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Le chant des sorcières
Date de parution : 19/03/2009
Éditeurs :
Pocket

Le chant des sorcières

Date de parution : 19/03/2009

1483, dans le Vercors. La jeune Algonde, fille de l’intendante du château de Sassenage, échappe miraculeusement à la mort. Sous le choc, elle confie avoir été sauvée par la fée Mélusine…...

1483, dans le Vercors. La jeune Algonde, fille de l’intendante du château de Sassenage, échappe miraculeusement à la mort. Sous le choc, elle confie avoir été sauvée par la fée Mélusine… Désormais rien ne sera plus comme avant. Afin d’échapper à une redoutable prophétie, elle doit percer les secrets du château...

1483, dans le Vercors. La jeune Algonde, fille de l’intendante du château de Sassenage, échappe miraculeusement à la mort. Sous le choc, elle confie avoir été sauvée par la fée Mélusine… Désormais rien ne sera plus comme avant. Afin d’échapper à une redoutable prophétie, elle doit percer les secrets du château : Quel mystère entoure la mort de la baronne ? Pourquoi la plus haute chambre du donjon est-elle condamnée ? Et surtout, d’où lui vient cette ressemblance troublante avec la fée ? La jeune fille s’apprête à combattre des puissances aussi mystérieuses que maléfiques…

« Mireille Calmel signe enfin son grand retour et nous livre un roman historique enchanté et enchanteur. »
France Dimanche

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EAN : 9782266188654
Code sériel : 13882
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266188654
Code sériel : 13882
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Mireille Calmel signe enfin son grand retour et nous livre un roman historique enchanté et enchanteur. »

