Le Soleil suivant T1

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• mamzelleoups 29/01/2024

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  Venise, début du XVIIIe siècle. Lors d'un concert de jeunes filles pensionnaires, la tribune s'effondre sous le poids des musiciennes. Azlan de Cornelli, chirurgien français, est présent. Il y rencontre Maria Dalla Viola, virtuose du violon, et un étrange médecin anonyme. Dans la ville des secrets, Azlan part à la recherche d'un mystérieux ouvrage médical, le Codex Quanum. Mais il n'est pas le seul : inquisition et société occulte sont aussi de la partie... Je me faisais une joie de retrouver la suite des aventures d'un personnage du Soleil sous la soie, mais force est de constater que ce roman n'est pas vraiment à la hauteur de mes attentes. Je me suis perdue dans le nombre de personnages, souvent masqués pour ne rien arranger. J'ai eu l'impression que l'intrigue partait un peu dans tous les sens et j'ai un peu de mal avec les complots, sociétés secrètes, etc. Cependant, j'ai apprécié retrouver certains personnages et en découvrir de nouveaux. J'aime toujours la plume d'Eric Marchal et je lirai la suite, bien que ce roman ne soit pas mon préféré de l'auteur.
• Ogrimoire 02/01/2024

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  Autant le dire immédiatement : tout, dans ce roman, respire, que dis-je, transpire, le plaisir d’Éric Marchal à retrouver ses personnages. Et ce plaisir est totalement communicatif ! Oh, certes, Nicolas, Rosa, ne sont présents que par la pensée, ils ne participent pas à l’action – même si je subodore que l’un des deux pourrait bien être intimement lié à l’objet de cette quête, mais, chut, rien ne le dit, rien ne le confirme, nous verrons cela plus tard ! -. Mais l’on retrouve bien l’opposition, à l’époque, entre la médecine, discipline noble, et la chirurgie, mal considérée. Azlan, ici, doit faire ses armes seul, dans cette Venise dont les manigances et les complots semblent être le sang et l’oxygène. Chacun parait intriguer de son côté, pour son propre compte ou, parfois, pour une organisation plus ou moins dangereuse. Azlan aura naturellement besoin de quelques alliés, fussent-ils de circonstance. Piero, le petit codega – guide et porteur de flambeau, qui accompagne ceux qui doivent se déplacer dans la ville la nuit -, Sarah, l’aventureuse fille d’un médecin du ghetto juif, Cecilia, l’infirmière qui a un faible pour le séduisant chirurgien… Historiquement, précisons-le d’ailleurs ici, on voit qu’Éric Marchal travaille son sujet. Même si l’on se situe dans un roman d’aventure, l’Europe des arts, des sciences et de la chirurgie à l’époque moderne semble ne guère avoir de secrets pour lui… On découvre, d’abord, une administration vénitienne digne des organisations les plus modernes. La capacité à coder – et donc, en général – à décoder les messages les plus secrets assure à la ville ses remarquables succès commerciaux et diplomatiques, mais le service chargé de cet « art » constitue aussi, d’une certaine façon, un État dans l’État. On retrouve aussi, autour de la rivalité entre les deux institutions musicales de la ville, le rôle joué par Antonio Vivaldi, que l’on avait déjà vu, dans son propre rôle, dans La sonate oubliée, de Christiana Moreau. C’est un vrai roman d’aventure. Le danger guette à tous les coins de rue – parfois, même, il n’est pas nécessaire d’arriver jusqu’au coin -, les énigmes sont brillantes, les rebondissements incessants. On est dans l’époque, dans cette ville incroyable qu’est Venise, et l’on s’y sent bien. Alors, il n’y a plus qu’à attendre le deuxième tome. Et vous, cela vous dit de venir vous frotter aux mystères de la Sérénissime ?Autant le dire immédiatement : tout, dans ce roman, respire, que dis-je, transpire, le plaisir d’Éric Marchal à retrouver ses personnages. Et ce plaisir est totalement communicatif ! Oh, certes, Nicolas, Rosa, ne sont présents que par la pensée, ils ne participent pas à l’action – même si je subodore que l’un des deux pourrait bien être intimement lié à l’objet de cette quête, mais, chut, rien ne le dit, rien ne le confirme, nous verrons cela plus tard ! -. Mais l’on retrouve bien l’opposition, à l’époque, entre la médecine, discipline noble, et la chirurgie, mal considérée. Azlan, ici, doit faire ses armes seul, dans cette Venise dont les manigances et les complots semblent être le sang et l’oxygène. Chacun parait intriguer de son côté, pour son propre compte ou, parfois, pour une organisation plus ou moins dangereuse. Azlan aura naturellement besoin de quelques alliés, fussent-ils de circonstance. Piero, le petit codega – guide et porteur de flambeau, qui accompagne ceux qui doivent se déplacer dans la ville la nuit -, Sarah, l’aventureuse fille d’un médecin du ghetto juif, Cecilia, l’infirmière qui a un faible pour le séduisant chirurgien… Historiquement, précisons-le d’ailleurs ici, on voit qu’Éric Marchal travaille son sujet. Même si...

