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La maison des miroirs
Didier Sénécal (traduit par)
Date de parution : 13/06/2013
Éditeurs :
12-21

La maison des miroirs

Didier Sénécal (traduit par)
Date de parution : 13/06/2013

Quelques meubles minables. Une odeur infecte. Aux murs, des miroirs, et encore des miroirs. Ici, il y a vingt ans, John Grady a tué quatre enfants. Ce n’est plus une...

Quelques meubles minables. Une odeur infecte. Aux murs, des miroirs, et encore des miroirs. Ici, il y a vingt ans, John Grady a tué quatre enfants. Ce n’est plus une maison, c’est un tombeau.
Et quelque chose y demeure, qui ne demande qu’à ressurgir. Chargé de surveiller cet endroit sinistre,...

Quelques meubles minables. Une odeur infecte. Aux murs, des miroirs, et encore des miroirs. Ici, il y a vingt ans, John Grady a tué quatre enfants. Ce n’est plus une maison, c’est un tombeau.
Et quelque chose y demeure, qui ne demande qu’à ressurgir. Chargé de surveiller cet endroit sinistre, Charlie Parker scrute les ombres… Il n’est pas seul : dehors, un homme étrange attend de recouvrir une dette. Le « Collectionneur ».
Et si le pire était à chercher de l’autre côté des miroirs ?