France Dimanche

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Anita0659 02/12/2023
    Après avoir regardé une très belle série dans laquelle il est questions de sorcières, de vampires et de démons, j’avais envie de rester encore dans cette ambiance. C’est pourquoi j’ai choisi « Le chant des sorcières «  de Mireille Calmel. J’ai déjà lu pas mal de livres de cette auteure car sa spécialités dont les romans historiques et j’adore ce genre. J’ai passé un bon moment avec Algonde, Philippine, Matthieu , Enguerrand et Philibert de Montoison pour ne citer qu’eux . L’ambiance est inquiétante avec la présence de sorcières certaines bienveillantes d’autres maléfiques mais le ton reste léger malgré le déroulement d’événements tragiques. Mireille Calmel arrive à m’emporter sans difficulté au 15e siècle en ayant l’impression de faire partie de cette belle fresque historique. Je ne mets que 3 étoiles même si j’ai bien aimé ce livre car par rapport aux autres romans de cette auteure je l’ai trouvé un peu moins passionnant et avec quelques longueurs. Je commence néanmoins immédiatement la suite qui se compose de 2 autres tomes !
  • Pierreyvesjaquet 08/05/2023
    Enfin un roman fantastique médiéval comme je les aime. Il y a du rythme, de l'action, des personnages que l'on aime ou que l'on déteste, des bons des gentils des méchants, des sorcières bonne et mauvaise. Je me réjouis de lire la suite et je ne peux que recommander ce livre...
  • lley 09/11/2022
    Roman historique, un soupçon de magie et une plume envoûtante c'est tout ce qui me fallait pour apprécier ce premier tome. Dans cette histoire nous suivons les aventures de la jeune Algonde qui après un pacte avec la célèbre fée Mélusine se trouve malgré elle confronté à bien des mystères. J'ai beaucoup aimé le côté historique de ce roman, le style d'écriture de Mireille Calmel est très envoûtant, les évènements s'enchaînent et le rythme de l'histoire ne faiblit pas. J'ai maintenant hâte de me plonger dans la suite des aventures d'Algonde et de ses amis.
  • Andromeda06 11/02/2022
    Ce n'est pas mon premier roman de Mireille Calmel, et encore une fois, je ne suis pas déçue. Mais ce n'est pas une surprise puisque je l'ai déjà lu quand j'étais étudiante. J'ai appris récemment que les 3 livres de cette saga n'étaient que la première partie de "La légende des Hautes Terres". Du coup, l'occasion se présente de la redécouvrir puisque j'ai acquis il y a quelques semaines les 2 livres qui terminent cette série ("La reine de lumière"). Un coté à la fois historique et fantastique qui est loin d'être déplaisant. Une plume agréable et fluide. Je me rends compte que j'avais presque tout oublié, c'est donc un véritable plaisir que de me replonger dedans. [Lu en mai 2020]
  • Melisende 30/12/2021
    Mireille Calmel c’est l’alliance souvent réussie du roman historique, du merveilleux (souvent médiéval) et d’héroïnes fortes qui se relèvent de toutes les difficultés. C’est une autrice qui a marqué mon adolescence et qui a en partie construit celle que je suis : Le Lit d’Aliénor est un des gros déclics dans ma vie de lectrice. J’ai arrêté de lire Mireille Calmel à la fin des années 2000 mais elle, elle a continué, au fil des années, à nous proposer de nouvelles aventures. J’ai eu envie, avec 15 ans de plus, de me replonger dans son univers et j’ai profité du challenge des Reliques de la PAL organisé par Carolivre et du Pumpkin Autumn Challenge pour sortir ce premier tome du Chant des sorcières… mais malheureusement, la magie n’a pas opéré. Mireille Calmel a l’habitude de baser ses intrigues sur des réalités historiques et Le Chant des sorcières ne fait pas exception à la règle puisqu’il mêle l’Histoire de la famille de Sassenage (basée dans le Vercors) à la légende de Mélusine qui semble elle aussi être attachée aux lieux (on retrouve sa trace dans des sculptures, notamment). L’autrice s’est largement documentée sur la géopolitique de l’époque (1483), ainsi que sur les lieux et ses habitants qui semblent avoir réellement existé pour la plupart. Elle offre de nombreux détails (descriptifs) qui raviront les amateurs du genre sans noyer le novice sous un vocabulaire trop spécifique. L’immersion contextuelle est donc réussie. On découvre en parallèle l’histoire d’Algonde, la fille de l’intendante qui, après une quasi-noyade, révèle une filiation étonnante et celle de Philippine, la fille de Jacques de Sassenage (le maître des lieux) qui découvre les “joies” de la séduction et est courtisée par deux hommes ennemis : Laurent de Beaumont et Philibert de Montoison. D’autres protagonistes évoluent dans l’entourage des deux jeunes héroïnes, à commencer par deux autres femmes assez énigmatiques (et dangereuses ?) : Dame Sidonie, la nouvelle femme de Jacques de Sassenage et sa servante, l’antipathique Marthe. Enfin, d’autres chapitres mettent en avant le Prince Djem gardé prisonnier par l’Ordre des Hospitaliers à la demande de son frère (le sultan Bayezid) suite à une guerre intestine et évidemment des désaccords pour la succession de leur père. Pion dans les complots entre l’empire ottoman et les souverains occidentaux, on se demande bien ce que fait le Prince Djem dans cette histoire… et l’autrice ne nous apporte finalement que peu d’éléments de réponses dans ce premier tome. Tout semble évidemment être lié et s’entremêler mais tout est dense et finalement assez obscur. Malheureusement, si la magie Calmel opérait lorsque j’étais adolescente, elle n’a pas fait mouche ici. Je n’ai pas réussi à m’attacher aux héros, je me suis ennuyée. Trop de personnages peut-être, une aventure principale diluée dans tout un tas de ramifications ou tout simplement pas le bon moment pour moi ? Je ne sais pas. J’avais tant envie de retrouver les émotions fortes et la passion ressenties à ma lecture du Lit d’Aliénor, du Bal des Louves ou même de Lady Pirate… Mais, qu’il s’agisse du destin prophétique d’Algonde, des premières amours chaotiques de Philippine ou des complots politiques en lien avec l’ordre des Hospitaliers et le Prince Djem… rien n’a réussi à m’accrocher et je suis restée très en retrait tout du long. Quel dommage !Mireille Calmel c’est l’alliance souvent réussie du roman historique, du merveilleux (souvent médiéval) et d’héroïnes fortes qui se relèvent de toutes les difficultés. C’est une autrice qui a marqué mon adolescence et qui a en partie construit celle que je suis : Le Lit d’Aliénor est un des gros déclics dans ma vie de lectrice. J’ai arrêté de lire Mireille Calmel à la fin des années 2000 mais elle, elle a continué, au fil des années, à nous proposer de nouvelles aventures. J’ai eu envie, avec 15 ans de plus, de me replonger dans son univers et j’ai profité du challenge des Reliques de la PAL organisé par Carolivre et du Pumpkin Autumn Challenge pour sortir ce premier tome du Chant des sorcières… mais malheureusement, la magie n’a pas opéré. Mireille Calmel a l’habitude de baser ses intrigues sur des réalités historiques et Le Chant des sorcières ne fait pas exception à la règle puisqu’il mêle l’Histoire de la famille de Sassenage (basée dans le Vercors) à la légende de Mélusine qui semble elle aussi être attachée aux lieux (on retrouve sa trace dans des sculptures, notamment). L’autrice s’est largement documentée sur la géopolitique de l’époque (1483), ainsi que sur les lieux et...
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