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Le messager
Andrée Martinerie (traduit par), Denis Morrens (traduit par)
Date de parution : 07/01/2021
Éditeurs :
10/18

Le messager

Andrée Martinerie (traduit par), Denis Morrens (traduit par)
Date de parution : 07/01/2021
Le roman le plus célèbre de L.P. Hartley, dont l'adaptation éponyme a reçu la Palme d'or du festival de Cannes de 1971
Été 1900, campagne anglaise du Norfolk. Léon Colston, bientôt treize ans, est invité par un camarade de classe à séjourner au manoir de Brandham Hall. Issu d’un milieu social modeste,... Été 1900, campagne anglaise du Norfolk. Léon Colston, bientôt treize ans, est invité par un camarade de classe à séjourner au manoir de Brandham Hall. Issu d’un milieu social modeste, il découvre avec fascination le monde des aristocrates, un monde dont il peine à comprendre les codes. Heureusement, Marian, la... Été 1900, campagne anglaise du Norfolk. Léon Colston, bientôt treize ans, est invité par un camarade de classe à séjourner au manoir de Brandham Hall. Issu d’un milieu social modeste, il découvre avec fascination le monde des aristocrates, un monde dont il peine à comprendre les codes. Heureusement, Marian, la jeune fille de la maison, le prend sous son aile. Trop heureux
d’être dans ses bonnes grâces, il accepte d’être son « messager ». Mais ce n’est pas à son respectable fiancé que la belle adresse ses missives secrètes, et Léon se trouve bientôt au coeur d’un triangle amoureux qui le dépasse. L’été avance, la chaleur monte et la tragédie, inéluctable, se met en place…

Publié en Angleterre en 1953, Le messager est un roman d’apprentissage aussi troublant que
profond, un chef-d’oeuvre à redécouvrir.

Traduit de l’anglais par Denis Morrens et Andrée Martinerie
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EAN : 9782264075758
Code sériel : 5532
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264075758
Code sériel : 5532
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • carolinevaree_1679823523273 03/04/2024
    Si vous avez aimé Le Messager, lisez Expiation. Si vous avez aimé Expiation, eh bien lisez Le Messager ! Peu importe la chronologie, vous comprendrez et apprécierez tout l’hommage rendu par Ian McEwan à ce classique de la littérature anglaise au charme si désuet. Léon Colston, comme Brionny Tallis après lui, s’apprête à vivre un été tragique qui signera la fin de l’enfance et du temps de l’innocence. Au début des vacances, Léon n’est encore qu’un garçon qui, du haut de ses douze ans, joue les apprentis sorciers et les chevaliers. Un garçon qui, dans sa naïveté d’enfant, ne s’y entend pas dans les choses graves et subtiles de l’amour. Issu d’un milieu modeste, Léon désire avant tout plaire et faire bonne figure auprès de ses hôtes, une famille aristocratique du Norfolk. Le garçon navigue entre détresse et gloire, parfois héros, parfois nigaud, toujours émouvant. Perdu dans ses affections et dans des codes qui lui sont étrangers, il ricoche entre le fermier Ted, la belle lady Marian et son fiancé défiguré lord Trimingham. Messager au sein de ce triangle amoureux, il se retrouve à tisser la toile d’un drame prochain. La chaleur de cet été s’invite entre les pages, elle s’installe et grimpe jusqu’à ce que l’orage éclate. Claque comme un coup de feu. Un classique à découvrir ! J’ai adoré la voix d’un vieil homme qui se mêle à celle de l’enfant qu’il fut, ce retour plein de mélancolie et de candeur sur les traces du passé et un bel épilogue qui éclaire les événements d’un autre jour. Si vous avez aimé Le Messager, lisez Expiation. Si vous avez aimé Expiation, eh bien lisez Le Messager ! Peu importe la chronologie, vous comprendrez et apprécierez tout l’hommage rendu par Ian McEwan à ce classique de la littérature anglaise au charme si désuet. Léon Colston, comme Brionny Tallis après lui, s’apprête à vivre un été tragique qui signera la fin de l’enfance et du temps de l’innocence. Au début des vacances, Léon n’est encore qu’un garçon qui, du haut de ses douze ans, joue les apprentis sorciers et les chevaliers. Un garçon qui, dans sa naïveté d’enfant, ne s’y entend pas dans les choses graves et subtiles de l’amour. Issu d’un milieu modeste, Léon désire avant tout plaire et faire bonne figure auprès de ses hôtes, une famille aristocratique du Norfolk. Le garçon navigue entre détresse et gloire, parfois héros, parfois nigaud, toujours émouvant. Perdu dans ses affections et dans des codes qui lui sont étrangers, il ricoche entre le fermier Ted, la belle lady Marian et son fiancé défiguré lord Trimingham. Messager au sein de ce triangle amoureux, il se retrouve à tisser la toile d’un drame prochain. La chaleur de cet été s’invite entre les pages, elle...
