'autre soit toujours marqué. Pirrko dit "je" quand elle est dans l'action et "elle" quand est en réflexion. Il n'est d'ailleurs pas toujours aisé de toujours savoir à qui renvoie ce "elle" car il y a tant d'autres "elles" qui gravitent autour d'elle. Elle s'interroge sur l'identité, sur ce qui la forme, et sur le genre, répétant souvent qu'elle voudrait être un garçon, et tout en observant les hommes et les femmes et ce qui les distinguent ou non. La forme qu'elle donne à son roman, à sa narration, est intéressante. Des sauts de ligne après le premier mot de la phrase font comme des respirations avant de clamer la phrase, l'idée, comme s'il fallait prendre ou avoir du courage. Un premier volet qui sera suivi des deux autres (quand ils paraîtront) car la dénomination de "grande gueule de Helsinki" de la 4e de couverture qui décrit son autrice m'interroge beaucoup! et il me semble que la vie de Pirkko a dû être très haute en couleurs!Merci à la Masse Critique de Babelio et à Robert Laffont pour m'avoir permis de lire ce livre et de découvrir davantage la littérature finlandaise que je ne connais que trop peu. Premier volet d'une trilogie dans laquelle elle se raconte, Pirkko nous fait ici deux récits. Son enfance jusqu'à ses dix-douze ans en tant qu'enfant unique dans une famille athée et politisée avec l'adhésion au Finlande-URSS, le contexte social et sociétal d'alors, les avancées technologiques, les étés passés chez Papi et Mamie et la perception qu'elle a d'eux et de leurs caractères comme de leur quotidien, la relation à sa mère, aimante, à son père, plus distante, puis son entrée à l'école, dans différentes écoles. Le tout avec ses observations à hauteur d'enfant et ses remarques d'une maturité toute candide et juvénile. Et la genèse de ce récit suite à la mort de son père dont on découvre les derniers jours. Les deux s'entremêlent sans que le passage de l'un à l'autre soit toujours marqué. Pirrko dit "je" quand elle est dans l'action et "elle" quand est en réflexion. Il n'est d'ailleurs pas toujours aisé de toujours savoir à qui renvoie ce "elle" car il y a tant d'autres "elles" qui gravitent...
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