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Dans le miroir du Caravage
Chantal Moiroud (traduit par)
Date de parution : 19/10/2017
Éditeurs :
Pocket

Dans le miroir du Caravage

Chantal Moiroud (traduit par)
Date de parution : 19/10/2017
Rome, 1604. Dans un monde de ténèbres, la lumière est l’exception. Ainsi parle Michele Merisi, dit le Caravage, dont le clair-obscur a fait la gloire. Et des jaloux. Le peintre... Rome, 1604. Dans un monde de ténèbres, la lumière est l’exception. Ainsi parle Michele Merisi, dit le Caravage, dont le clair-obscur a fait la gloire. Et des jaloux. Le peintre aime les bas-fonds de la ville éternelle, ses hommes et ses femmes de l’ombre, débauchés et courtisanes, dont il fait,... Rome, 1604. Dans un monde de ténèbres, la lumière est l’exception. Ainsi parle Michele Merisi, dit le Caravage, dont le clair-obscur a fait la gloire. Et des jaloux. Le peintre aime les bas-fonds de la ville éternelle, ses hommes et ses femmes de l’ombre, débauchés et courtisanes, dont il fait, par son génie, des apôtres et des madones. L’assassinat de l’une d’elles, Annuccia, qui a jadis posé pour lui, le bouleverse au point d’enquêter sur sa mort. Il ignore que cette quête de vérité l’amènera au scandale, à l’exil, à la mort et à la résurrection.
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EAN : 9782266277570
Code sériel : 17012
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266277570
Code sériel : 17012
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Fioretti part des nombreuses hypothèses historiques qui ont conduit Le Caravage à peindre ses chefs-d'œuvre, il dévoile les mystères de la cour – et l'Église n'est pas en reste – dépoussière les personnages qui ont réellement existé et laisse libre cours à son imagination jusqu'au final éblouissant. » La Stampa

« Ce livre est d'une grande rigueur historique et habileté romanesque comme si Le Caravage était toujours derrière son chevalet. » journallamarne.fr

« À la fois intrigue policière dans une Rome en perdition et récit historique sur la vie du Caravage, le dernier roman de Francesco Fioretti est une œuvre à double entrée qui dresse en toile de fond un tableau détaillé de l'Italie de 1605 dans ce qu'elle a d'ombres et de lumières. » L'Oeil – James Benoit
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Scopa 31/05/2022
    Michele Merisi dit le Caravage est un peintre de la fin du XVIème siècle qui le premier a cherché à peindre le réel, ce qu’il voyait sans ajouter des fioritures tels des angelots et l’éclat du soleil, des enjolivements visant à détourner le spectateur du véridique. Pour cela il a beaucoup été critiqué par ses homologues, car éloigné des canons de la peinture de son époque, bien que couru par les vrais amateurs d’art de son temps. D’un caractère entier, ne goutant pas le compromis, ni les flatteries et renoncements utiles afin de se faire bien voir, sa vie a été bien mouvementée. Il fut le premier à utiliser la lumière détournée pour accroître le langage des corps et, fait abstraction du décor, se limitant à l’essentiel. Dans le Rome de cette époque, la vie est troublée par les soubresauts politiques du saint siège et les maints conflits de la myriade petits royaumes italiens. La vie est difficile, la prostitution s’empare de la ville. La police est faite par des factions rivales cherchant du pouvoir et à s’enrichir : le clientélisme est roi dans la ville. Les prostituées sont les modèles des peintres, le Caravage ne fait pas exception à la règle. Son modèle favori dont il est amoureux est assassiné, la recherche du coupable lui coûtera sa position dans Rome et le plus mystérieux des exils. Michele Merisi dit le Caravage est un peintre de la fin du XVIème siècle qui le premier a cherché à peindre le réel, ce qu’il voyait sans ajouter des fioritures tels des angelots et l’éclat du soleil, des enjolivements visant à détourner le spectateur du véridique. Pour cela il a beaucoup été critiqué par ses homologues, car éloigné des canons de la peinture de son époque, bien que couru par les vrais amateurs d’art de son temps. D’un caractère entier, ne goutant pas le compromis, ni les flatteries et renoncements utiles afin de se faire bien voir, sa vie a été bien mouvementée. Il fut le premier à utiliser la lumière détournée pour accroître le langage des corps et, fait abstraction du décor, se limitant à l’essentiel. Dans le Rome de cette époque, la vie est troublée par les soubresauts politiques du saint siège et les maints conflits de la myriade petits royaumes italiens. La vie est difficile, la prostitution s’empare de la ville. La police est faite par des factions rivales cherchant du pouvoir et à s’enrichir : le clientélisme est roi dans la ville. Les prostituées sont les modèles des peintres, le Caravage ne fait pas exception à la règle....