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• Davalian 25/07/2023

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  Près de dix après la parution de son premier chef d'œuvre, Eric Marchal en revient à ses premiers amours. L'auteur, depuis considéré comme un équivalent français de Ken Follet, nous a concocté une suite qui n'en est pas vraiment une. Lire Le soleil sous la soie est vivement conseillé, pour le simple plaisir de découvrir cette pépite et éclairer quelques passages ou références dont il sera ici question. L'auteur est habile et ne divulgâche pas. Tout juste avons nous ici ou là un retour indispensable sur des événements passées. Dans ces conditions, même si sa lecture n'est pas indispensable elle n'en reste pas moins dispensable pour autant. Nous allons ici retrouver le protagoniste, bien loin de sa terre d'origine. Et c'est à peu près tout. Il sera question d'untel ou d'untelle, mais cela reste quand même très secondaire. Tout juste avons nous des nouvelles de l'un ou de l'autre des personnages secondaires croisés par le passé. La chirurgie tiendra ici une très grande place, toute comme la ville dans laquelle se déroule l'enquête : Venise. Voilà un billet d'avion peu cher pour nous plonger dans une Venise d'un temps révolu. L'aspect historique tient ici à quelques événements, institutions, personnages, mais surtout à l'ambiance qui est le point fort de l'ouvrage. A elle seule, celle-ci justifie la lecture de ce roman assez court. D'ailleurs celle-ci finira par supplanter le reste, c'est à dire l'enquête et la romance annoncée en quatrième de couverture. Voilà deux ingrédients qui servent de fil rouge. S'ils parviennent à susciter l'intérêt et la curiosité, il ne parviennent pas à faire oublier cette ambiance. Une fois n'est pas de coutume, puisque l'auteur nous régale d'un roman moins long que d'ordinaire mais toujours aussi agréable à lire et à suivre. Que les adeptes de l'auteur se rassurent : un deuxième volume est d'ores et déjà disponible. Que dire de plus sinon, que nous avons affaire à un ouvrage qui mérite d'être lu et qui dégage l'impression d'être déjà un grand classique. En somme c'est une nouvelle pépite que nous avons là ! Une de plus à porter au crédit de l'auteur.Près de dix après la parution de son premier chef d'œuvre, Eric Marchal en revient à ses premiers amours. L'auteur, depuis considéré comme un équivalent français de Ken Follet, nous a concocté une suite qui n'en est pas vraiment une. Lire Le soleil sous la soie est vivement conseillé, pour le simple plaisir de découvrir cette pépite et éclairer quelques passages ou références dont il sera ici question. L'auteur est habile et ne divulgâche pas. Tout juste avons nous ici ou là un retour indispensable sur des événements passées. Dans ces conditions, même si sa lecture n'est pas indispensable elle n'en reste pas moins dispensable pour autant. Nous allons ici retrouver le protagoniste, bien loin de sa terre d'origine. Et c'est à peu près tout. Il sera question d'untel ou d'untelle, mais cela reste quand même très secondaire. Tout juste avons nous des nouvelles de l'un ou de l'autre des personnages secondaires croisés par le passé. La chirurgie tiendra ici une très grande place, toute comme la ville dans laquelle se déroule l'enquête : Venise. Voilà un billet d'avion peu cher pour nous plonger dans une Venise d'un temps révolu. L'aspect historique tient ici à quelques événements, institutions, personnages, mais surtout à l'ambiance...

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• leslecturesdetiphaine 09/01/2023

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  Bonjour #bookstagram Je suis sortie un peu de ma zone de confort pour découvrir #lesoleilsuivant tome 1 #lesfillesduchoeur de #ericmarchal Publié chez @editions.anne.carriere Partez à Venise au 18e siècle, embarquez pour quête, complots et découverte de la médecine. Vous ne vous ennuierez pas pendant cette lecture. Premier tome d’une trilogie, le but est de trouver le Codex médical. Le seul bémol c’est la multitude de personnages, pas toujours évidente à suivre. J’ai passé un bon moment avec cette lecture. Une découverte de Venise, des us et coutumes à travers une aventure très prenante.
• cleophas35 01/01/2023

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  Venise, 1713. Azlan de Cornelli, qu'Eric Marchal nous avait fait découvrir dans le Soleil sous la Soie, est à la recherche d'un Codex de médecine qui devrait faire avancer la science et la pratique médicale. Pour ce faire il est devenu chirurgien d'un hôpital réputé où il croise un certain Vivaldi. Mais autour de lui, d'autres cherchent à le prendre de vitesse : la belle et mystérieuse Sarah, la dangereuse société secrète de l'ordre du Graal, sans oublier la Sérénissime elle même. Cette intrigue joliment menée permet à Eric Marchal de nous promener avec bonheur dans Venise, à la rencontre de personnages attachants et lumineux ou d'autres plus sombres. Ce n'est peut-être pas de la grande littérature, mais c'est du bon roman, très plaisant à lire.