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EAN : 9782823809176
Code sériel : 15336
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823809176
Code sériel : 15336
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Onparlelecture 09/05/2022
    Vendredi alors qu'une visite à la librairie était prévue le lendemain afin de me procurer le nouveau roman de Franck Thilliez et que je n'avais plus de lecture en cours, j'ai cherché dans ma PAL, un livre court que je puisse lire en quelques heures. C'est exactement ce que j'ai trouvé avec « la maison des miroirs » de John Connoly. Un roman court d'environ 160 pages où thriller et fantastique se mélangent. Un livre qui, si j'ai bien compris, fait partie d'une série, que je n'ai pas lu mais cela ne m'a aucunement dérangé. Une histoire un peu trop courte pour que je puisse réellement m'attacher aux personnages même si j'ai apprécié celui de Charlie Parker qui nous offre de sacrées réparties. L'intrigue en elle-même est très bonne et a réussi à maintenir éveillé mon intérêt tout au long de ma lecture grace à une bonne dose de suspense. L'ambiance est pesante comme je les aime et l'angoisse est au rendez-vous. Seul bémol, j'aurais apprécié qu'il y ait des pages supplémentaires afin de ne pas avoir cette sensation où le dénouement est bien trop rapide et où des questions restent sans réponses. Malgré tout ce texte m'a permis de découvrir la plume fluide de cet auteur et je pense que je renouvellerais l'expérience. En résumé, c'est un thriller sympa même si j'aurais aimé un dénouement plus travaillé. Vendredi alors qu'une visite à la librairie était prévue le lendemain afin de me procurer le nouveau roman de Franck Thilliez et que je n'avais plus de lecture en cours, j'ai cherché dans ma PAL, un livre court que je puisse lire en quelques heures. C'est exactement ce que j'ai trouvé avec « la maison des miroirs » de John Connoly. Un roman court d'environ 160 pages où thriller et fantastique se mélangent. Un livre qui, si j'ai bien compris, fait partie d'une série, que je n'ai pas lu mais cela ne m'a aucunement dérangé. Une histoire un peu trop courte pour que je puisse réellement m'attacher aux personnages même si j'ai apprécié celui de Charlie Parker qui nous offre de sacrées réparties. L'intrigue en elle-même est très bonne et a réussi à maintenir éveillé mon intérêt tout au long de ma lecture grace à une bonne dose de suspense. L'ambiance est pesante comme je les aime et l'angoisse est au rendez-vous. Seul bémol, j'aurais apprécié qu'il y ait des pages supplémentaires afin de ne pas avoir cette sensation où le dénouement est bien trop rapide et où des questions restent sans réponses. Malgré tout ce texte m'a permis de découvrir...
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  • Crazynath 31/07/2021
    J’ai terminé il y a très peu de temps le quatrième tome de la série « Charlie Parker » de l’auteur irlandais John Connolly. J’avoue que c’est presque par hasard que je me suis lancée aussi vite dans la lecture du tome suivant. La raison en est toute simple. En rangeant mes livres dans ma bibliothèque ( fort encombrée d’ailleurs ma bibliothèque ), j’ai été intriguée par le format de ce tome. En effet, « La maison des miroirs » est un livre tout mince, à peine doté de 160 pages. Je n’ai pas pu m’empêcher de lire la préface ou l’auteur explique l’histoire de ce livre, qui était d’abord paru dans un recueil de nouvelles. Et après, comment dire, je n’ai pas arrêté de tourner les pages… Petit par la taille, mais intense par son contenu, ce livre se lit d’une seule traite. L’intérêt du lecteur est tout de suite mis en appétit en découvrant la sinistre histoire de Grady et de sa maison. Dans la maison au miroir, John Connolly a réussi à équilibrer de manière absolument parfaite (selon mes critères) le fantastique et l’enquête de Bird alias Charlie Parker. Une histoire courte, que j’ai beaucoup appréciée, d’autant plus que malgré sa brièveté, j’ai comme d’habitude, eu le plaisir de retrouver mes deux personnages préférés dans cette série : je parle bien sûr du duo composé de Angel et Louis. Challenge Séries 2021 Challenge Mauvais Genres 2021 J’ai terminé il y a très peu de temps le quatrième tome de la série « Charlie Parker » de l’auteur irlandais John Connolly. J’avoue que c’est presque par hasard que je me suis lancée aussi vite dans la lecture du tome suivant. La raison en est toute simple. En rangeant mes livres dans ma bibliothèque ( fort encombrée d’ailleurs ma bibliothèque ), j’ai été intriguée par le format de ce tome. En effet, « La maison des miroirs » est un livre tout mince, à peine doté de 160 pages. Je n’ai pas pu m’empêcher de lire la préface ou l’auteur explique l’histoire de ce livre, qui était d’abord paru dans un recueil de nouvelles. Et après, comment dire, je n’ai pas arrêté de tourner les pages… Petit par la taille, mais intense par son contenu, ce livre se lit d’une seule traite. L’intérêt du lecteur est tout de suite mis en appétit en découvrant la sinistre histoire de Grady et de sa maison. Dans la maison au miroir, John Connolly a réussi à équilibrer de manière absolument parfaite (selon mes critères) le fantastique et l’enquête de Bird alias Charlie Parker. Une histoire courte, que j’ai beaucoup appréciée, d’autant plus que malgré sa...
