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Nouveauté
Le Dernier des écrivains
Date de parution : 13/07/2023
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Le Dernier des écrivains

Date de parution : 13/07/2023
Lauréat du prix Nobel de littérature, Pierre Le Guellec s’est volatilisé alors qu’il se rendait en avion de Rennes à Stockholm. Menée entre les remparts et les plages de Saint-Malo, l’enquête sur sa disparition révèle l’obscure personnalité du « dernier des écrivains ».

 
Qu'est-il arrivé à Pierre Le Guellec, nouveau lauréat du prix Nobel de littérature ? Déposé à l'aéroport de Rennes le matin du 8 décembre, il n'est jamais arrivé à Stockholm... Qu'est-il arrivé à Pierre Le Guellec, nouveau lauréat du prix Nobel de littérature ? Déposé à l'aéroport de Rennes le matin du 8 décembre, il n'est jamais arrivé à Stockholm pour recevoir sa récompense. Enlèvement d'un écrivain devenu soudainement riche et célèbre ? Règlement de comptes entre les derniers terre-neuvas... Qu'est-il arrivé à Pierre Le Guellec, nouveau lauréat du prix Nobel de littérature ? Déposé à l'aéroport de Rennes le matin du 8 décembre, il n'est jamais arrivé à Stockholm pour recevoir sa récompense. Enlèvement d'un écrivain devenu soudainement riche et célèbre ? Règlement de comptes entre les derniers terre-neuvas dont il est le descendant ? Disparition volontaire ? Inquiétante ? Définitive ? Marie Rivalain, son attachée de presse, est troublée. Contrainte de rester à Saint-Malo jusqu'au retour hypothétique du romancier, elle découvre la part d'ombre d'un homme qu'elle pensait pourtant bien connaître. Dans un hôtel particulier chargé d'histoire et sur les plages ventées de la cité de granit, Marie part à la recherche de celui que beaucoup considèrent comme " le dernier des écrivains ". Mais chaque nouvel indice ne fait qu'épaissir son mystère.
 
Dans la lignée des romans de Georges Simenon, Gwenaële Robert signe une intrigue captivante au cœur de la cité corsaire dont les remparts abritent de lourds secrets.
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EAN : 9782266329408
Code sériel : 18835
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266329408
Code sériel : 18835
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent


« Qu'importe que nous ne puissions jamais lire Pierre Le Guellec et son magnifique "Ce qu'il advint des Iroquois", puisque la plaisante lecture de Gwenaële Robert nous vient comme une consolation. » Le
Figaro Littéraire

« Un polar qui s'approprie formidablement les lieux et emprunte à Simenon et au roman noir des années 1950 une atmosphère épousant à merveille l'aspect granitique de la ville. » Le Journal du Dimanche
« Romancière sensible et distinguée, Gwenaële Robert fait ici une excellente héritière de Simenon. » (Lire - magazine littéraire)
« Le Dernier des écrivains de Gwenaële Robert, est non seulement excellent, mais il offre aussi un de ces moments de lecture aussi rares que réjouissants. » Le Télégrame
« Douée d’une féconde imagination, se tenant allègrement sur le fil du rasoir, elle retombe toujours sur ses pieds. Il y a un ton, un rythme, une limpidité d’écriture. Sa plume court et on se laisse prendre dans les rebondissements, dans les filets de son jeu. » Le Télégrame
« D'une plume alerte, précise et imagée, Gwenaële Robert nous sert une intrigue en trompe-l'oeil, où l'ambiance d'une ville ajoute à l'atmosphère et au mystère. » La Voix du Nord
« Dans son Dernier des écrivains, elle raconte magnifiquement la beauté sombre et l’âpreté de Saint-Malo tout en nous entraînant dans les coulisses du monde littéraire. Mais elle sait aussi échafauder une intrigue bien plus tortueuse qu’il n'y paraît. » Le Soir
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • sandraboop 02/08/2023
    Non ce roman n'est pas un thriller et c'est bien dommage de l'indiquer sur la couverture car ça peut induire en erreur et mener à une déception que ce roman ne mérite pas. En effet, il a de nombreuses qualités dont la beauté de l'usage des mots. Il aborde des thématiques intéressantes : les enfants de divorcés, la relation père fille, les rapports des écrivains - journalistes- maisons d édition avec leur lectorat, l'amour d'une ville bretonne magnifique et des légendes qui l'entourent, des corsaires à Chateaubriand. Oui la ville de Saint Malo est un personnage en tant que telle. La réflexion aussi de l'idolâtrie du parent pendant l'enfance à la désillusion à l age adulte de ne découvrir qu'un être humain et ici la révélation : mais quel être humain ! J'ai eu du mal au début car je m'attendais à lire un thriller, quand j'en ai fait mon deuil, la lecture a gagné en fluidité et j'ai trouvé cette histoire belle et bouleversante. Les derniers vœux exaucés, la réconciliation, la lumière sur l'homme derrière l'écrivain.. tout ça est splendide. Bonne lecture