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  • AugustineBarthelemy 05/08/2018
    Dans le miroir du Caravage se présente comme un roman policier, qui nous permet de suivre au plus près le maître du clair-obscur. Le meurtre d’Annuncia, courtisane et modèle favori du Caravage, mais aussi la femme qu’il a aimé, est le prétexte pour suivre la vie de Michelangelo Merisi pendant sa période romaine, celle qui lui apporta son succès et déclencha les jalousies, notamment celle du peintre Giovanni Baglione, détracteur virulent et particulièrement tenace qui lui forgea durablement une réputation horrible à travers son livre Le vite de pittori, scultori e architetti. Jalousies et rivalités qui provoquèrent finalement sa chute malgré le soutien de ces deux mécènes, le cardinal Del Monte et le banquier Giustiniani, et le condamnèrent à l’exil. Le récit alterne entre deux point de vues, un regard externe, par un narrateur inconnu, et un regard interne, intime, qui nous plonge directement dans la tête du Caravage. Ces moments sont l’occasion de saisir la personnalité ombrageuse et tourmentée du peintre tout autant qu’une invitation à partager le secret de son atelier, découvrir ses méthodes de travail, de préparation des toiles, et ses techniques picturales. Ces « confidences » offrent surtout des guides de lecture de ses œuvres les plus marquantes. L’attention du lecteur est souvent attirée sur un détail, un élément du tableau, qui apporte un éclairage singulier sur ces célèbres toiles et permet de comprendre les Idées, souvent subversives au regard de la peinture académique, cachées derrière. Le roman est aussi une magnifique plongée dans la Rome baroque de ce début de XVIIe siècle. Des rues dangereuses, sales et malfamées, peuplées de poivrots, de mercenaires et de prostituées, un monde fait de rixes et de batailles rangées, où personne n’est à l’abri d’un mauvais coup. Un univers interlope dans lequel se fond le Caravage pour y trouver ses saints et ses apôtres. C’est aussi la Rome des papes, centre du catholicisme, celle des luttes de pouvoir entre factions rivales hispanophiles ou francophiles, celle des grandes familles, Farnèse, Borghèse et tant d’autres, qui maquillent leurs vices en vertus, c’est aussi la Rome capitale d’un État dysfonctionnel, à la fiscalité écrasante, qui finance le train de vie, gouffre sans fond, d’un Vatican dominé par des familles qui pensent d’abord à leur enrichissement personnel. C’est d’ailleurs l’occasion de voir Scipion Borghèse, « cardinal par erreur, neveu par profession », tristement célèbre pour avoir construit sa collection d’art par le chantage ou la spoliation d’artistes ou de collectionneurs.Dans le miroir du Caravage se présente comme un roman policier, qui nous permet de suivre au plus près le maître du clair-obscur. Le meurtre d’Annuncia, courtisane et modèle favori du Caravage, mais aussi la femme qu’il a aimé, est le prétexte pour suivre la vie de Michelangelo Merisi pendant sa période romaine, celle qui lui apporta son succès et déclencha les jalousies, notamment celle du peintre Giovanni Baglione, détracteur virulent et particulièrement tenace qui lui forgea durablement une réputation horrible à travers son livre Le vite de pittori, scultori e architetti. Jalousies et rivalités qui provoquèrent finalement sa chute malgré le soutien de ces deux mécènes, le cardinal Del Monte et le banquier Giustiniani, et le condamnèrent à l’exil. Le récit alterne entre deux point de vues, un regard externe, par un narrateur inconnu, et un regard interne, intime, qui nous plonge directement dans la tête du Caravage. Ces moments sont l’occasion de saisir la personnalité ombrageuse et tourmentée du peintre tout autant qu’une invitation à partager le secret de son atelier, découvrir ses méthodes de travail, de préparation des toiles, et ses techniques picturales. Ces « confidences » offrent surtout des guides de lecture de ses œuvres les plus...
