Lisez! icon: Search engine
Par 10/18, publié le 15/10/2021

Halloween : 9 livres aux frissons garantis

Vous avez sculpté vos citrouilles, enfilé votre déguisement de squelette et oublié les araignées en passant le chiffon à poussière ? Concoctez-vous un plateau-repas d’enfer… et disparaissez sous un plaid. Polars, romans policiers ou thrillers historiques… voici 9 livres 10/18 pour frissonner toute la nuit d’Halloween.


Pour les shootés à l’adrénaline

M.J. Arlidge : À la folie, pas du tout

A la folie, pas du tout
Elle m'aime…
Sept heures du matin. Alors que le soleil se lève dans un ciel rouge sang, une femme est retrouvée morte
sur une route de campagne. Mais qui a bien pu tuer cette mère de famille et épouse aimée ?
Un peu…
Deux heures plus tard, un commerçant est tué de sang-froid. Les clients sont tous laissés sains et saufs.
Beaucoup…
Quel motif anime ces meurtriers qui semblent tuer au hasard ?
Passionnément…
Helen Grace, tout juste sortie de prison, devra le découvrir rapidement si elle veut éviter que cette journée se
termine en bain de sang. Car une seule chose est sûre : ils sont prêts à tout pour terminer leur macabre travail.
A la folie…Pas du tout. 
 

Mikal GILMORE : Un long silence

Un long silence
Gary Gilmore est l’un des condamnés à mort les plus célèbres des États-Unis. Après avoir passé une partie de sa courte existence derrière les barreaux pour des vols à main armée, le pire finit par advenir : en juillet 1976, il est accusé de meurtre, au moment même où la Cour Suprême vient de réautoriséer la peine capitale - dix ans après la dernière exécution.
En réclamant lui-même sa mise à mort, plutôt qu’une peine à perpétuité, la personnalité complexe de Gilmore enflamme le pays. Il sera finalement exécuté le 17 janvier 1977 au matin. Quelques années plus tard, Norman Mailer lui consacrera un de ses chefs d’oeuvre, Le Chant du bourreau.
Le frère cadet de Gary, Mikal Gilmore, rédacteur en chef à Rolling Stones, aura tenté pendant des années de mettre cette histoire tragique de côté. En vain.
Avant qu’elle ne dévaste complètement son existence, comme elle a dévasté les siens, il se décide à la mettre par écrit, pour essayer de mieux comprendre son héritage, dénouer les liens du sang et échapper à la malédiction familiale. Poussé par l’urgence et un instinct de survie impérieux, il se ainsi lance dans une véritable enquête, à la fois affective, douloureuse, sans concessions, sur sa propre famille, sur son enfance, sur ses origines. Au terme de ce sombre voyage, il découvrira un terrible secret.
Avec une force d’émotion rare, il nous donne un document passionnant, à la fois cru, intime et puissant, sur les traumatismes et la résilience, qui n’est pas sans évoquer De sang-froid de Truman Capote dans sa description de l’Enfer Américain.

PRESSE : 
«  [Un long silence], publié aux Etats-Unis en 1994, n'a ni la distance littéraire ni la sobriété stylistique de celui de Mailer. Mais la fascination qu'il exerce vient justement de là, du regard unique qu'il offre sur ce que cherchaient à percevoir ses prédécesseurs et qu'il a, lui, vécu de l'intérieur : le coeur sauvage du gothique américain, un monde où chacun est marqué par un sort imprécis mais fatal. » Le Monde

« L’histoire inoubliable de Gary Gilmore, le condamné à mort le plus célèbre des Etats-Unis, qui avait fait couler le sang et beaucoup d’encre. » marie claire

« Figure de tueur légendaire, Gary Gilmore est ressuscité le temps d'un livre extrême par son frère Mikal, journaliste à Rolling Stones... Pour garder la tête hors du bain de larmes, l'amoureux des livres qu'est Mikal se raccroche à l'écriture, ce qui lui permettra en 1994 de léguer à la littérature de son pays le poignant portrait d'une Amérique maudite dès le berceau. » Les Inrockuptibles

« Remarquable, stupéfiant. » The New York Times


« Une furieuse aventure littéraire »
« Un hallucinant portrait »
Télérama
 
« Un chef d’œuvre de la non-fiction »
« Des personnes et des passages stupéfiants »
Le JDD
 
 

« Ce livre vous accompagnera très longtemps. »
Tim Willocks
 

« Un livre dévastateur effrayant, bouleversant, poignant... magnifique ! »
The New York Times
 

