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La Fin des temps
Corinne Atlan (traduit par)
Date de parution : 12/11/2020
Éditeurs :
Lizzie
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La Fin des temps

Corinne Atlan (traduit par)
Date de parution : 12/11/2020
Un roman qui concentre à lui seul tout le réalisme magique de Haruki Murakami.
Dans une petite cité spectrale vivent des gens privés d’ombre et de sentiments. Parmi eux, un nouveau venu a pour tâche de lire les « vieux rêves » dans des... Dans une petite cité spectrale vivent des gens privés d’ombre et de sentiments. Parmi eux, un nouveau venu a pour tâche de lire les « vieux rêves » dans des crânes de licornes, attrapant des fragments de mémoire d’une autre vie, d’une autre dimension. En parallèle, dans un Tokyo futur,... Dans une petite cité spectrale vivent des gens privés d’ombre et de sentiments. Parmi eux, un nouveau venu a pour tâche de lire les « vieux rêves » dans des crânes de licornes, attrapant des fragments de mémoire d’une autre vie, d’une autre dimension. En parallèle, dans un Tokyo futur, ascétique et déshumanisé, un homme est entraîné par un scientifique dans une dangereuse expérience qui le fera plonger dans les sous-sols de la ville, animés de créature monstrueuses. Est-ce là que se trouve la clé de l’énigme ? La solution du mystère qui lie ces deux mondes ?

La Fin des temps est le quatrième roman de Haruki Murakami, où se mêlent délicieusement, avec humour et poésie, deux mondes entre réel et merveilleux, le « Pays des merveilles sans merci » et la « Fin du monde »…
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EAN : 9791036612305
Façonnage normé : Coffret CD
Durée : 1162 min
Lizzie
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Façonnage normé : Coffret CD
Durée : 1162 min

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • rthery 01/04/2024
    isbn:9782020511131
  • Olloix 31/03/2024
    C'est ma deuxième lecture de ce roman de Murakami, à 17 ans d'intervalle, Murakami dont j'ai lu presque tous les romans. J'ai retrouvé avec plaisir le trouble et la stimulation de l'imaginaire créés par la frontière floue entre réel et fantastique, la simplicité et la candeur des personnages, l'excellente traduction de Corinne Atlan, une certaine dose d'humour et d'auto-dérision. Il y a néanmoins quelques longueurs, par exemple l'épisode dans les souterrains obscurs peuplés de ténébrides, qui fait penser à un jeu vidéo où il faut attendre un but en échappant à des pièges et à des méchants. Et pour être sincère, je n'ai pas compris grand-chose au long passage dans lequel le vieux savant explique ce qu'il a traficoté dans la tête du personnage principal. Lecture distrayante qui m'a laissé un peu sur ma faim.
  • marielabrousse1 25/02/2024
    Cela faisait des années que je n’avais pas lu Haruki Murakami et les retrouvailles m’ont fait l’effet d’enfiler de vieilles pantoufles confortables : c’était plaisant à lire, j’ai immédiatement reconnu la « patte » et je me suis rappelée à quel point j’avais aimé dévorer une partie de ses romans. J’ai aimé retrouver ces ambiances murakamiennes où l’on glisse doucement dans l’étrange. Ici, deux univers s’entrecroisent : dans le premier, un ingénieur informatique doit protéger les données numériques d’un vieux professeur un peu fou. Dans l’autre, un homme amnésique s’installe dans une drôle de ville d’où l’on ne revient pas, pour le prix de son ombre, et y devient liseur de rêves. Le point commun entre ces deux mondes? Un crâne de licorne… Je ne trouve pas de meilleur moyen de résumer l’entrée en matière de cette histoire, et pourtant, j’ai l’impression que ce résumé tombe complètement à côté. Parce que lire Murakami, c’est s’engager sans cesse dans des directions imprévues. Enfin, imprévues… quand on le découvre pour la première fois. Parce qu’après avoir lu un certain nombre d’œuvres, on finit par avoir compris le truc. Et même le plaisir de la redécouverte ne m’a pas empêchée de trouver l’ensemble un peu longuet. On tourne en rond malgré quelques belles fulgurances (par exemple le côté totalement absurde et grotesque des ténébrides, dont on énumère au compte-goutte les caractéristiques les plus diverses et effrayantes, pour ne jamais les rencontrer vraiment). On a beaucoup de dialogues plats ou de rebondissements du style « Ouf, une chance que j’avais emporté une lampe-torche! » Et côté personnages féminins, c’est souvent le cas chez Murakami, mais ça fait grincer. La petite-fille du professeur notamment, quoique très débrouillarde, a droit à un traitement narratif plutôt cringe en plus d’être sans arrêt ramenée à son surpoids. Alors oui, ça a été écrit par un Japonais en 1985, mais ça gâche quand même la lecture. Finalement, lire Murakami après plusieurs années, c’est comme retrouver avec plaisir un vieil ami perdu de vue et s’apercevoir après quelques minutes qu’on ne sait plus trop quoi se dire. J’attendrai peut-être quelques années de plus avant de le recroiser. (Ou peut-être que j’irai relire Le passage de la nuit, mon préféré de l’auteur… peut-être parce que c’est celui-là que j’ai lu en premier).Cela faisait des années que je n’avais pas lu Haruki Murakami et les retrouvailles m’ont fait l’effet d’enfiler de vieilles pantoufles confortables : c’était plaisant à lire, j’ai immédiatement reconnu la « patte » et je me suis rappelée à quel point j’avais aimé dévorer une partie de ses romans. J’ai aimé retrouver ces ambiances murakamiennes où l’on glisse doucement dans l’étrange. Ici, deux univers s’entrecroisent : dans le premier, un ingénieur informatique doit protéger les données numériques d’un vieux professeur un peu fou. Dans l’autre, un homme amnésique s’installe dans une drôle de ville d’où l’on ne revient pas, pour le prix de son ombre, et y devient liseur de rêves. Le point commun entre ces deux mondes? Un crâne de licorne… Je ne trouve pas de meilleur moyen de résumer l’entrée en matière de cette histoire, et pourtant, j’ai l’impression que ce résumé tombe complètement à côté. Parce que lire Murakami, c’est s’engager sans cesse dans des directions imprévues. Enfin, imprévues… quand on le découvre pour la première fois. Parce qu’après avoir lu un certain nombre d’œuvres, on finit par avoir compris le truc. Et même le plaisir de la redécouverte ne m’a pas empêchée de trouver l’ensemble un peu...
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  • marieclaudetaillefer 07/01/2024
    Deux univers se chevauchent, un monde parallèle, un univers contemporain. Un récit qui nourrit l’imagination tout en faisant réfléchir sur des questions concrètes. J’étais un peu inquiète vu l’année de parution que ce soit un peu désuète et non . Murakami a son meilleur.
  • ValOVal 15/09/2023
    Comme tous les livres que j'aie pu lire à ce jour de monsieur Murakami, celui-ci se boit comme un petit lait poétique, avec des questionnements sérieux qui se dispensent de devenir réellement angoissant. Des mondes oniriques, simples et complexes, logiques et absurdes, banals et fantastiques, tels sont les univers de l'auteur
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