  • gill 06/07/2023
    Mesdames, messieurs nous arrivons à Saint-Malo ... Saint-Malo terminus de ce livre ... Où est passé le Nobel ? Le Nobel a-t-il disparu ? Disparition de Pierre le Guellec : faut-il s'inquiéter ? Toute vérité est-elle bonne à dire ? Jusqu'où peut-on aller pour préserver la légende d'un grand romancier ? "Le dernier des écrivains" est un roman policier écrit par Gwenaële Robert, et paru en 2022 aux "Presses de la Cité". Dès les premières lignes, il m'a semblé que ce récit se dirigeait sagement vers une tranquille atmosphère littéraire. Quand soudain y est survenue l'improbable disparition ! Policier or not policier ? That's the question ... But, que Dieu me savonne et que the Pretenders me pardonnent ! It's not the alone ... (Au passage, vous pourrez noter la tentative d'internationalisation de ma critique, et surtout l'accent impeccable de mon anglais pourtant très approximatif.) Suspens, mystère et épilogue ... Mais pas seulement, ce roman est un roman d'atmosphère original. Il a pour décor la vieille cité de Saint-Malo dont Gwenaële Robert nous décrit la beauté, la tristesse et la gravité avec authenticité. L'ombre humide qui enveloppe ses remparts, les perspectives heureuses vers Dinard et les vieilles rues qui s'illuminent au premier rayon de soleil, tout y est et plus encore. La plume de Gwenaële Robert se fait... Mesdames, messieurs nous arrivons à Saint-Malo ... Saint-Malo terminus de ce livre ... Où est passé le Nobel ? Le Nobel a-t-il disparu ? Disparition de Pierre le Guellec : faut-il s'inquiéter ? Toute vérité est-elle bonne à dire ? Jusqu'où peut-on aller pour préserver la légende d'un grand romancier ? "Le dernier des écrivains" est un roman policier écrit par Gwenaële Robert, et paru en 2022 aux "Presses de la Cité". Dès les premières lignes, il m'a semblé que ce récit se dirigeait sagement vers une tranquille atmosphère littéraire. Quand soudain y est survenue l'improbable disparition ! Policier or not policier ? That's the question ... But, que Dieu me savonne et que the Pretenders me pardonnent ! It's not the alone ... (Au passage, vous pourrez noter la tentative d'internationalisation de ma critique, et surtout l'accent impeccable de mon anglais pourtant très approximatif.) Suspens, mystère et épilogue ... Mais pas seulement, ce roman est un roman d'atmosphère original. Il a pour décor la vieille cité de Saint-Malo dont Gwenaële Robert nous décrit la beauté, la tristesse et la gravité avec authenticité. L'ombre humide qui enveloppe ses remparts, les perspectives heureuses vers Dinard et les vieilles rues qui s'illuminent au premier rayon de soleil, tout y est et plus encore. La plume de Gwenaële Robert se fait tour à tour épaisse afin de saisir les paysages et leurs odeurs, et puis fine lorsqu'elle nous fait les honneurs de l'appartement de Pierre le Guellec. Sa prose est alors, comme elle l'écrit si bien, hantée par l'esprit des lieux. Au fil des premiers jours de décembre qui s'égrènent, le récit prend forme. Chaque personnage en sait peut-être un peu plus qu'il ne veut bien le dire. La lectrice, le lecteur ne sont pas à l'abri d'une surprise ou deux ! Suspens, mystère et épilogue ... Mais pas seulement, ce roman contient quelques petits secrets et autres brèves pics sur les dessous de la Littérature. Gwenaële Robert y évoque entre autre le marché du livre, la douleur de la création, un "hypothétique" effondrement de la littérature survenu avec les temps nouveaux d'édition, les footballeurs et les influenceuses ... et donne à sourire, au coin de la 43ème page, en précisant que Pierre le Guellec, son Nobel à elle, ne parle dans ces livres ni de rupture, ni de transfuge de classe, ces mots à la mode qui lui font horreur. On est passé pas loin ici de la facétie ! On a eu chaud ... Les personnages sont attachants et peints avec justesse. Les relations entre Marie Rivalain et son père, Jean-Jacques sont notamment décrites avec sensibilité et originalité. Le grand écrivain, fraîchement nobellisé, a disparu entre Paris et Stockholm avant de recevoir son prix. Où est-il ? Suspens, mystère et épilogue ... Tu chauffes ... tu refroidis ... tu brûles ...