« Hypnotisant… captivant et profondément émouvant »
The New Yorker
 

« Impossible à lâcher »
Los Angeles Times
 

Pour les détectives en herbe

A.J. KAZINSKI et Thomas RYDAHL : La mort d'une sirène

La mort d'une sirène
Copenhague, 1834.
Dans une ville ravagée par la pauvreté, la maladie, les intrigues politiques et les tensions sociales, des crimes atroces sont commis au nez et à la barbe d'une police qui n'a pas les moyens d'agir.
Le corps mutilé d'une jeune femme est découvert dans le port de Copenhague. Un témoin identifie immédiatement le tueur comme étant Hans Christian Andersen, qu'il a vu quitter l'appartement de la prostituée la veille au soir. Le chef de la police est convaincu de sa culpabilité et H. C. Andersen est accusé de ce meurtre brutal. Ce n'est que grâce à des contacts haut placés qu'il parvient à s'évader de prison, consacrant dès lors toute son énergie à démasquer le véritable meurtrier et à élucider le mystère avant que ne sonne l'heure de son exécution.
Une fois l'affaire résolue, l'écrivain prend la plume et relate les événements macabres dans le langage fantastique
qui est le sien, transformant l'horrible meurtre d'une jeune femme en un conte de fées : celui de La Petite Sirène…et on connaît la suite.

PRESSE :
« Un polar gothique, dans la veine obscure d’un Jack l’Eventreur, qui unit bas-fonds et classe supérieure dans les rues crasseuses d’une Copenhague fantasmée. » Le Point 

 

Pour les amoureux de Hollywood

Elizabeth Little : Les filles mortes ne sont pas aussi jolies

Les filles mortes ne sont pas aussi jolies
Au départ, elle n’a rien d’une enquêtrice. Timide, un brin asociale, elle s’efforce d’éviter les ennuis. Marissa Dahl est surtout une étonnante monteuse de films. Engagée sur un long métrage dont le tournage a lieu sur Kickout Island, elle fait la connaissance du metteur en scène Tony Rees, réputé pour son comportement tyrannique. Très vite, elle comprend que quelque chose ne tourne pas rond : une atmosphère de secrets et de paranoïa, des acteurs persécutés… Le film reconstitue une histoire vraie, celle du meurtre non élucidé, vingt ans plus tôt, de Caitlyn Kelly. Pourquoi un tel projet ? Marissa n’en sait pas assez. Elle veut en savoir plus, bientôt elle en saura trop. Alors, il sera trop tard pour revenir en arrière…

PRESSE :
« Après "Les Réponses", un premier roman remarqué, Elizabeth Little nous plonge encore dans une enquête désopilante, qui se joue ici des extravagances du divertissement hollywoodien, et nous ravit par le point de vue cinéphile de sa si vulnérable Marissa. Délicieusement captivant. » Elle
« Le mélange de suspense et de namedropping fonctionne à plein. Bienvenue dans cet univers de celluloïd... Avant que les lumières se rallument, Elizabeth Little vous apprend la différence entre Dieu et un chef opérateur : "Dieu ne se prend pas pour un chef op." Action ! » Éric Neuhoff, Le Figaro Littéraire
« Lécrivaine américaine ne déçoit pas avec ce thriller cinématographique et paranoïaque. » Version Femina

Pour les passionnés d’histoire

Anne Villemin-Sicherman : 1792, la femme rouge

1792, La femme rouge
1792. Les armées austro-prussiennes sont aux portes de Metz. Il règne dans la ville une atmosphère de suspicion générale.
Le ci-devant chanoine de Ficquelmont, accusé d’opinions royalistes, est sauvagement assassiné dans une rue de Metz par une foule en colère, excitée par une certaine Marie Larue, belle activiste sans-culotte.
Le commandant de la place, le général Favart désire confier l’enquête au vétérinaire Augustin Duroch. Mais le jour même, Duroch est arrêté par la garde nationale. Certains souhaitent-ils que l’on n’aille pas fouiller les cendres de cet abbé mondain et brillant ?
L’entourage d’Augustin tente de l’aider à se tirer de ce mauvais pas, et découvre que bien des puissants de l’heure ont eu affaire avec l’abbé. Augustin réussit à s’évader.
Est-ce grâce au général Kellermann, rencontré à Valmy, qu’il trouvera enfin la clé de cette mystérieuse affaire ?

PRESSE
« D’aventure en aventure, Anne Villemin-Sicherman renouvelle le genre du polar historique avec talent. » Le Républicain lorrain

Ray Celestin : Mafioso

Mafioso
New York, 1947 : un mystérieux tueur assassine de sang-froid tous les occupants d’un hôtel de Harlem. On parle de meurtres rituels, liés au vaudou et c’est le seul pensionnaire survivant qui est arrêté et condamné.
Une ancienne détective de l’agence Pinkerton, Ida Davis, et le patron d’un club en vogue de Manhattan, Gabriel Leveson, se retrouvent mêlés à l’enquête. Ils découvrent bientôt avec effroi que l’affaire est liée à une série de meurtres bien plus importante, impliquant le crime organisé et la haute société de la ville.
 