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  • Levant 01/04/2018
    Rares sont les personnes qui peuvent rester sur le devant de la scène leur vie durant. Des incertitudes planent sur la biographie du sulfureux Caravage. Les condamnations dont il a été l'objet l'ont contraint à l'exil des états pontificaux. Il y avait pourtant très tôt accédé à la célébrité. Il reste parmi les génies du figuratif de la renaissance italienne. Dans cette gloire du naturalisme, celles et ceux qui ont prêté leur traits aux personnages divins sous le pinceau de l'artiste n'avaient forcément la piété qu'on aurait pu légitimement attendre d'eux. Une prostituée a fait don de sa beauté pour figurer la vierge Morte, l'un des plus célèbres tableaux du Caravage. Aussi, lorsque son modèle est assassiné, le maître se met en quête d'en dénicher l'auteur. le virtuose du clair obscur se fait détective dans des atmosphères tout aussi ténébreuses, desquelles la lumière de la vérité est avare de ses éclats. C'est la part romancée de cette vie du maître qui va permettre à son auteur, Francesco Fioretti, de se hasarder à des hypothèses alternatives sur les traces de son sujet, jusqu'aux circonstances de sa mort dont la version la plus couramment admise reste sujette à caution. Des personnages surexposés sur contexte entretenu dans l'ombre, voila un ouvrage construit comme les tableaux de son sujet. Cela confère à cette lecture un rythme variable, cadencé par l'alternance des narrateurs, puisque le sujet lui-même intervient à la première personne, à fréquence régulière, comme pour rétablir quelques vérités que l'histoire se serait plu à dénaturer. Cet ouvrage restitue fort bien l'atmosphère d'une époque qui n'est pas inondée d'images comme peut l'être la nôtre. Les seules à en porter témoignage sont justement les tableaux de ces génies du figuratif. Gageons que si l'abstrait avait prévalu en ce temps, des pans entiers de la vie des contemporains de cette époque auraient échappé à la connaissance de l'histoire. "L'art du portrait est très dangereux pour un homme comme moi qui peint ce qu'il voit." A cette époque "l'intelligence ne servait pas à grand chose", la culture, comme le reste, est sous la férule du religieux. La violence fait partie du quotidien. Cela n'a certes pas beaucoup changé depuis, mais au XVIIème siècle elle avance à visage découvert. Elle trouve sa légitimité dans des rapports de force que la démocratie n'a pas encore remis en question. Un ouvrage fort bien documenté qui nous ouvre à la personnalité très singulière de cet artiste dont la célébrité est parvenue jusqu'à nous. Rares sont les personnes qui peuvent rester sur le devant de la scène leur vie durant. Des incertitudes planent sur la biographie du sulfureux Caravage. Les condamnations dont il a été l'objet l'ont contraint à l'exil des états pontificaux. Il y avait pourtant très tôt accédé à la célébrité. Il reste parmi les génies du figuratif de la renaissance italienne. Dans cette gloire du naturalisme, celles et ceux qui ont prêté leur traits aux personnages divins sous le pinceau de l'artiste n'avaient forcément la piété qu'on aurait pu légitimement attendre d'eux. Une prostituée a fait don de sa beauté pour figurer la vierge Morte, l'un des plus célèbres tableaux du Caravage. Aussi, lorsque son modèle est assassiné, le maître se met en quête d'en dénicher l'auteur. le virtuose du clair obscur se fait détective dans des atmosphères tout aussi ténébreuses, desquelles la lumière de la vérité est avare de ses éclats. C'est la part romancée de cette vie du maître qui va permettre à son auteur, Francesco Fioretti, de se hasarder à des hypothèses alternatives sur les traces de son sujet, jusqu'aux circonstances de sa mort dont la version la plus couramment admise reste sujette à caution. Des personnages surexposés sur contexte...
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  • Librincanto 01/03/2017
    Francesco Fioretti aborde les dernières années de la vie du Caravage d'une manière inédite et originale : les chapitres débutent tous par une oeuvre du peintre, célèbre notamment pour sa technique du clair-obscur. A partir de la toile ou d'un détail de celle-ci, l'auteur nous emmène dans le quotidien de l'artiste dont la vie est plutôt tourmentée dans la Rome du XVIIème siècle, fortement troublée par les sursauts politiques. Le peintre s'inspire des proches qui l'entourent pour peindre ses œuvres. Et il ne se contente pas de les prendre en modèle (à cette époque, il s'agit de prostituées), il en capte toutes les émotions qu'ils expriment pour mieux les représenter dans les scènes qu'il peint. Et quelle réussite. Mais cette technique réaliste ne plaît pas à tous ses contemporains même si la réputation du peintre n'est plus à prouver. Il gardera malgré tout des soutiens de ses mécènes. Le caractère fougueux et impétueux du peintre lui fera commettre l'irréparable jusqu'à commettre le meurtre d'un de ses proches. Recherché et condamné à mort, il est alors contraint à l'exil et se réfugie à Malte où il perdra la vie. Si j'ai apprécié le caractère singulier de la structure de l'oeuvre et le côté historique, très complet et foisonnant, je suis plus réservée sur les différentes clés de lecture de la fin de la vie du Caravage (aucune hypothèse n'étant attestée par les historiens, Francesco Fioretti s'est appuyé sur les différentes biographies rédigées sur l'artiste). Dans le miroir du Caravage est un ouvrage qui permet de redécouvrir les œuvres du Caravage et invite le lecteur/spectateur à s'arrêter sur les détails, lui rappelant les clés des codes picturaux de l'époque. Francesco Fioretti aborde les dernières années de la vie du Caravage d'une manière inédite et originale : les chapitres débutent tous par une oeuvre du peintre, célèbre notamment pour sa technique du clair-obscur. A partir de la toile ou d'un détail de celle-ci, l'auteur nous emmène dans le quotidien de l'artiste dont la vie est plutôt tourmentée dans la Rome du XVIIème siècle, fortement troublée par les sursauts politiques. Le peintre s'inspire des proches qui l'entourent pour peindre ses œuvres. Et il ne se contente pas de les prendre en modèle (à cette époque, il s'agit de prostituées), il en capte toutes les émotions qu'ils expriment pour mieux les représenter dans les scènes qu'il peint. Et quelle réussite. Mais cette technique réaliste ne plaît pas à tous ses contemporains même si la réputation du peintre n'est plus à prouver. Il gardera malgré tout des soutiens de ses mécènes. Le caractère fougueux et impétueux du peintre lui fera commettre l'irréparable jusqu'à commettre le meurtre d'un de ses proches. Recherché et condamné à mort, il est alors contraint à l'exil et se réfugie à Malte où il perdra la vie. Si j'ai apprécié le caractère singulier de la structure de l'oeuvre et...