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  • titiseb77 18/03/2020
    J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre et l'écriture de cet auteur que je découvre avec ce court roman. Charlie Parker, ancien policier, reconverti en détective privé, comme dans beaucoup de livre de ce genre, est appelé par le père d'une victime d'un serial-killer, pour enquêter. En effet, ce père, meurtri par le meurtre de sa fille, a décidé d'acheter la maison de John Grady, l'homme qui a tué sa fille et bien d'autres enfants, et qui est le lieu où les meurtres ont été commis. Le père a trouvé à l'intérieur de la maison la photo d'une fillette, alors que la maison n'a pas été fracturée, ce qui veut dire que la personne qui a mis cette photo, a réussi à rentrer grâce à un trousseau de clés. Commence une enquête dans cette étrange maison, qui sent mauvais, qui est remplie de miroirs et qui donne très rapidement la nausée. Je pense que les actualités du moment, m'ont empêchée de vraiment plus apprécié ce livre, mais j'ai malgré tout, passé un très bon moment de lecture et je me note le nom de cet auteur, qui a réussi à me séduire dès les premières pages.
  • SeriaLectrice_ 02/11/2019
    Contrairement au premier John Connoly que j'ai lu, j'ai adoré celui-ci ! Un mélange de fantastique et de polar. C'est superbement écrit. On retrouve le même enquêteur que dans l'empreinte des amants, Charlie Parker. Il se retrouve à enquêter au sujet d'une photo laissée dans l'ancienne maison d'un meurtrier d'enfant. Cela ne laisse rien de bon à présager. Suspense, peur et angoisse sont au rendez-vous !
  • Pat0212 12/05/2018
    Ce petit bijou n’est pas la dernière aventures de Charlie Parker, mais se situe bien plus tôt. A l’origine, ce texte faisait partie d’un recueil de nouvelles fantastiques commandées par la BBC en 2003, comme l’explique Connolly dans la préface. A ce moment il avait déjà écrit cinq romans, mais ne savait pas vraiment comment développer son écriture et son personnage. L’écriture de ce recueil lui permet de faire évoluer Charlie Parker. Désormais son personnage fétiche vivra dans un univers teinté de fantastique, ce qui est tout à fait inhabituel pour des énigmes policières. On assiste en quelque sorte à la genèse de ce personnage récurrent. Comme il s’agit d’un texte court. il est difficile d’en parler sans lui ôter tout son suspense. On apprend que Charlie a perdu sa première femme et leur fille qui ont été assassinées. Là il s’est remarié avec Rachel et leur bébé est sur le point de naître. Charlie est détective privé et un homme dont la fille a été autrefois tuée l’engage pour surveiller une vieille bicoque au fond des bois. Il ne s’agit pas de n’importe quelle baraque, mais celle de John Grady, le tueur d’enfant qui a assassiné Louise et d’autres fillettes. Il désire la conserver comme un monument à la mémoire des victimes, mais il l’a barricadée pour empêcher le tourisme macabre. L’homme va l’inspecter de temps à autre pour s’assurer que personne n’y est entré. Lors de sa dernière visite, il a trouvé une photo de petite fille dans le séjour et craint que cette enfant inconnue ne soit en danger. La police locale ne l’a pas pris au sérieux, aussi s’adresse-t’il à Charlie Parker pour élucider ce mystère. Ce roman est court, mais très dense. On frissonne en le lisant et on préfère être chez soi qu’au fond d’un bois. L’atmosphère est inquiétante et très réussie. On est dans un thriller et le fantastique reste discret. On peut interpréter l’évènement central de la nouvelle comme fantastique s’il se passe vraiment comme il est décrit, mais ce pourrait aussi être juste l’imagination de Charlie qui lui joue des tours face à la pression. L’histoire se passe dans le Maine, qui est aussi le terroir de prédilection de Stephen King. Ce texte est très agréable à lire, inquiétant à souhait et plein d’humour, un vrai régal. Le seul reproche qu’on peut lui faire est sa brièveté, on aimerait que ce délicieux roman ne se termine pas si vite. Et je parie que vous ne regarderez plus dans les miroirs de la même façon après cette lecture. Ce petit bijou n’est pas la dernière aventures de Charlie Parker, mais se situe bien plus tôt. A l’origine, ce texte faisait partie d’un recueil de nouvelles fantastiques commandées par la BBC en 2003, comme l’explique Connolly dans la préface. A ce moment il avait déjà écrit cinq romans, mais ne savait pas vraiment comment développer son écriture et son personnage. L’écriture de ce recueil lui permet de faire évoluer Charlie Parker. Désormais son personnage fétiche vivra dans un univers teinté de fantastique, ce qui est tout à fait inhabituel pour des énigmes policières. On assiste en quelque sorte à la genèse de ce personnage récurrent. Comme il s’agit d’un texte court. il est difficile d’en parler sans lui ôter tout son suspense. On apprend que Charlie a perdu sa première femme et leur fille qui ont été assassinées. Là il s’est remarié avec Rachel et leur bébé est sur le point de naître. Charlie est détective privé et un homme dont la fille a été autrefois tuée l’engage pour surveiller une vieille bicoque au fond des bois. Il ne s’agit pas de n’importe quelle baraque, mais celle de John Grady, le tueur d’enfant qui a assassiné Louise et d’autres fillettes....
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