Après La Nouvelle-Orléans de Carnaval et le Chicago de Mascarade, Ray Celestin nous entraîne dans le New York de l’après-guerre. Au fil d’une intrigue palpitante, inspirée de faits réels, où se croisent Frank Sinatra, Bugsy Siegel et Louis Armstrong, il dresse, sur fond de jazz, un portrait inoubliable de la ville, épicentre du cauchemar américain.

Jean d'Aillon : Le signe des trois

Le signe des trois
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L’un y fut égorgé avec d’autres prisonniers sur ordre d’Henry V, et les deux autres partirent comme prisonniers en Angleterre. Leur rançon ne fut jamais payée.
 
Or, un beau jour du joli mois de mai de l’an de grâce 1425, dix ans après Azincourt, une noble dame, épouse du bras droit du président du parlement Philippe de Morvilliers, fervent soutien de la cause anglaise à Paris, vint demander au clerc Edward Holmes de rechercher un chanteur de rue qu’elle a aperçu et qui portait sur sa cotte une fleur de mouron rouge.
 
Or cette fleur, Gower Watson l’avait vue sur les cottes d’armes de trois écuyers prisonniers après la bataille d’Azincourt. Des damoiseaux que le duc de Gloucester lui avait ordonné de tuer comme la plupart des prisonniers de la bataille. Ce qu’il avait refusé.

Pour les fans de Tarantino

Gabino Iglesias : Santa Muerte

Santa muerte


Austin, Texas. Tu t’appelles Fernando, tu es mexicain. Immigré clandestin. Profession ? Dealer.
Un jour, tu es enlevé par les membres d’un gang tatoués jusqu’aux dents qui ont aussi capturé ton pote Nestor. Pas ton meilleur souvenir, ça : tu dois les regarder le torturer et lui trancher la tête. Le message est clair : ici, c’est chez eux.
Tu crois en Dieu, et aussi en plein d’autres trucs. Tu jures en espagnol, et désormais, tu as soif de vengeance.
Avec l’aide d’une prêtresse Santeria, d’un chanteur portoricain cinglé et d’un tueur à gage russe, tu te résous à déchaîner l’enfer.
Santa Muerte, protegeme…

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Pierre Szczeciner


PRESSE :
« Tarentino dans le barrio ! » François Busnel
« Une explosion de langage, d’action et/ou d’émotion à chaque page. » Benjamin Whitmer, LA Review of Books
« C’est noir mais dans ce noir brille une lueur absolument sublime. » France Inter
« Assurément, Sante Muerte n’est pas qu’un pur divertissement. » L’Express
« Ca crépite, ça mitraille, ça égorge, ça torture, ça implore, ça prie (beaucoup). » Le Figaro Magazine

Pour les inconditionnels de Buckingham palace

Allison Montclair : Un mariage royal

Un mariage royal
Londres en 1946. Le Bureau du Mariage idéal commence tout juste à prendre son envol et les propriétaires, Mlle Iris Sparks et Mme Gwendolyn Bainbridge, ont besoin d'un bureau plus grand et d'une secrétaire pour faire face à la demande croissante. Malheureusement, l’argent manque. Alors, quand la cousine de Gwen arrive avec une offre intéressante, elles sont tout ouïes.
La princesse Elizabeth s’est entichée d’un prince grec, mais une lettre de chantage, faisant allusion à des informations potentiellement préjudiciables le concernant, met en danger l’alliance entre les deux familles. Pour éviter les commérages au palais, la famille royale se tourne vers Gwen et Iris pour découvrir le passé secret du prince, avant l’annonce de ses fiançailles avec Elizabeth. L’avenir de l’Empire et celui du Bureau sont en jeu !



 

10/18
10/18
Lisez inspiré

Lisez maintenant, tout de suite !

  • News
    10/18

    Les meilleurs thrillers et romans policiers de M.J. Arlidge en poche

    Vous avez dévoré tous les romans policiers et thrillers de Franck Thilliez, Bernard Minier et Maxime Chattam. Mais connaissez-vous M.J. Arlidge, l’auteur de polars le plus déviant d’Angleterre, et son inspectrice hors pair Helen Grace ? Faites un pas de côté et découvrez les meilleurs thrillers de cet auteur publié au format poche chez 10/18.

    Lire l'article