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  • GoodBooksGoodFriends 19/10/2023
    Quand Léon Colston retrouve son journal d’adolescent, ce sont mille souvenirs qui lui reviennent à l’esprit, et notamment ceux de cet été 1900 : son camarade Marc qui l’avait invité quelques semaines, Marian, la sœur aînée de ce dernier, et les mystérieux messages dont il était chargé. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ À treize ans, les choses ne prennent pas toujours la même importance qu’à l’âge adulte et le Léon adulte revient sur les événements de cet été particulièrement chaud avec le recul qu’offrent les années et l’expérience. Il est le narrateur du roman et il apporte ce petit mélange d’ingénuité et d’omniscience qui m’a tant plu. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ J’ai tout aimé dans cette lecture, le dépaysement tout d’abord, me voir transportée dans le Norfolk alors que je lis au bord de la piscine est assez agréable. L’atmosphère de manoir anglais au début du 20ème siècle apporte un petit côté suranné qui n’a pas été pour me déplaire. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ J’ai aussi souvent pensé durant ma lecture à Expiation de Ian McEwan, ce merveilleux roman que je ne peux que vous conseiller. Comme Le Messager.
  • alexb27 20/06/2023
    Ce texte a servi de modèle à Ian McEwan pour son roman expiation (que je vais m’empresser de lire ! ). Léon, un quinquagénaire, se rappelle avec effroi et nostalgie, l’été de ses 13 ans, où son rôle de messager entre 2 jeunes gens de classe différente, a bouleversé sa vie (et la leur). Cet été 1900 passé au sein de l’aristocratie anglaise dont il connaît peu les codes, va en effet marquer son passage à l’âge adulte : il va y perdre sa naïveté et son insouciance. Ces quelques semaines vont également avoir un effet dévastateur sur sa vie d’homme et son rapport aux autres…c’est ce qu’il constate, 40 ans après, en se remémorant cette courte période et en interrogeant l’enfant qu’il était. Un roman d’apprentissage au charme suranné, classique de la littérature anglaise, qui se lit avec beaucoup de plaisir, pour son étude psychologique très riche des personnages et son analyse fine de l’aristocratie britannique. Auquel s’ajoute une écriture des plus élégante. Une très chouette lecture
  • Doralex72 22/11/2022
    La narrateur, Léon Colston, retrouve par hasard le journal intime qu’il tenait quand il était petit garçon. Il se remémore ainsi l’été de ses treize ans, quelques jours avant son anniversaire le 27 juillet 1900. Enfant issu d’un foyer modeste, il est convié par l’un de ses camarades de classe à venir passer quelques jours chez les Maudsley à Brandham Hall. Il découvre alors un monde tout nouveau, celui de l’aristocratie. C’est une rencontre des classes qui se fait alors. Les Maudsley sont accueillants et chaleureux, mais Markus tombe malade, et Léon se retrouve bien seul. Il va alors passer beaucoup de temps avec la jeune Marian, la sœur de Markus, pour qui il va développer une vive amitié. Marian va lui confier une mission : jouer au « messager » et lui permettre d’échanger des lettres avec Ted Burgess, le régisseur du domaine. Léon ne voit pas le mal à remplir cet office, et même, il n’y voit que l’avantage de se rendre indispensable à Marian. Mais, cette mission est à haut risque pourtant et Léon, du haut de ses treize ans, ne semble pas voir le danger qui rôde. Ce roman a beau être un classique de la littérature anglaise qui a de plus été adapté au cinéma, il n’en demeure qu’il est assez plat et linéaire. Je n’ai pas été emportée par le récit même si la plume de Hartley est indéniablement de qualité. Je me suis ennuyée. C’est long, c’est poussif. Les thèmes abordés sont universels, incontestablement, l’amitié, l’amour, l’honneur, mais il m’a manqué un souffle, un rythme. Dommage. La narrateur, Léon Colston, retrouve par hasard le journal intime qu’il tenait quand il était petit garçon. Il se remémore ainsi l’été de ses treize ans, quelques jours avant son