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  • migdal 14/06/2023
    Quand un écrivain disparait lors du vol Paris Stockholm qui le mène vers la cérémonie de remise du Prix Nobel de littérature, les médias s’affolent et l’éditeur se réjouit (secrètement) de cette publicité gratuite qui va doper les ventes. Pierre le Guellec a bâti son oeuvre en racontant la vie des marins, des bretons et des malouins. Ses pages dégagent une saveur salée héritée du labeur des générations qui l’ont enfanté. C’est une légende vivante … mais une légende peut être romancée et se distinguer de la vérité ! Marie Rivalain, attachée de presse des éditions Brodin, s’est vu confiée la garde du chien durant l’intermède suédois. Elle occupe donc, en décembre, à Saint Malo, le logement de l’écrivain, au coeur d’un vieil hotel particulier qui eut ses heures fastes. Au fil des jours, elle fait la connaissance des voisins et découvre progressivement l’histoire de l’écrivain … Découpée par une talentueuse feuilletoniste, la fiction rebondit de chapitre en chapitre au fil d’une narration décrivant subtilement la ville et son histoire séculaire riche de corsaires et de pécheurs. L’amoureux de littérature maritime retrouve l’atmosphère de Pécheurs d’Islande de Pierre Loti, des Rafales de Roger Vercel ou du Mollenard d’Oscar-Paul Gilbert. Mais Pierre le Guellec n’est... Quand un écrivain disparait lors du vol Paris Stockholm qui le mène vers la cérémonie de remise du Prix Nobel de littérature, les médias s’affolent et l’éditeur se réjouit (secrètement) de cette publicité gratuite qui va doper les ventes. Pierre le Guellec a bâti son oeuvre en racontant la vie des marins, des bretons et des malouins. Ses pages dégagent une saveur salée héritée du labeur des générations qui l’ont enfanté. C’est une légende vivante … mais une légende peut être romancée et se distinguer de la vérité ! Marie Rivalain, attachée de presse des éditions Brodin, s’est vu confiée la garde du chien durant l’intermède suédois. Elle occupe donc, en décembre, à Saint Malo, le logement de l’écrivain, au coeur d’un vieil hotel particulier qui eut ses heures fastes. Au fil des jours, elle fait la connaissance des voisins et découvre progressivement l’histoire de l’écrivain … Découpée par une talentueuse feuilletoniste, la fiction rebondit de chapitre en chapitre au fil d’une narration décrivant subtilement la ville et son histoire séculaire riche de corsaires et de pécheurs. L’amoureux de littérature maritime retrouve l’atmosphère de Pécheurs d’Islande de Pierre Loti, des Rafales de Roger Vercel ou du Mollenard d’Oscar-Paul Gilbert. Mais Pierre le Guellec n’est pas seulement le descendant d’une lignée de marins, c’est un écrivain qui a publié des oeuvres inoubliables, contrairement au père de Marie qui a passé sa vie à commettre des manuscrits impubliables … Le contraste entre ces deux destins interpelle Marie et conduit le lecteur à s’interroger sur les mystères du succès littéraire et du milieu éditorial. Eternelle question que Cédric Meletta aborde avec « Le meilleur que nous ayons couronné », consacré au premier des Prix Goncourt… et en songeant à cela il m’est revenu en mémoire que René Moniot Beaumont, auteur de l’incontournable « Histoire de la littérature maritime », est issu d’une famille haut marnaise issue du village de Goncourt … J’ai apprécié Le dernier des écrivains et ai envie de poursuivre la lecture de l’oeuvre de Gwenaelle Robert. PS : mon avis sur Le meilleur que nous ayons couronné
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  • Mamanlau 08/05/2023
    Une fois de plus , j'ai été épatée car l'écriture fluide de Gwenaelle Robert. le sujet est amusant et très bien ficelé. Une intrigue de nature policière avec un éminent écrivain disparu sans raison. Comme dans ses précédents romans, je me suis attachée aux personnages et j'ai dévoré le livre d'une traite. C'est tellement agréable à lire. Et pour les amoureux de Saint Malo, c'est une autre façon de se promener au milieu des remparts. A lire, assurément!