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  • Le_zeppelivre 16/11/2016
    Je tiens d'abord à remercier les éditions HC qui m'ont fait parvenir ce roman en partenariat. Un grand merci pour leur confiance ! Le mélange entre histoire et enquête est souvent savoureux : lancez vous sur la piste du meurtrier tout en parcourant une époque révolue, pleine de charmes et de noirceurs ! Mais quand c'est un personnage historique (en l’occurrence, un peintre) qui vous raconte l'histoire, c'est encore mieux. Ce livre double est à la fois un roman sur le peintre et une intrigue policière : Le Caravage enquête sur des meurtres de prostituées qui semblent liés. Le fil directeur reste la biographie de l'artiste, auquel viennent se greffer des éléments de fiction. Cette enquête s'avère pleine de rebondissements et de révélations, enchevêtrées avec des passages davantage centrées sur Le Caravage et sa peinture. Mélange habile de fiction et de biographie, c'est aussi un tableau très précis de la vie à Rome en 1605. Le contexte historique y est retranscrit avec force détails : l'opposition entre francophiles et hispanophiles, le règne des cardinaux, les dures règles de l'Académie des Arts... On apprend beaucoup. C'est en effet une lecture dense : même si l'intrigue policière vient apporter du rythme, les nombreux détails historiques sont assez lourds. Pas le genre de livre dont vous lisez quelques pages dans votre lit pour vous détendre avant de dormir. J'ai aimé ce personnage de peintre enquêteur, parce qu'il donne une image nouvelle de l'artiste. Même s'il est violent, colérique et tourmenté, voir le récit de son point de vue et partager ses pensées sur son époque et la peinture étaient passionnants. Malheureusement, les personnages secondaires étaient bien plus ternes. Le livre comprend des reproductions des tableaux du Caravage en couleurs. Autant dire que ça en fait un très bel objet livre, et quand on est amateur d'art, c'est un régal. Ce que j'ai préféré, c'est justement découvrir ce qui se cache derrière les tableaux du Caravage, que ce soit romancé ou non. Qui est ce personnage, qui se tient dans l'ombre au dernier plan ? Pourquoi est-il placé dans ce tableau, quel est son rôle ? Pour conclure, "Dans le miroir du Caravage" est un roman qui mélange habilement fiction et réalité, histoire et policier. Une bonne découverte, que je recommande, même s'il ne se lit pas si facilement...Je tiens d'abord à remercier les éditions HC qui m'ont fait parvenir ce roman en partenariat. Un grand merci pour leur confiance ! Le mélange entre histoire et enquête est souvent savoureux : lancez vous sur la piste du meurtrier tout en parcourant une époque révolue, pleine de charmes et de noirceurs ! Mais quand c'est un personnage historique (en l’occurrence, un peintre) qui vous raconte l'histoire, c'est encore mieux. Ce livre double est à la fois un roman sur le peintre et une intrigue policière : Le Caravage enquête sur des meurtres de prostituées qui semblent liés. Le fil directeur reste la biographie de l'artiste, auquel viennent se greffer des éléments de fiction. Cette enquête s'avère pleine de rebondissements et de révélations, enchevêtrées avec des passages davantage centrées sur Le Caravage et sa peinture. Mélange habile de fiction et de biographie, c'est aussi un tableau très précis de la vie à Rome en 1605. Le contexte historique y est retranscrit avec force détails : l'opposition entre francophiles et hispanophiles, le règne des cardinaux, les dures règles de l'Académie des Arts... On apprend beaucoup. C'est en effet une lecture dense : même si l'intrigue policière vient apporter du rythme, les nombreux détails historiques sont...
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