anniversaire le 27 juillet 1900. Enfant issu d’un foyer modeste, il est convié par l’un de ses camarades de classe à venir passer quelques jours chez les Maudsley à Brandham Hall. Il découvre alors un monde tout nouveau, celui de l’aristocratie. C’est une rencontre des classes qui se fait alors. Les Maudsley sont accueillants et chaleureux, mais Markus tombe malade, et Léon se retrouve bien seul. Il va alors passer beaucoup de temps avec la jeune Marian, la sœur de Markus, pour qui il va développer une vive amitié. Marian va lui confier une mission : jouer au « messager » et lui permettre d’échanger des lettres avec Ted Burgess, le régisseur du domaine. Léon ne voit pas le mal à remplir cet office, et même, il n’y voit que l’avantage de se rendre indispensable à Marian. Mais, cette mission est à haut risque pourtant et Léon, du haut de ses treize ans, ne semble pas voir le danger qui rôde. Ce roman a beau être un classique de la...
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  • Lorem_Ipsum 04/03/2022
    Initialement publié en 1953, ce roman au charme suranné nous emporte en 1900, dans le sillage de Léon Colston, un jeune garçon de 12 ans convié par son camarade Marc à venir passer l'été dans sa famille. Chaque journée est alors source d'émerveillement, tandis que Léon, issu d'un milieu social inférieur à celui de son ami, découvre avec fascination le quotidien de cette famille aristocratique. Partagé entre admiration et embarras, il peut heureusement compter sur la bienveillance de la jeune fille de la famille, Marian. Au fil de ses escapades, il se lie également d'amitié avec le Vicomte de Trimingham, invité de la maisonnée, et avec Ted, un fermier des environs. Avide de plaire, Léon se retrouve bientôt à jouer le messager et à porter mots et missives entre ces trois-là... Se retrouvant pris au piège d'enjeux sentimentaux qui le dépassent. Même si le récit intègre le ressenti du « vieux » M. Léon Colston devenu adulte, la romance est essentiellement contée par le jeune Léon, qui du haut de ses 12 ans, n'est pas très sensible aux choses de l'amour. Aussi, l'histoire est-elle surtout focalisée sur son ressenti d'enfant, sa difficulté à percevoir les codes qui régissent le monde des adultes, sa transformation aussi, au fil de cet été étourdissant de chaleur, qui prend la tournure d'un parcours initiatique. Le rythme du roman est lent, contemplatif. L'action se met en place très progressivement et la tension monte doucement au fil des pages, accompagnée par la lourdeur de cet été qui semble sans fin. C'est finalement en dernière partie de roman que toute cette tension accumulée éclate et que le drame s'abat sur les habitants de Brandham Hall. Une lecture à conseiller aux amateurs d'émotions poignantes et de tragédie.Initialement publié en 1953, ce roman au charme suranné nous emporte en 1900, dans le sillage de Léon Colston, un jeune garçon de 12 ans convié par son camarade Marc à venir passer l'été dans sa famille. Chaque journée est alors source d'émerveillement, tandis que Léon, issu d'un milieu social inférieur à celui de son ami, découvre avec fascination le quotidien de cette famille aristocratique. Partagé entre admiration et embarras, il peut heureusement compter sur la bienveillance de la jeune fille de la famille, Marian. Au fil de ses escapades, il se lie également d'amitié avec le Vicomte de Trimingham, invité de la maisonnée, et avec Ted, un fermier des environs. Avide de plaire, Léon se retrouve bientôt à jouer le messager et à porter mots et missives entre ces trois-là... Se retrouvant pris au piège d'enjeux sentimentaux qui le dépassent. Même si le récit intègre le ressenti du « vieux » M. Léon Colston devenu adulte, la romance est essentiellement contée par le jeune Léon, qui du haut de ses 12 ans, n'est pas très sensible aux choses de l'amour. Aussi, l'histoire est-elle surtout focalisée sur son ressenti d'enfant, sa difficulté à percevoir les codes qui régissent le monde des...
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