  • lalahat 12/04/2023
    Pierre Le Guellec , un écrivain un peu sauvage qui réside intra muros dans un bel hôtel d'armateur à Saint-Malo - l’hôtel particulier du corsaire Robert Surcouf -, vient d'obtenir un prix Nobel de littérature. Son attachée de presse, Marie Rivalain, se rend à son domicile. Elle doit assurer l'intendance pendant son déplacement à Stockholm, qu'il souhaite le plus bref possible. Elle doit accompagner l'auteur à Rennes et s'assurer des formalités administratives de son départ, s'occuper du chien, un Terre Neuve, est-ce vraiment son job ? J'imaginais plutôt un rôle de communication avec les médias??? Je me trompe? Fatiguée et angoissée, Marie Rivalain n'est pas mécontente à la perspective de quelques jours de solitude à Saint-Malo. C'est toujours sympathique de lire un roman dont l'action se situe à Saint-Malo, et il y en a beaucoup! Gwenaële Robert ne nous épargne pas quelques clichés – Saint-Malo sous la pluie, Saint-Malo ni française ni bretonne, l'opposition entre l'austérité de la ville corsaire et l'avenante et balnéaire Dinard juste en face -, mais c'est une belle évocation du granit et de l'intérieur de l'habitation de l'auteur, avec ses odeurs, qui ouvre le récit. « Pour écrire le livre, j’ai fait semblant de... Pierre Le Guellec , un écrivain un peu sauvage qui réside intra muros dans un bel hôtel d'armateur à Saint-Malo - l’hôtel particulier du corsaire Robert Surcouf -, vient d'obtenir un prix Nobel de littérature. Son attachée de presse, Marie Rivalain, se rend à son domicile. Elle doit assurer l'intendance pendant son déplacement à Stockholm, qu'il souhaite le plus bref possible. Elle doit accompagner l'auteur à Rennes et s'assurer des formalités administratives de son départ, s'occuper du chien, un Terre Neuve, est-ce vraiment son job ? J'imaginais plutôt un rôle de communication avec les médias??? Je me trompe? Fatiguée et angoissée, Marie Rivalain n'est pas mécontente à la perspective de quelques jours de solitude à Saint-Malo. C'est toujours sympathique de lire un roman dont l'action se situe à Saint-Malo, et il y en a beaucoup! Gwenaële Robert ne nous épargne pas quelques clichés – Saint-Malo sous la pluie, Saint-Malo ni française ni bretonne, l'opposition entre l'austérité de la ville corsaire et l'avenante et balnéaire Dinard juste en face -, mais c'est une belle évocation du granit et de l'intérieur de l'habitation de l'auteur, avec ses odeurs, qui ouvre le récit. « Pour écrire le livre, j’ai fait semblant de chercher un appartement… » confie-t-elle à Ouest France lors de la publication de son roman. Elle y a certainement pris plaisir, l'écriture s'en ressent. Et puis elle vit, elle-même à Saint-Malo depuis plusieurs années. Elle connaît bien son sujet. L'écriture de Gwenaële Robert a quelque chose de lugubre qui rappelle Simenon. C'est bien sûr lié à l'état dépressif de l'héroïne, Marie Rivalain, mais elle fait aussi référence au maître du polar, à un vieux Maigret, et à un autre, Au rendez-vous des Terre-Neuvas. La pipe de Pierre Le Guellec renvoie à celle de Maigret. Les monologues intérieurs de Marie s'apparentent au style de Simenon. La notion de temps suspendu est aussi caractéristique des romans de l'auteur. Obsessionnelle de l'écriture, Gwenaële Robert prête à plusieurs de ses personnages l'activité d'écrivain. Pour certains, c'est en secret qu'ils s'y adonnent. Mais les livres sont partout présents. Finalement, plus qu'un polar, c'est un livre très moral que Le dernier des écrivains, qui donne à ses lecteurs une leçon magistrale sur la façon d'aborder les écrivains. Pierre Le Guellec, accueille l'annonce de son prix avec sarcasme. Gwenaële Robert a sans doute elle-même quelques réserves qu'elle explique en rapportant l'histoire d'Alfred Nobel, fabriquant d'armes suédois, qui aurait voulu se racheter par une volonté testamentaire de création du prix. Personnage mélancolique, il aurait aussi imaginé un établissement d'euthanasie pour ceux qui souhaitaient mettre fin à leurs jours. Mais de cela, Gwenaële Robert ne fait pas mention. Il faut attendre le tiers du livre pour voir l'enquête se lancer à proprement parler. Pas de police, c'est Marie Rivalain qui s'y colle. Comme quoi, la fonction d'attaché de presse prend des dimensions toujours plus atypiques. Pas de meurtre, l'énigme se résume à la disparition de l'écrivain. Le chien, Silver, occupe une place importante, et pas seulement en raison de son volume – un terre-neuve pèse plus de 60 kg. Doux, calme, protecteur et fidèle , il n’aboie jamais. Celui qu'on appelle aussi Saint-Bernard des mers répond à la mélancolie de Marie Rivalain par des regards égarés. L'héroïne s'attache. Bien que Gwenaële Robert ménage du suspense, son écriture poétique a des résonnances épiques et des envolées romantiques. Son roman est en fin de compte assez difficile à classer- il y a en filigrane une réflexion sur la filiation-, malgré ses nombreuses références à Simenon. L'auteur s'offre une liberté d'écriture qui échappe bel et bien à toute catégorisation.
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